Ma soumise N. est maintenant couchée sur le sol.


Je lui ordonne d'écarter avec ses mains sa chatte pour que je puisse la fouetter au plus profond. Elle le fait dans un état second et je commence à fouetter avec régularité. Le résultat je vous le laisse le regarder dans cette vidéo en vous conseillant de monter le son, ses cris sont très éloquents et je ne rajouterais aucun autre commentaire. 40 secondes de pur bonheur.

A la fin, soumise N. se lève et file vers la chambre. Je la suis, intrigué. En rentrant dans la pièce, je la trouve en place sous la poutre, les mains en l'air attachées aux courroies de cuir. Cette même place et ce même équipement qui m'était destiné pour la reprise en main. Mais là c'est N. qui me tend sa croupe tout en gardant le silence. Je prend le paddle de cuir noir et je commence à cingler les fesses présentées d'abord doucement puis de plus en plus fort. Soumise N. crie mais tient bon jusqu'au moment où elle finit pas s'échapper pour se réfugier sur le lit.


Elle repose maintenant sur le lit couchée sur le ventre. Je contemple mon oeuvre de Maître temporaire et suis fier de détecter des rougeurs particulières. Soumise N. est maintenant complètement abandonnée sur le lit, je dirais presque matée. Elle est charmante ainsi. Elle me fait envie aussi. J'envisage sadiquement de lui pendre son cul dans cette position, à la manière du Dernier Tango à Paris, peut-être l'acte de domination le plus symbolique que puisse faire un homme sur une femme (et que nous avons fait parfois). Mais je suis trahi par mon objet contendant qui, fatigué, refuse de durcir suffisamment pour forcer la porte. Je suis déçu mais je n'insiste pas... la journée a été suffisamment mémorable même sans cette humiliation finale. Je la finis dans un immense orgasme en utilisant notre plus gros gode.



PS : N. mon amour sache que je t'aime de plus profond de mon être et que j'ai été estomaqué (car impressionné n'est pas assez fort) par ton comportement ce jour là. Chapeau mon amour !