Mardi 7 décembre 2010
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Lundi je me réveille avec une main toujours attachée à la cage. L'autre a
passé la nuit libre. Très Vénérée Maîtresse dort encore. Il
est 7 heures et j'ai une demi-heure de liberté avant de m'atteler à préparer le réveil de toute la famille. Je m'autorise à utiliser son ordinateur pour aller faire un tour sur les commentaires
avant de découvrir le 7 du calendrier.
Le soir en rentrant j'ai fait un détour pour acheter un nouvel ordinateur
portable, qui semble maintenant indispensable, en profitant des promos de Noël. Dans un rayon, il vendait une brosse de bain en bois avec un long manche. Cela m'a fait pensé à certaines photos
sur des sites D/S, et sur une intuition je l'ai prise.
Rentré à la maison, les enfants sont en train de faire le sapin de Noël.
N. elle est contente que je rentre tôt. La vie familiale suit son cours. Le soir, le temps intime des parents reprend. Très Vénérée Maîtresse m'utilise à replier des draps ensemble, puis finalise
artistiquement le sapin. Je suis allé chercher la brosse, et elle trouve le nouvel objet très intéressant.
Un peu après 10h, elle en a terminé et s'installe sur la canapé devant la
télévision pour se détendre. Elle m'appelle :
- dyonisos au pied !
J'arrive devant la canapé et elle fait tomber pantalon et culotte aux
chevilles. Elle inspecte longuement l'état de mon zizi dans sa cage transparente puis elle saisit la nouvelle brosse. Bientôt elle s'en sert pour me récurer les couilles. C'est la plupart du temps agréable mais des fois, elle s'arrête pour prendre
une photo. Les poils me rentrent dans la peau des couilles et là c'est beaucoup moins agréable. D'une main, elle me retourne et pour passer en revue maintenant les fesses. Elle semble contente
qu'il n'y ait pas trop de boutons. Moi aussi car sinon ma très Vénérée Maîtresse prend un plaisir sadique à me "scalper" les boutons avec sa lime à ongle favorite pour libérer le "pauv' poil
emprisonné". Ce que je crains particulièrement. Passant sa main dans l'entrejambe, elle m'a pris par les couilles et la prise bien assurée, commence aussi à me dégommer les fesses à la
brosse.
Retour devant. Elle m'ordonne d'écarter les cuisses et commence à me
frapper les couilles par en dessous avec le plat de la main. Je sursaute avec l'attaque, m'échappe un peu et me force à reprendre la position. Nouveaux coups...
Retourné de nouveau, elle fait rougir maintenant les fesses à coup de
brosse côté bois. Des coups rythmés mais pas trop appuyés pendant 5 minutes.
- Allez au coin maintenant à côté du sapin !
Je prend position sur les genoux toujours le pantalon au cheville, les
mains sagement derrière le dos, face vers le mur. C'est maintenant le journal sur la 3 qu'elle regarde tranquillement. Au début la position est confortable... Mais peut être au bout de 10 minutes
- je ne sais - le dos commence à devenir douloureux dans les omoplates. Il devient difficile de tenir en place. Je sens un courant d'air sur les fesses. En arrière plan, le son du journal est mon
seul repère temporel et les sujets passent si lentement. Je trouve troublant d'être mis au coin devant elle pendant qu'elle regarde le journal du soir. De temps en temps, comme si de rien
n'était, elle me pose une question à laquelle, je répond les plus poliment possible. C'est si décalé ! Un jour, je me dis que cela sera peut être mon lot quotidien de mari soumis tous les soirs. Cette idée ajoute à mon
trouble.
Elle me voit me tortiller de plus en plus pour essayer de détendre mon
dos. A un moment, elle me donne enfin l'autorisation de m'assoir sur mes chevilles, cela va un peu mieux même si finalement se que je préfère c'est la position de tout assis. Mais le temps passe
si lentement...
Fin du journal. Elle décide :
- allez au lit
- c'est fini ?
- tu rigoles. On avait dit une heure... tu vas aller m'attendre dans
la chambre à genoux nez contre le mur !
J'obéis.
Je reprends la position sur les genoux le temps qu'elle rejoigne la
chambre après avoir fait la tournée pour fermer la maison. Quand elle arrive, je reçois de nouveau l'autorisation de prendre une position plus confortable. Elle s'affaire dans la chambre à ranger
de ci de là, à préparer ses affaires pour le lendemain, à se déshabiller. J'avoue que j'adore de devoir attendre ma Maîtresse ainsi consigné dans un coin de la chambre. Un vrai petit bonheur de
soumis. Elle enfin prête et m'ordonne enfin de me relever.
- au dodo... mais avant mains sur le radiateur !
Je prends position lui offrant mon derrière qui récolte immédiatement une
douzaine de coups appuyés.
- tu ranges la brosse et tu te couches immédiatement
!
Une fois au lit, j'ai du lui caresser longuement son entrejambe, jusqu'à
qu'elle parte en un très orgasme... Il n'y a pas à dire, mais quand tu en encagé tu es un bien meilleur suceur ou branleur de minou.
En récompense j'ai eu le droit de dormir sans la cage, mais uniquement si
je restais sage.
23h15 extinction des feux.
dyonisos