Je suis tombé par hasard ce week-end sur cette photo commentée. Bon le commentaire était en anglais, mais quelques clics plus tard le voilà en français, pour mes lecteurs qui ne comprennent rien au charabia étranger. J'avoue que la photo me plait beaucoup, plus que les teasers sur www.milovana.com.
J'en ai essayé un au hasard. Oui je sais je suis en cage, mais j'aime vivre dangereusement... En fait pas tout à fait au hasard, car j'ai regardé les notes des internautes branleurs compulsifs et j'ai retenu celui qui avait la meilleure note de la page (4.8/5). Et me voilà parti pour une suite d'image avec des commentaires salaces mais in english. Un métronome bat la mesure en fond et je comprends qu'il faudrait que je me branle la zigounette sur le rythme imposé. Bon là pas possible, alors je me suis concentré sur les photos des jolies jeunes filles, ignorant les risques que je prenais. Et bien ! nada ! Une feuille plate dans le plat pays cher à ce cher Jacques... Ben, c'est dire que je prefère une image qui raconte une histoire et l'imagination qui va avec, pas un étal de boucherie où il faut choisir le morceau du jour que l'on va arroser de son fumet.
Bref tout cela pour dire que je n'aime pas la photo boucherie, mais j'aime les histoires que peut inspirer une photo. Et celle-ci en fait partie... Je me demande si une telle situation peut exister dans ce bas monde. Rien n'est exclu, mais je ne crois pas que la cage surgisse ainsi le lendemain d'un beau mariage...
Cela me rappelle une fiction que j'aime machiavéliquement bien, sur un jeune homme qui rencontre à 20 ans une fille à l'université, qui le met sous clé puis l'épouse quelques années plus tard en lui faisant miroiter sa libération. Mais les décennies passent (bien pour la femme qui s'envoie elle en l'air) et l'histoire se termine sur le garçon devenu bien vieux, mais qui est resté toutes ces années puceau et le regrette finalement. La triste morale d'un conte édifiant...
Bon je vais être sympa avec ce jeune homme. Disons que la fille le dépucèle à 20 ans et qu'elle lui demande d'attendre le double à chaque fois entre 2 rendez-vous sur l'oreiller. Bon la première année il est assez verni sur le papier et il en bénéficie 9 fois. Puis une annuelle les deux années suivantes. Il se marie à 25 ans et une permission pour sa nuit de noce. Après il attend son prochain coup à 31 ans pour faire d'un coup les 5 enfants du couple (il est fort le mec ! des quintuplés d'âges différents dès la naissance). Allez un petit calin à 41 ans et le dernier à 64 ans. Le suivant à 109 ans, je crois qu'il a peu de chance d'en profiter... Vous ne me croyez pas, alors faite le calcul et vous verrez.
C'est le genre d'histoire stupide que l'on trouve sur le web, à côté de celui qui dort tous les soir le nez contre l'anus de sa Dame qui pète (si je vous assure, et il y an 10 chapîtres). L'humain est plein d'imagination quand il s'agit du pire.
C'est là qu'il me faut relire les pensées du Confucius des toilettes, le petit livre rose qui accompagne le travail solitaire et détend par le fou rire le sphincter.
Le mariage a ses bons côtés.
Il enseigne la fidélité,
la patience, la tolérance,
la retenue et bien
d'autres qualités dont
vous n'auriez absolument
pas besoin si vous étiez
resté célibataire.
Le sexe est le prix que
les femmes paient pour se
marier. Le mariage est
le prix que les hommes paient
pour avoir du sexe.
Oui mais si le mari retrouve dans son mariage la chasteté de son célibat et n'a plus de sexe ? Il n'a pas prévu cela le Confucius des toilettes, car c'est bien de parler des femmes qui ne savent pas lire les cartes routières, mais les autres ? Celles qui savent bien enfermer le zizi de leur mari ? Elles n'existaient pas à son époque ?
Bref me voilà, perdu dans mes pensées quand je quitte le trône... Vite cherchons une autre explication, car moi je n'ai pas signé pour passer ma vie dans une cage à lionceau.
Je tombe donc dans mes recherches sur une nouvelle piste.
Oublié donc que le foutre est un "je t'aime" en gelée, sa rétention contrite serait donc la preuve ultime de l'Amour qu'un mari porte à sa femme. The test of TRUE LOVE. Oublié aussi les folles chevauchées sur le lit, et bienvenu à l'ascétisme du zizi ! Il suffirait qu'une femme écrive 50 nuances d'encagement et hop tous les maris seraient sages en cage.
Découverte troublante qui m'amène sur les questions existentielles :
LA CAGE, EST-CE OFFRIR QUELQUE CHOSE QUE L'ON N'A PLUS A QUELQU'UN QUI N'EN VEUT PLUS ?
avec en corrolaire
L'HOMME ENCAGE TOURNE-T-IL DANS LE CERCLE ETROIT DE SES PLAISIRS,
COMME UN JEUNE CHAT NE JOUANT PLUS AVEC SA QUEUE ?
Mais bon la réponse sera pour demain, car pour l'instant, le pragmatisme du mari encagé, est combien de fois il va être réveillé dans la nuit à suivre ?
Bonne nuit, les petits.
dyonisos
Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.
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Comme quoi tout question existentielle a un fond de vérité... Mais je ne pense pas que vous imaginez une cage définitive sans sortie, car l'espoir rend sage et fait vivre. Mais il est vrai que duper un espoir est chose admirable et excitante.
Mes respects, Madame, soumis dyonisos
amitié Yanode
PS et toi alors pour quoi es tu en cage? réellement
Contre-agit ? Je n'espère pas à l'encontre quand même. Mais cher ami votre sagesse paysanne nous cultive. Effectivement pour faire un couple il faut être deux. Et si l'un décide de priver l'autre d'une ses propriétés intrinsèques, ne se prive-t-il pas aussi en même temps ? A moins que cela soit une équation à trois et là toutes les possibilités sont ouvertes.
Maintenant la question fondamentale est là : un encagé peut-il se retrouver encage sans l'avoir acquiesé. Certe il pourrait s'agir d'une mesure de retorsion contre un mari volage, mais même là il a le choix de mettre fin à tout, à la cage et à son couple.
Non je te suis dans ton raisonnement et je ne suis manifestement pas le seul. Y'a qu'à voir les résultats du sondage qui montre tant d'encagés libre de ne pas l'être. Et pourtant toi, moi et ils le sont et y restent malgré les tiraillements et les nuits chahutées. Voilà une perspective intéressante.
Après tout moi pourquoi je suis en cage ? Parce qu'elle rouillait au fond du tiroir. Euh, non j'oubliais que c'est du plastique... C'est une question fascinante qui mérite réflexion. Je vais y refléchir... car si j'ai plusieurs idées dans l'esprit tout cela est bien touffu encore.
amitié, dyonisos
Quoi que c'est puis a l'air d'être sexuellement mono-tone...
amitié à mon Gregonat
dyonisos
Bisous !
C'est un peu la philosphie du boudoir encagé mais je suis d'accord que le zizi reste au coeur. Plus que tout même son enfermement le rend très présent à l'esprit par son incessibilité pour les deux et la sensation de sa présence permanente. En fait je crois que la cage n'a pas le deuil de la sexualité, mais un renouveau de cette même sexualité. Il n'y a rien de plus fascinant que ce que l'on ne peut immédiatement disposé, dans la cage et dans beaucoup d'autres choses dans la vie.
bisous, dyonisos
Mon mari Karim (lailatvx sur le net) et moi, nous formons un vrai couple depuis 10 ans. Notre vie sexuelle est épanouie, et je prends plaisir à le sucer autant qu'à me faire sucer et enculer. Mais dernièrement, tout a basculé suite à une vantardise de sa part : Je te parie qu'on peut baiser pendant une heure d'affilée sans que je débande ! Prétendait-il.
Moi, je doutais un peu. Il m'a limée, avec sa petite queue bien droite et fine, mais pas durant une heure car il a vite joui en quelques secondes. Au fait, c’est un éjaculateur précoce !
Total en gage, j'ai eu le droit de lui demander ce qui me plaisait.
- Karim, je vais t'habiller en femelle et tu m'obéiras en tout ! Tu seras ma petite pute à queue !
Mon mari faisait la grimace. Je l'ai fait mettre nu, je l'ai lavé partout, et j'ai déballé mes sous-vêtements. J'ai étiré un slip en dentelles sous son nez. Une fois en érection maximale, j'ai accroché le slip au bout de sa bite pour l'humilier. "Ta queue sera comme un portemanteau", lui ai-je dit. Alors Karim a rougi comme un gamin. Amusée, j'ai pris le slip par ses extrémités et j'en ai fait une sorte d'élastique passé autour de la queue de mon homme.
J'ai cisaillé son membre en tirant le slip par les deux bouts. Karim gémissait et me demandait d'arrêter. "Non, tu dois m'obéir en tout! ". II a compris et s'est calmé, alors je l'ai fait mettre à quatre pattes. J'ai doigté son anus en le félicitant d’avoir une si belle croupe, et puis même jeu avec le slip tendu comme un élastique.
Chaque fois que je passais et repassais ce bout de tissu entre ses fesses, il couinait très fort. Finalement, je le lui ai fait enfiler. J'ai complété avec des bas, un porte-jarretelles, un soutien-gorge. Je l'ai emmené devant la glace, et là, je l'ai peloté. II bandait si dur que mon pauvre petit slip était prêt à se déchirer. Je n’en revenais pas, mon mec était une vraie salope !
Pour le calmer, je suis allée prendre le plumeau, à manche de bambou et je lui ai donné vingt coups sur le cul. Il se trémoussait, de larges zébrures rouges le marquaient sur les fesses. Je me suis calmée, le temps de me mettre nue. "Karim, vilain petit chien, lèche ta maîtresse !" II a dû faire le beau entre mes cuisses et me donner de grands coups de langue dans la chatte. J’étais léchée, lâchée et toute excitée…
J'écartais mes lèvres et mes nymphes pour lui rendre l'accès facile. Puis, je me suis retournée, penchée en avant, et j'ai posé ma lune bien en chair sur sa bouche d'esclave. "Suce et lèche, petit sale pédé, enfonce ta langue dans le trou de ta maîtresse ! ".
Mon époux a obéi, pour la première fois sa langue glissait dans mon anus dilaté de plaisir. J'ai écarté mes fesses à deux mains pour mieux jouir de cette caresse baveuse. En même temps, je me branlais par-devant et ma tige d'amour se gondolait, toute rose. J'ai pressé ce petit sexe en érection jusqu'à ce qu'il devienne douloureux, alors je l'ai simplement titillé du bout des doigts et j'ai joui.
Mon jus coulait entre mes cuisses, dans mes poils. Je me suis retournée à temps pour pose ma fente sur la bouche de Karim et lui ordonner de me boire. II a bien nettoyé ma fente juteuse, alors je lui ai accordé une caresse sur la joue.
Je me prenais à fond au jeu puisque, lui aussi, apparemment adorait cela… j’en rajoutais alors…
Karim reçut l'ordre de faire la vaisselle, le ménage, de nettoyer la salle de bain, le tout en petite tenue. II était mignon, son cul moulé par mon slip de dentelle, sa queue en érection, et ses cuisses gainées de nylon. J'ai passé l'inspection, déniché une tasse mal lavée, ce qui lui a valu vingt coups de manche en bambou. II se tortillait de douleur, moi je frappais très dur, je jouissais debout, rien qu'à voir mon homme réduit à l'état de soubrette.
J’avais une terrible envie de le battre qui me faisait me mordre les lèvres, J'ai dégrafé son soutif et sucé ses tétons qui ont durci. Alors, je les ai cinglés avec l'extrémité du manche, et cette fois, Karim s'est écroulé à mes pieds. II m'a supplié d'arrêter.
Je lui ai fait grâce et je lui ai dit de s'allonger sur le lit. Je lui ai retiré son slip et j'ai sucé son gland. Je titillais le méat du bout de ma langue et puis je m'enfonçais ce manche dans le gosier jusqu'à ce que ses couilles me caressent le menton. J'ai bien joué avec ma "poupée mâle", et puis je me suis emmanchée sur sa petite bite luisante de salive. J'ai chevauché mon esclave de face, en l'autorisant à me travailler délicatement le bout des seins. II s'est appliqué et m'a fait jouir très fort.
Depuis ce jour, mon mari me supplie de le travestir en femme et de le commander. II supporte de mieux en mieux les punitions, la cravache (que je viens d'acheter), et accepte même sans rechigner de se mettre au service de mes amies intimes.
Dernièrement, avec mon amie Jamila, nous avions passé l'après midi à nous distraire avec Karim. Il avait d'abord fait le ménage en tenue de soubrette pendant que nous faisions l'amour toutes les deux dans la chambre. (Jamila est une superbe blonde de 30 ans très portée sur les femmes) ensuite nous avons "inspecté" le travail effectué par notre "bonniche" et, bien sur, nous avons trouvé plein de choses à redire ! Nous lui avons donc infligé une punition de 50 coups de cravache. Karim voulut discuter comme quoi c'était trop, mais Jamila lui dit "Un mot de plus et ce sera 100 coups" il se tût immédiatement et sur mon ordre, il se mit en position sur « le punissoir ». Il s'agit d'un banc assez haut au-dessus duquel il peut se plier. On attache ensuite ses chevilles écartées aux montants d'un des cotés et ses poignets de l'autre coté. Son cul est alors offert et nous pouvons donner libre cours à nos envies de le maltraiter. Le petit salaud ne se plaint d'ailleurs pas souvent de cet "accessoire" puisque c'est lui qui l'a construit. Une fois encore, nous avons eu la preuve que mon esclave était excité par ce qui allait lui arriver car il bandait comme un Turc. (Si ce n'est la dimension de son engin qui n'est pas vraiment comparable à un Turc.)
Avec Jamila, nous nous sommes partagé les 50 coups en riant et en nous efforçant de bien marquer ce joli cul offert à notre sévérité. Alors que nous arrivions au bout des 50 coups et que le cul de mon chéri était bien rouge et marqué, ce petit salaud se mit à éjaculer en grognant comme un porc et sans même s’être masturbé. Nous étions à la fois ravies de l'avoir fait jouir comme ça et très en colère qu'il n'ait pas demandé l'autorisation de jouir. Nous avons ensuite pris le thé, excitées comme tout, et après nous avoir servi, nous avons mis Karim au coin, les mains sur la tête, la jupette relevée pour exhiber son cul bien zébré.
Au cours de la discussion, Jamila me dit soudainement : "Ma chérie, tu sais que je ne raffole pas des hommes, mais je sais que toi, tu les aimes. Maintenant que tu as une bonniche à la place d'un mari, il serait temps que tu prennes un amant pour satisfaire tes envies. D'autant plus que si ta lopette jouit à chaque fois que tu lui caresses les fesses avec la cravache, il ne pourra jamais te satisfaire."
Je n'avais jamais pensé à ça jusque là, mais cette idée me fit aussitôt mouiller. Je répondis aussitôt : "C'est une bonne idée que tu as là, c’est que maintenant ce n’est plus vraiment un homme."
En tournant la tête vers le coin où mon époux était en pénitence, je lui dis de venir à mes pieds. Je n'étais pas certaine encore de vouloir risquer mon mariage (j'aime toujours beaucoup mon mari Karim) mais alors que mon esclave arrivait vers moi à 4 pattes, la tête baissée, je vis qu'il avait recommencé à bander. Le petit salaud, il bandait alors qu'on était en train d'évoquer l'idée de le faire cocu. Jamila ne manqua pas de remarquer cet état de fait et déclara : « Et en plus, ça fait bander ta lopette de savoir qu'il va être cocu ! ».
J’étais subjuguée de voir mon mari si bas, je pensais à toutes ces années auprès de lui où je ne soupçonnais pas ses attirances, à mes yeux il tombait bien bas, je n’avais plus de respect pour ce sous homme, une nouvelle ère s’ouvrait pour moi de liberté et de plaisir épanoui… Je m'adossais au canapé en ouvrant mes cuisses au maximum et j'ordonnais à Karim de nettoyer ma chatte trempée à l'idée des grosses bites qui allaient bientôt la pénétrer. Sans un mot, il se mit à l'ouvrage alors que Jamila évoquait des amis à elle très bien montés qu'elle pourrait me présenter. Je commençais à mouiller comme une fontaine sous les coups de langue de mon soumis. Jamila se positionna derrière mon époux qui, à 4 pattes, exhibait son cul rougi et elle lui massa la rosette avec du gel avant de lui entrer un petit gode dans le cul. Durant toute l'opération, Karim continuait son travail de léchage et j'approchais doucement de l'orgasme. Ma copine continuait durant tout ce temps à faire des commentaires salaces qui ne faisaient que m'exciter davantage : « Et puis s'il est sage ce cocu, il aura le droit de préparer ta chatte pour tes amants ».
Elle se mit alors à pistonner l'anus de Karim vigoureusement tout en lui effleurant les couilles de ses ongles en continuant à m'exciter : « Tu vois chérie, quand tu auras trouvé quelques amants vigoureux, ta vie sera parfaite : satisfaction sexuelle garantie et un petit toutou soumis pour t'entretenir et te faire la vie belle pendant ce temps ».
Au même moment, j'explosais en arrosant le visage de mon esclave de mon jus et lui se répandit misérablement sur le tapis, sans se masturber. Nous l'avons insulté de s'être laissé aller comme �
Eh bien quelle vie !
Pour notre part le jour de notre mariage (remariage à 47 ans il y a deux ans après 6 ans de vie commune) je portais une cage et mon épouse était sans culotte , un engagement en plus du oui qui pour nous était important
Je comprends combien cela peut être important et je vous félicite de l'avoir osé, pour vous deux tout seul. Je crois qu'aussi qu'avec les années qui passent, l'humain sait aller à l'essentiel et je ne vais pas m'en plaindre.
Merci de votre commentaire
dyonisos