" Maîtresse possède une cage de chasteté pour son soumis. "

Et un zizi de soumis encagé c'est amusant pour une Maîtresse.

Maîtresse lui fait porter la cage partout. Devant son chef, devant sa mère et même chez le dentiste comme hier. La plupart du temps, elle n'y pense qu'à son coucher ou et à son réveil où une main vient fureter sous les draps pour s'assurer que l'oiseau est bien là dans sa prison. Elle ne fait que l'effleurer avant de poser sa tête sur l'épaule de son soumis et remonter sa main jouer avec les poils des tétons. Elle sait qu'il aimerait une caresse plus appuyée sur les parties pendantes qui dépassent des anneaux, comme un ersatz de sensualité. Elle le sait mais ne le fait pas à dessein car elle a deviné qu'il attend trop sa caresse. Et il est tellement amusant de lui en priver...

Maîtresse n'est pas différente des autres Maîtresses. Elle l'oublie dans sa cage. Sauf en de rares occasions, où elle l'appelle sur son portable dans le bureau de son chef pour régler son retour à la maison avant de lui susurrer à l'écouteur sans avoir l'air d'y toucher : "Tu n'as pas honte d'avoir le zizi en cage devant ton chef ?". Et elle le plante là, sure de son effet, l'imaginant commençant à rougir.

Maîtresse adore décorer sa cage. Elle a trouvé à son soumis une mini-Elle, une Little Queen qu'elle vérifie chaque matin être bien attachée à l'engin. Elle dispute son soumis quand les yeux et la bouche ne sont pas du bon côté. Et elle s'en fiche que la petire reine fait du bruit à chaque pas contre le cadenas ou lui coince la peau. Ce n'est pas son problème... Elle lui a d'ailleurs inventé un rituel d'accompagnement. Période de cage = période de culottes. Mauve, rose, à petites fleurs rouges. Pas de dentelles, c'est réservé pour les grandes occasions. Mais du simple coton, acheté 7€ les cinq dans le supermarché. Elle glisse quand il marche, qu'importe ! Soumis finit parfois les réunions les fesses à l'air, la culotte s'étant échappée.

Maîtresse gère les clés de sa cage comme toutes ses propriétés. La clé va rejoindre dans son sac à main celles de ses autres propriétés : sa maison, sa voiture, son bureau. Parfois le week-end, elle se contente de la mettre dans sa boîte à bijou avec ses autres parures.

Maîtresse joue des faux espoirs de son soumis. Un cage de chasteté à quoi cele sert-elle à part de garder son homme chaste. Elle le laisse mariner une semaine. Puis elle décide le dimanche soir qu'elle veut de son soumis. Plus de cage. Elle vient faire naitre l'oiseau dans la chaleur de son palais. Elle fait des petits bisous. Elle joue de ses douces mains le long de la fière colonne maintenant. Elle l'empêche de se toucher en lui tapotant en reproche la main fautive. Elle prend finalement son soumis en amazone pour décider au bout de quelques va et vient, que non, décidément non, elle est trop fatiguée pour partir et que cela sera décevant. Retour en case prison riant intérieurement de la frustration de son soumis. Il n'aura qu'à attendre la prochaine fois ! Mais elle garde toujours les doigts si doués pour sa seule jouisance.

Hier Maîtresse en voulait un peu à son soumis. Il était en congé encagé et elle travaillait. Il trainait le matin. Tant pis pour lui : elle a emporté la clé et l'a laissé se débrouiller bien pour se nettoyer. Elle était sure qu'il penserait toute la journée à sa Maîtresse absente.

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