La première période active de la saison 4 a semble-t-il commencé et bien commencé. Ce matin j'ai mal aux couilles (comme yaya semble-t-il mais j'y reviendrai plus tard). J'ai plus que jamais le zizi en cage et pour le week-end Maîtresse m'a cadenassé mon collier autour du coup ce qui va être bien pratique pour visiter abbayes et autres châteaux. A moi de savoir rester discret... pour ne pas mettre ma Maîtresse dans l'embarras. Vaste programme.


La soirée a commencé hier à la nuit tombée avec une sortie avec collier, rosebud, bracelet par une visite tenue en laisse de la plateforme d'observation des étoiles à 4m de haut. J'avais heureusement un pantalon et un gilet pour me protèger à la fois du froid nocture et des regards biaisés. Maîtresse s'installe dans un transat pendant que je m'installe à ses pieds sur le plancher tenu par la laisse. A côté le petit couple ferme la lumière de sa maisonnette et va manifestement baiser. Ils sont "mimi "ainsi mais manifestement pratiquent dans le noir. J'imagine avec Maîtresse que vu leur jeune âge cela doit être missionnaire et, une fois par mois, oh comble de l'impudisme, une levrette. "Et en plus il sera même pas sucé. A cet âge là, les jeunes filles n'osent pas encore..."., me dit N. pendant qu'elle, femme beaucoup mature et expérimentée, tient son soumis de mari à ses pied en laisse. Cette pensée me tend dans la cage. 5 minutes plus tard la lumière se rallume. Ils ont manifestement fini, et sortent déjà habillés (!) prendre l'air sur leur terrasse. Ils bougent, j'entends leur pas sur le gravier. A un moment je crains qu'ils ne montent nous rejoindre sur l'observatoire. Ne sachant que faire, je jette un coup d'oeil à ma Maîtresse qui n'y prette aucune attention en cherchant à repérer les étoiles entre les nuages bien installée dans son transat. Les pas se rapprochent et passent maintenant au pied de l'escalier de la plateforme. Je pense que j'ai raté un battement de coeur, je me dépêche de cacher du mieux que je peux la longe... sous l'air manifestement amusé de ma Maîtresse... fausse alerte les pas continuent, farfouillent dans une voiture et reviennent à leur lieu de départ. Ils discutent maintenant sur la terrasse, en contrebas à 10m de nous. J'ai envie, en soumis rebelle, de rendre le frisson à ma Maîtresse... Je me relève un peu et attaque la braguette de son pantalon. Elle résiste mais j'insiste,  et finalement me laisse faire. Je m'insinue dans sa culotte et m'introduit dans sa chatte, bien sûr inondée. Je la vois se mordre les lèvres pour faire le moins de bruit possible... à mon grand plaisir de soumis un peu sadique. Mais je ne l'ai pas fini, pas encore car une Maîtresse ayant joui est une Maîtresse perdue pour le soumis.

En fait, la soirée n'a pas totalement commencé à la nuit tombée, elle avait débuté avant avec l'anniversaire privée de ma Maîtresse souhaitée un mois plus tard par son soumis de mari. Je lui ai offert son cadeau achetée chez D******. A un moment elle a imaginé que je lui offrait un rosebud, mais j'ai longtemps hésité pour choisir autre chose : l'oeuf vibrant d'Emotion enchassé d'or (avec le poinçon ! si ne vous comprenez pas, désolé, mais c'est une vieillle guéguerre entre N. et moi). En ouvrant elle a une sorte de sourire énigmatique qui me fait craindre que cela ne lui convienne pas. Je lui ai même reproché un moment son manque d'enthousiasme... Mais bon à y bien réfléchir c'est toujours pareil, y compris le rabbit qu'elle avait regardé du même air vide l'an dernier à la même époque, avant de maitenant de l'exiger pour son bon plaisir. Mais catastrophe, déjà que je n'avais pas été très content de l'emballage, Maîtresse veut maintenant essayer les vibrations et rien n'y fait le machin ne veut pas se mettre en marche ! Je l'ai pourtant testé quand je l'ai reçu, avant de le désinfecter et il fonctionnait correctement ! Au bout d'un moment, je comprend que la pile fournie et étrangement ouverte a rendu l'âme. Et cela me fait une deuxième raison pour en vouloir à D*******. On cherchera aujourd'hui à trouver une pile de rechange.

Après l'observatoire, nous revenons dans notre logis provisoire... L'ordre cingle immédiatement : à poil et au sol, dyonisos !. Pendant que Maîtresse va se soulager la vessie et revêt sa grande tenue de cuir, je me dépêche de me mettre à ma place. Elle a pris la cravache :

- pendant les quinze jours à venir, tu fera toutes les tâche domestiques.

- Oui, Maîtresse !

- tu iras faire ton contrôle technique 

J'hésite un moment, c'est déloyal de se servir de notre vie hors jeux SM pour affermir son avantage. Mais je finis par répondre.

- Oui, Maîtresse !

- tu iras passer ta radio des poumons

Et hop, encore touché - coulé.

- Oui, Maîtresse !

- et tu me suceras tous les jours !

- Oui, Maîtresse !

- allez mon petit soumis suces-moi maintenant.

Et là je répond par défi : Non. (et aussi pour que toute la force dominante de ma Maîtresse ne parte pas si vite, je la connais trop bien) 

- Non ?

- Non !

- Allez debout et lève les mains....

Je m'exécute. Elle m'attache les mains à la barre de l'échelle et passe derrière moi. Oh ce cul n'est pas très propre. Tu vas être puni pour cela ! Elle a ramassé ma culotte rose par terre et m'essuie l'entrefesse. Ouvre la bouche ! J'obéis et elle enfourme immédiatement la culotte dans ma bouche. Effectivement je goute mes effluves pas très propres. Et immédiatement elle commence à me fouetter en cadence alternant le paddle et la cravache. Cela commence à bien chauffer derrière au point que je crains chaque nouveau coup maintenant. Mais elle n'en a pas fini avec moi. Tournes toi. Je me retourne vers ma Maîtresse qui s'est maintenant assise sur le canapé. Elle me saisit pas les couilles. Et bien je vais te massacrer les couilles mon petit dyonisos, comme cela tu auras quelques choses à partager avec ton ami yaya ! Et là elle commence le travail, pressage, claque, paddle... Je dérouille bien et m'échappe aussi loin que le permettent mes liens. Mais à chaque pas elle me contraint à revenir en position en tirant sur la laisse. Et cela recommence... Tu rends grace ?. Je me tais d'abord espérant encore ne pas capituler. Elle me retourne et recommence à me frapper fort les fesses. Cela fait mal. Au deuxième Tu rends grace ? je capitule, mais elle fait semblant de ne rien comprendre à travers le baillon. Je crache la culotte et je lui demande cette fois humblement à voix claire... Elle me détache les  mains, et m'expédie illico presto sur le lit de la mezannine. Allez au travail pour l'hommage...

Ce fut long très long, elle n'arrivait pas à partir et exigeait de partir. J'y allais de ma bouche, de mes doigts, de ma main puis de mes deux mains. Et cela montait de plus en plus chez ma Maîtresse. J'ai eu droit à un cruel "comment veux-tu que tu me donnes, un tel plaisir avec ton petit zizi" puis à un étonnant "même un black avec une grosse queue ne pourrait pas me donner satisfaction"... puis enfin à des "oui, oui, ouiiii" intermidables et sonores. Elle se fichait bien à ce moment que l'on puisse l'entendre depuis l'extérieur. Maîtresse voulait sa jouissance et elle l'a eue !

dyonisos