Hier nous sommes allés voir le spectacle de l'école du cirque des enfants. C'était super et très enthousiasment. J’ai été très étonné de ce qu’ils arrivent à faire en une semaine de stage.

Bref avant de partir j’ai demandé à N. si ses menstruations étaient arrivées. Elle m’a répondu que non pas encore. Le non-dit étais qu’elle utiliserait mon pénis pour jouir le soir après le spectacle. Elle m’avait reproché le matin d’avoir eu très envie en rentrant de sa réunion jeudi soir et de l’avoir refroidi en la rembarrant, et la même chose la veille.

Ma situation à moi est claire. Je suis en cage de chasteté 24/24 depuis 15 jours sans jouissance. Je ne devais ne la garder que pendant l’absence des enfants de la maison, mais finalement N. avec mon consentement m’y a laissé pour une période indéterminée. Comme d’habitude les 10 premiers jours ont été durs, avec érections nocturnes, râpage de la peau des couilles, mini œdèmes, mais je suis arrivé maintenant sur un plateau où le port de la cage est plus confortable. Mon envie d’éjaculation est même pour le moment très faible. En fait hier soir j’avais envie de lui faire plaisir en lui donnant ma queue en guise de gode et surtout pas de jouir pour éviter de remettre à zéro la compteur du port de la cage avec les désagréments qui vont avec. D’autant que nous avons de la famille à la maison tout la semaine prochaine.

Je m’aperçois que le port de la cage de chasteté chez l’homme entraîne la frustration de l’homme mais aussi celle de la femme. Pour nous qui alternons des périodes vanille et D/S, madame n’a pas perdu le goût de ma bite et dans mes périodes sous cage, elle se sent rapidement frustrée même si elle obtient un échange de puissants cunnilingus.

Avant de partir au cirque, elle a donc vérifié que ses règles n’étaient pas arrivées et a anticipé que les enfants seraient très fatigués au retour du spectacle, ce qui nous laisserait le temps de s’occuper.

Mais le spectacle a été très long et nous sommes rentrés tard à la maison.

Arrivée dans le lit, elle me dit qu’elle est trop fatiguée et qu’il n’y aura pas de sexe ce soir. Je n’ai pas été trop déçu car je m’en doutais vu l’heure. J’ai entamé à la place un massage intime pour la détendre avant de dormir. Et alors que je lui chatouillais le clitoris, elle pensa à voix haute :

- où ai-je mis les clés de la cage ? je l’ai mise dans une enveloppe, que j’ai sortie au travail et… elle est restée sur mon bureau…

- mais alors comment aurais-tu pu utiliser mon pénis ce soir ?

- !?!…. je ne sais pas… mais laisses-moi j’ai envie de dormir maintenant…

Les femmes sont merveilleuses dans leur fonctionnement.

dyonisos