Nous

Mardi 7 décembre 2 07 /12 /Déc 19:39
Lundi je me réveille avec une main toujours attachée à la cage. L'autre a passé la nuit libre. Très Vénérée Maîtresse dort encore. Il est 7 heures et j'ai une demi-heure de liberté avant de m'atteler à préparer le réveil de toute la famille. Je m'autorise à utiliser son ordinateur pour aller faire un tour sur les commentaires avant de découvrir le 7 du calendrier.
 
blavent6_1.jpg 
Le soir en rentrant j'ai fait un détour pour acheter un nouvel ordinateur portable, qui semble maintenant indispensable, en profitant des promos de Noël. Dans un rayon, il vendait une brosse de bain en bois avec un long manche. Cela m'a fait pensé à certaines photos sur des sites D/S, et sur une intuition je l'ai prise.
 
Rentré à la maison, les enfants sont en train de faire le sapin de Noël. N. elle est contente que je rentre tôt. La vie familiale suit son cours. Le soir, le temps intime des parents reprend. Très Vénérée Maîtresse m'utilise à replier des draps ensemble, puis finalise artistiquement le sapin. Je suis allé chercher la brosse, et elle trouve le nouvel objet  très intéressant.
 
Un peu après 10h, elle en a terminé et s'installe sur la canapé devant la télévision pour se détendre. Elle m'appelle :
 
- dyonisos au pied !
 
J'arrive devant la canapé et elle fait tomber pantalon et culotte aux chevilles. Elle inspecte longuement l'état de mon zizi dans sa cage transparente puis elle saisit la nouvelle brosse. Bientôt elle s'en sert pour me récurer les blavent6_2.jpgcouilles. C'est la plupart du temps agréable mais des fois, elle s'arrête pour prendre une photo. Les poils me rentrent dans la peau des couilles et là c'est beaucoup moins agréable. D'une main, elle me retourne et pour passer en revue maintenant les fesses. Elle semble contente qu'il n'y ait pas trop de boutons. Moi aussi car sinon ma très Vénérée Maîtresse prend un plaisir sadique à me "scalper" les boutons avec sa lime à ongle favorite pour libérer le "pauv' poil emprisonné". Ce que je crains particulièrement. Passant sa main dans l'entrejambe, elle m'a pris par les couilles et la prise bien assurée, commence aussi à me dégommer les fesses à la brosse.
 
Retour devant. Elle m'ordonne d'écarter les cuisses et commence à me frapper les couilles par en dessous avec le plat de la main. Je sursaute avec l'attaque, m'échappe un peu et me force à reprendre la position. Nouveaux coups...
 
Retourné de nouveau, elle fait rougir maintenant les fesses à coup de brosse côté bois. Des coups rythmés mais pas trop appuyés pendant 5 minutes.
 
- Allez au coin maintenant à côté du sapin !blavent6_3.jpg
 
Je prend position sur les genoux toujours le pantalon au cheville, les mains sagement derrière le dos, face vers le mur. C'est maintenant le journal sur la 3 qu'elle regarde tranquillement. Au début la position est confortable... Mais peut être au bout de 10 minutes - je ne sais - le dos commence à devenir douloureux dans les omoplates. Il devient difficile de tenir en place. Je sens un courant d'air sur les fesses. En arrière plan, le son du journal est mon seul repère temporel et les sujets passent si lentement. Je trouve troublant d'être mis au coin devant elle pendant qu'elle regarde le journal du soir. De temps en temps, comme si de rien n'était, elle me pose une question à laquelle, je répond les plus poliment possible. C'est si décalé !  Un jour, je me dis que cela sera peut être mon lot quotidien de mari soumis tous les soirs. Cette idée ajoute à mon trouble.
 
Elle me voit me tortiller de plus en plus pour essayer de détendre mon dos. A un moment, elle me donne enfin l'autorisation de m'assoir sur mes chevilles, cela va un peu mieux même si finalement se que je préfère c'est la position de tout assis. Mais le temps passe si lentement...
 
Fin du journal. Elle décide :
- allez au lit
- c'est fini ?
- tu rigoles. On avait dit une heure... tu vas aller m'attendre dans la chambre à genoux nez contre le mur !
J'obéis.
 
Je reprends la position sur les genoux le temps qu'elle rejoigne la chambre après avoir fait la tournée pour fermer la maison. Quand elle arrive, je reçois de nouveau l'autorisation de prendre une position plus confortable. Elle s'affaire dans la chambre à ranger de ci de là, à préparer ses affaires pour le lendemain, à se déshabiller. J'avoue que j'adore de devoir attendre ma Maîtresse ainsi consigné dans un coin de la chambre. Un vrai petit bonheur de soumis. Elle enfin prête et m'ordonne enfin de me relever.
- au dodo... mais avant mains sur le radiateur !
 
Je prends position lui offrant mon derrière qui récolte immédiatement une douzaine de coups appuyés.
- tu ranges la brosse et tu te couches immédiatement !
 
Une fois au lit, j'ai du lui caresser longuement son entrejambe, jusqu'à qu'elle parte en un très orgasme... Il n'y a pas à dire, mais quand tu en encagé tu es un bien meilleur suceur ou branleur de minou.
 
En récompense j'ai eu le droit de dormir sans la cage, mais uniquement si je restais sage.
23h15 extinction des feux.

dyonisos
Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Mardi 7 décembre 2 07 /12 /Déc 19:21
L'après-midi du dimanche a été tendue.
 
Très Vénérée Maîtresse a été en cuisine toute l'après-midi. Moi de mon côté j'essayais de ranger la maison en triant, jettant et réduisant le désordre partout où je pouvais. De temps en temps je m'arrêtais pour aller fumer dehors et souvent N. passait et me faisait un signe de tête très clair m'incitant à me remettre au boulot au plus vite. Je surveillais en même temps ses allées et venues, et plus d'une fois alors qu'elle rentrait dans les toilettes, j'ai eu des saveurs froides qu'elle me laisse son offrande en cadeau... Plus elle ressortait sans rien m'ordonner... j'en réchappais temporairement jusqu'à la prochaine fois. En fait de crainte en crainte, je suis arrivé à la fin de l'après-midi sans avoir eu à boire son nectar de nouveau.
 
Ma Maîtresse en avait manifestement marre d'être aux fourneaux et son humeur se détériorait à vue d'oeil. Elle me houspillait sans  cesse à faire ci ou à faire cela. Ah un moment je suis rentré dans la cuisine, elle tirait sa tête des mauvais jours :
- Que fais-tu là, toi ? Je pense que ce soir on va double la dose et passer à 60 coups de paddle ! Dépêche toi de te bouger !
 
Plus tard, juste avant de passer à table, j'ai eu un moment pour aller regarder les commentaires sur le blog. Quand est arrivée la catastrophe. Mon portable qui s'éteignait bizarrement d'un coup depuis 24h, a flashé, de la fumée est sortie par le lecteur de carte et une bonne odeur de cramé a remplie la pièce. Kaputt !! J'étais vert de rage. Il n'avait que 15 mois et bien entendu depuis de temps, il était passé hors garantie. Cela a néanmoins semblé détendre un peu ma Maîtresse qui a eu quelques considérations pour ma détresse. Mais elle a tout de suite rajoutée qu'heureusement elle avait l'original du fichier du calendrier.
 
Après le coucher de nos enfants, j'ai eu le droit de commander, avec son portable, un câble spécial pour récupérer les infos du disque dur. Puis elle m'a signifié qu'il m'était interdit d'utiliser son portable jusqu'à nouvel ordre. Dur, dur. Car sans sans ordi, j'ai commencé à tourner en rond pendant la soirée. J'ai essayé à un moment d'utiliser le vieux portable dédié aux enfants, mais sites BDSM et protection parentale ne font pas vraiment bon ménage. Je n'arrivais à rien.
 
Minuit ! C'est l'heure où les maris pas sages se font punir... cela s'est passé dans notre chambre. . Vite et efficace à son habitude. Elle m'a fait mettre nu, bracelets de cuir mis aux poignets et fixés à la cage chasteté, culotte porté pendant la journée enfoncée en guise de bâillon dans la bouche et hop j'ai été basculé à plat ventreblavent5_1.jpg sur le lit. Ma très Vénérée Maîtresse a imédiatement commencé à me chauffer le cul au paddle : 1, 2, 3,.... Cela m'a surpris et dès le début j'ai gigoté des jambes, ce qu'elle adore observer et donc qu'elle n'attache jamais. Par contre elle semblait un peu retenir ses coups par rapport à d'habitude peut être pour me consoler de la perte de mon portable...28.. 29.. 30 ! Elle s'arrêta un instant, je ne savais pas si elle allait continuer ou pas. Elle aussi semblait s'interroger sur la suite. Puis l'excitation a pris le dessus.
- bon cela ira pour aujourd'hui, allez au travail petit soumis !
 
Et sur ce, je la vois s'installer ostensiblement sur le lit en écartant les jambes pour m'inviter à venir communier en son temple. J'ai réussi à recracher le bâillon, mais mes mains étaient toujours attachées à la cage de chasteté. Je me suis laissé tomber doucement sur le lit, mais ma tête est arrivée trop bas entre ses jambes. Ondulant du corps tel un ver de terre, j'essayais de gagner les centimètres qui me manquaient pour positionner la langue au bon endroit. Elle s'amusait de mes ondulations pathétiques. Mais j'ai réussi à arriver à bon port avant de commencer à sucer...
 
Son orgasme atteint, elle dit :
- que c'est bon un petit soumis encagé. Allez au dodo maintenant !
 
Je me relève et me couche à ma place, les mains toujours entravées à la cage. J'essaye de trouver une bonne position prêt à m'endormir, mais cela ne lui convient pas. Elle me libère une main, et m'ordonne de venir lui caresser doucement le clito pour s'endormir détendue sous le massage...

dyonisos
Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Dimanche 5 décembre 7 05 /12 /Déc 08:54

femdom-slave-drinks-piss.jpg On devrait toujours se méfier de sa Maîtresse. Elle est et reste machiavélique surtout quand elle s'amuse. Ce matin elle a commencé par me demander ce que j'avais eu pour aujourd'hui :

- 30 coups de paddle 
- humm... bien. Bon je te rajoute une nouvelle tâche : celle de ranger aujourd'hui de fond en comble la maison !
- ?
- je jugerai ton travail ce soir !
- bien Maîtresse 
- eh oui au fait... je t'ai laissé un verre pour toi dans la salle de bain.
- mais... mais j'ai fini depuis 8h mon recyclage
- non je ne suis pas d'accord. A quelle heure as-tu bu mon nectar hier ?
- au gouter
- donc tu n'as pas fini tes 24h. Allez soit un bon soumis obéïssant !

Et sur ce, je n'ai pas eu d'autre choix que d'aller boire le grand verre qu'elle m'avait laissé. Cela m'a été difficile tellement son nectar du matin est amer mais j'ai réussi à le finir. Mais j'ai de nouveau l'estomac en vrac.

Maintenant je dois m'attendre qu'à tout moment, cela arrive !

dyonisos
 

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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