Dyonisos Soumis

 

Efterord : Pierre

Plus tard dans la soirée, Justine est partie dans sa chambre réviser. Claire aussi révise ses cours dans le bureau comme tous les soirs depuis qu’elle a commencé sa formation. Elke en a profité pour déballer ses affaires dans la chambre d’ami et passer quelques coups de fils. Elle revient finalement dans le salon-salle à manger ou Pierre en bon mari soumis vient de finir de tout nettoyer et de tout ranger. Par amusement, Maîtresse Elke fait une rapide inspection.

- Ok, tout est quasi parfait, chihuahua. Et ton repas était en net progrès. Claire te dresse vraiment bien !

- Oui, Maîtresse Claire est très exigeante quant à la propreté et au rangement de la maison, ainsi qu’à la qualité des repas. Et les cours qu’Elle a la gentillesse de me fait suivre à l’Institut, m’aident beaucoup à m’améliorer.

- Ah oui l’Institut. Tu dois me raconter ce qui se passe là-bas. Mais maintenant tu sais que je suis là et ce que cela signifie pour toi cette nuit ?

- Oui je dois disparaitre de votre vue pour vous laisser entre femmes et aller passer la nuit dans ma cage de toutou soumis au sous-sol.

- Alors qu’est-ce que tu attends, chihuahua ?

- Oui tout de suite, Maîtresse Elke !

Il s’apprête à ouvrir l’escalier du sous-sol.

- Non pas de cette façon. Tu te déshabilles ici et tu me sors ton collier et ta laisse. Ils sont où ?

- Dans le tiroir fermé à clé de la commode dans la chambre.

- Alors va les chercher !

Pierre revient avec ce qu’il lui a été demandé. Il se dévêt complétement mal à l’aise sans cesser de regarder si aucun enfant n’arrive. Elke note combien sa peau vient d’être marquée si  durement. Et c’est récent…

- Et tes affaires tu les laisses là ?

- Non Maîtresse Elke, désolé.

Et il court les mettre dans le panier à linge sale. A son retour, Elke lui referme le collier autour du cou, y attache la laisse avant de lui ordonner.

- A quatre pattes, le chihuahua ! J’ai envie de sortir mon chien faire ses besoins dehors…

Dehors justement, la nuit n’est pas déserte. Le couple voisin fume sur la terrasse de la maison d’à côté à quelques mètres. Le toutou en laisse se fige.

- Et alors qu’est-ce qu’on en a affaire des voisins ? Tu n’es quand même plus un jeune chiot en apprentissage. Et même s’ils te voient, cela sera très bien : ils seront qui est le chef à la maison. Allez avances ! Il est où le pipi-spot ?    

- Au fond, derrière la cabane, caché par les haies… mais Maîtresse ne m’y emmène plus depuis longtemps.

- C’est dommage de perdre les bonnes habitudes, mais nous allons te faire une piqure de rappel ce soir… Ah nous y voilà… Allez à toi d’œuvrer en bon toutou soumis patte levée… et pendant ce temps je veux tu me racontes tes séjours à l’Institut.

- Oui, Maîtresse Elke. J’y vais tous les quinze jours, le samedi toute la journée. C’est Maîtresse Claire qui m’a inscrit. J’arrive à huit heure le matin et je passe la tenue obligatoire de French Maid avec bas, soutien-gorge, culotte en dentelle et perruque blonde. Nous sommes quatre maris soumis au cours tous habillés pareils. C’est un couple de dominants qui nous reçoit chez eux, Maîtresse Nadine et Maître Bruno. 

- Tu y vas depuis longtemps ?

- Dix mois. La formation complète dure deux ans. Au programme lessive, repassage, ménage, cuisine et tout ce qu’un bon mari soumis doit savoir maîtriser pour rendre heureuse sa Maîtresse. Si nous n’y arrivons pas ou faisons mal les choses, Maîtresse Nadine nous punit à la canne immédiatement devant les autres, jupe relevée, culotte baissée et les mains sur les chevilles. L’après-midi…

- Espèce de sale petit chiot mal élevé ! Tu ne peux pas faire attention pour ne pas te pisser dessus ! On dirait que tu n’as rien appris depuis toutes ces années… Allez continues… Mais tu ne perds rien pour attendre !

- L’après-midi Maître Bruno nous prend à part l’une après l’autre pour un cours très particulier. Nous y passons toutes une fois tous les deux mois.

- Humm intéressant et qu’est-ce que Maître Bruno vous apprend ?

- A donner du plaisir à un Maître. Maître Bruno demande au préalable la clé de ma cage auprès de Maîtresse Claire que j’apporte dans une enveloppe scellée. Je suis décagé et un anneau de Kali est fixé à mon sexe à la place. Cela commence habituellement par une fellation profonde imposée et complète qu’il faut faire sans broncher. Puis souvent Maître Bruno se soulage la vessie dans notre bouche. Pendant un temps il s’amuse à tourmenter notre clitoris avant de nous attacher pour, comme il le dit, « nous chauffer notre cuir de femelle écervelée » à coup de lanières. Enfin il… il…

-  Que te fait-il, chihuahua ?

- Il… il…  m’encule comme une fille  les fesses relevées sur un oreiller.

- Tu aimes cela, chihuahua ?

- Oh oui, Maîtresse Elke ! J’aime la sensation de n’être qu’un objet pour son plaisir. J’aime la sensation de son sexe qui glisse dans mon rectum sans pitié. J’aime quand il part en moi. Je bande tellement que j’ai les pointes qui me rentrent dans la peau et que je saigne.

- Ah voilà notre chihuahua qui développe son petit côté féminin. Bien sûr Maîtresse Claire le sait…

- Oui, je lui ai avoué.

- Et qu’est-ce qu’elle en dit ?

- Elle me taquine en disant qu’elle allait me prêter à un groupe de Maîtres gays.

- Elle a bien raison, vu comment tu as l’air d’aimer cela. Bon tu as fini… Oui ? Et comment je fais pour te nettoyer de tes saletés ?

- Il y a des chiffons dans la cabane…

----- 

- Bon avant de te descendre au sous-sol, il serait bon que tu montres bon papa et que tu ailles dire avec moi bonsoir aux enfants…

- Non, ne m’infliger pas cela, Maîtresse Elke !

- Comment ça non ? Et que fais-tu des intentions de ta seconde Maîtresse ? Et si moi, j’ai envie pour mon plaisir que tu ailles dire bonsoir en soumis aux enfants ?

- Pitié, Maîtresse.

- Pas de pitié, allez ouste le chihuahua, on commence par ta grande fille.

Et Elke accompagne ses paroles d’un superbe coup au cul du chihuahua qui participe à l’emmener jusqu’à la chambre de Justine.

- Bonsoir Justine, nous venons te souhaiter une bonne nuit avec ton chihuahua de père. Il ne voulait pas venir mais bon tu me connais…

- Trop forte, tata ! J’adore ! Je suppose qu’après tu enfermes papa au sous-sol pendant que tu seras avec maman.

- Je ne peux rien cacher à ma Juju, alors oui. Tu sais nous revenons du jardin où ton père a fait ses besoins. Oh je te rassure que du fluide, rien de solide. Il s’en est même mis partout avec la cage.

- Tiens peut être que moi aussi, je devrais faire pareil.

- Ne te gêne surtout pas. Plus tu humilies un mâle soumis, plus il aime cela. Tu sais à ce propos, que ton père adore se faire baiser le trou du cul par une bite ?

- Non je ne sais pas, mais cela ne m’étonne pas de lui. Déjà qu’il bandouille dans sa cage, pendant que je le fouette…Oui, papa, tu crois que je ne le vois pas ? Mais bon pour tout t’avouer, te fouetter me fait aussi mouillé ma culotte…

- Attend pas de procès hâtif. Laisse-le se défendre un peu… Alors, chihuahua, cela fait quoi de se faire fouetter par sa propre fille ?

- S’il vous plait, Maîtresse Elke…

- Non je veux t’entendre ainsi que MAITRESSE Justine.

Le chihuahua est cramoisi.

- Je… Je remercie Maîtresse Justine de prendre le temps de me discipliner en secours de Maîtresse Claire.

- Banalité que tout cela. Je veux entendre ce que tu ressens au fond de toi-même quand tu es sous le joug de Mademoiselle ta fille.

- Je suis fier en tant que père de la femme qu’elle devenue…

- et ?

- Je ne veux pas…

- Si tu vas, que Justine entende de son père ce qu’il en est vraiment. Plus de faux semblants. Sois honnête avec toi même, chihuahua !

- Je suis souvent excité… par… par la situation… par le fait que cela trouble… par c’est ma fille… parce que elle est beaucoup moins précautionneuse que sa mère et qu’elle m’envoie loin dans ma tête quand elle me frappe…

- Tu vois, chihuahua, ce n’était pas si difficile de dire la vérité. Tu te le savais Juju ?

- Je m’en doutais mais je pensais que c’était plus par réflexe conditionné, pas autant intellectualisé. Cela fait une bonne base que nous travaillerons mercredi prochain, papa.

- Tu sais, chihuahua, que ta fille a déjà un copain soumis rien qu’à elle, en cage, qu’elle punit et encule ?

- Non ?

- Alors tu devrais être fier d’elle. Cela fera une superbe Maîtresse de mâle soumis, et pourquoi-pas de femelle, sûre d’elle et beaucoup moins inhibée que sa mère. Allez nous te souhaitons une bonne nuit Juju et fait de beaux rêves dominants.

Ils passent rapidement devant la chambre du petit dernier (« Trop jeune pour voir certaines choses ») et arrivent devant la chambre d’Arthur. Pierre est complétement crispé et ne veux plus suivre Elke.

- Non jamais ! Je ne veux pas : il est trop jeune ! Et il a encore le temps de choisir un autre destin que son père…

- Je crains, Pierre, qu’il soit déjà trop tard pour ton fils. Il a déjà le parfait caractère d’un garçon soumis aux femmes. En pamoison devant elles mais trop timide pour qu’il arrive quoi que ce soit. Tout toi à son âge…

- Non laissez le tranquille. C’est un garçon fragile. Il trouvera son bonheur avec les femmes mais pas dans la soumission. Il n’est pas facile de développer son caractère avec les femmes trop présentes au -centre de la maison. Putain c’est qu’un gamin !

Maîtresse Elke est agacée. Elle raccourcit la longueur de laisse forçant la tête du chihuahua à se tordre dans sa direction.

- Soit raisonnable, chihuhua, et accepte ce que la nature a fait de ton fils.

- Ce n’est pas la nature qui a fait cela. Mais le milieu des hommes – et surtout des femmes - dans lequel il grandi qui le broie. Jusqu’à huit ans alors que la D/S était encore un jeu entre Claire et moi. C’était un garçon joyeux, actif et plein d’initiatives. Et puis Claire est devenue Maîtresse Claire et j’ai accepté par faiblesse. C’était une erreur, je m’en aperçois maintenant. Comment voulez-vous qu’Arthur se construise en tant qu’homme alors que les seuls modèles d’adultes proches qu’il a en face de lui, c’est un homme qui se fait battre et dresser pas sa femme, et aime cela, et des femmes, y compris maintenant sa propre sœur, qui prennent plaisir à dominer les hommes, à les tourmenter pour leur seul plaisir sadique. Je savais que Claire emporterait Justine sur sa voie. C’était un combat perdu d’avance vu la fascination qu’elle avait pour les actes de domination de sa mère. Mais Arthur non, laissez-lui le choix, laissez-lui vivre sa vie sans croire qu’il est obligatoire d’être humilié le jour de ses quinze ans à porter le même pyjama décoré que son petit frère de cinq ans.

- Te voilà, subitement, l’esprit bien protecteur. Très papa poule, Pierre.

- Non cela monte depuis longtemps. Voilà maintenant que sa mère veut lui faire porter une cage de chasteté  - à quinze ans ! et je suis sûr que tu en es complice – tout cela parce qu’elle a décidé que tous les hommes de la maison devait être encagé à partir de cet âge. Elle veut le contrôle complet sur tous les mâles de la maison. Putain c’est sa sexualité à lui et je m’en fou qu’il la réalise ou non avec une copine. D’ailleurs si c’était sa petite copine qui le demandait d’être encagé et qu’il l’acceptait volontairement, cela serait son choix de la façon où il va vivre sa sexualité. Mais là c’est sa mère qui veut intervenir dans sa sexualité, pour la contraindre, dans le seul but de garder son emprise sur lui. C’est très proche de l’inceste. Comme elle encourage sa fille, à s’amuser sexuellement explicitement du corps de son père. Tout cela n’est pas normal…

- Te voilà bien remonté contre ta Maîtresse. Elle me l’avait fait entendre par mail, mais je ne pensais pas que cela en était arrivé à ce point-là. Pourtant toi à son âge tu étais dans les mêmes dispositions que ton fils aujourd’hui.

- Non à quinze ans je me posais des questions sur ce que je voulais de ma vie. Les femmes m’impressionnaient comme lui. Mais la grande différence, c’est qu’au grand jamais mes parents m’ont influencé pour devenir le mari et le papa soumis que je suis devenu. C’est mon choix d’adulte et pas celui d’autres personnes et c’est comme cela que je vois la valeur du libre-choix dans la vie humaine.

- Tu regrettes le choix que tu as fait ?

- Parfois oui. Parfois non. Je reconnais que cela a rendu notre couple indestructible contrairement aux autres. Cela a réalisé à tant de fantasmes d’adolescent et de jeune adulte qui m’ont si excité à réaliser. J’adore aussi appartenir à une femme qui décide pour moi. Mais dans ces pratiques, il y a une noirceur indélébile, qui formate l’esprit, et qui pousse à aller toujours plus loin dans la fange.

- Bref ce que tu me demandes à moi, c’est de sauver ton fils, à l’encontre de mes convictions sur la nécessaire domination de certains sous-mâles. Il y aussi cette rébellion verbale que je ne saurais pas laisser passer. Et-tu prêt à te sacrifier pour que je n’ouvre pas cette porte, maintenant ? Sache avant de répondre que je suis passablement agacée et ce que j’envisage en ce moment sera intolérable jusqu’au sang et plus encore. Et que tu auras mille fois où tu regretteras de ne pas m’avoir livré ton fils ? Alors es-tu prêt à te sacrifier ?

- Oui…

- Regardes-moi quand tu me parles ! Je veux voir la sincérité de tes yeux.

- Oui, Maîtresse, je suis prêt à me sacrifier.

- Le sort en a donc décidé. Allez chihuahua à la cave que je m’occupe de te faire regretter ton choix. Et dépêche-toi où je pourrais regretter ma clémence du moment !

----- 

Dans la salle du sous-sol, le corps de Pierre, étroitement sanglé au banc, a été fustigé durement un long moment. Ce corps est strié de centaines de balafres depuis le coup jusqu’aux mollets, qui n’ont épargné aucune parcelle de peau. La ceinture de chasteté a même été enlevée pour que le chihuahua n’ait plus aucune protection. Le sang perle en de multiples endroits. Le chihuahua sanglote doucement dans son bâillon.

- Je t’avais dit que cela serait dur, chihuahua. Garde ton souffle je n’ai pas fini de passer ma colère sur toi. Nous avons fait le derrière. Nous allons nous occuper du devant maintenant !

Le chihuahua est désanglé et attaché debout à un crochet du plafond, les jambes maintenues écartées.

- Ah, ah. Voilà ton petit chose avec ses deux orphelines, tout mimi tant il est recroquevillé. Cela ne t’excite pas plus de te sacrifier pour ton fils ? Dans cet état, même Luc parait plus adulte que toi. Tu sais que toi et Arthur avez exactement le même appareil, taille mini,  Sans doute suffisant pour faire des bébés – tu l’as prouvé – mais insuffisant pour combler définitivement une femme. A cela aussi Arthur devra faire face… Quant au beaucoup mieux membré Luc, on va dire que cela a sauté une génération… Il sera un vrai mâle lui ! … Bon fais voir ce que cela donne dressé… Je crains tellement c’est peu remarquable de ne plus m’en souvenir depuis l’été dernier… Oui c’est bien… Dresses-toi petite chose… allez fais un effort…Grossis ! Allonges-toi encore !... C’est tout ? Tu ne peux pas mieux faire ? … c’est tout juste plus long que le plus petit de mes doigts… Depuis combien de temps, elle n’a pas craché ? Deux, trois mois quelque chose comme cela… alors tata Elkie va s’en occuper… une deux une deux… en cadence comme à l’armée… humm elle semble mûre à point… et oui cela sort…  crache ton sale venin petite chose… y en a plus… allez encore un petit effort… voilà c’est tout vidé… Combien tu as tenu ? Vingt secondes, trente secondes ? C’est ta noirceur qui te fait partir si vite après avoir été fouetté ?... Tu as vu la tâche de sperme sur le sol ? … C’est dégoutant ! … Tu ne nettoieras tout cela avec la langue, mais tout à l’heure. Car pour l’instant après les douceurs, c’est l’amer… Tu ne comprends pas ?... Je t’explique… L’homme excité sublime la douleur, l’homme préalablement trait la goutte dans son intégralité… Allez à ton âge, j’ai vingt minutes pour œuvrer…D’ailleurs je commence… Prend ton souffle… Attends je ne comprends pas dans ton bâillon, tu aimes ou n’aimes pas que je t’écrabouille les couilles… Je recommence…

Les couilles du chihuahua sont pendant de longues minutes, écrasées, étirées, arrachées, pincées. Cela a toujours été le point faible du chihuahua comme beaucoup d’autres soumis. Elke se repait des cris étouffés de l’homme tourmenté. 

- Bon c’était la partie la plus agréable pour toi. Je crains que tu n’aimes pas la suite, comme les autres soumis à qui je l’ai imposé. Mais bon cela six ans maintenant que tu es dressé par Maîtresse Claire et tu es devenu beaucoup plus endurant. Il est temps de passer à des punitions d’adultes.

Et le chihuahua voit avec effroi, Maîtresse Elke, se saisir d’un fouet court et viser son entrejambe. C’est l’enfer sur terre, intolérable, souffrance totale qui éclate dans le corps, aucune possibilité de gérer sa douleur dans la tête. Sans répit, vingt fois, trente fois – le chihuahua ne sait plus – le fouet marque ses chairs les plus fragiles et y laissent une terrible douleur permanente. Pour terminer, la maitresse danoise lui marque le torse à la volée d’une série de belles zébrures, presque un soulagement par rapport à ce qu’il vient de vivre. Elke contrôle l’état final du corps.

- Pas mal ! Voilà un beau soumis bien maté… Où est le jet d’eau que je te nettoie un peu… Ah dans l’angle.

La force du jet d’eau lui réveille la douleur dans chaque blessure, mais à la fin il est nettoyé de tout le sang séché. Ne restent plus que les balafres maintenant violacées…

- Ah plus de sperme. Dommage… L’eau à tout nettoyé. Bon il est temps de te préparer pour ta nuit de remord. D’abord on remet sa ceinture. Attend Claire a mis où le paquet que je lui ai envoyé la semaine dernière ? Ah sur l’étagère… Ouvre ton cul que j’enfile le plug. Etonné ? C’est la version Punisher de la cage pour les soumis désobéissant comme toi. Gunther l’a encore perfectionné. La base du plug se déploie dans le rectum pour bien te verrouiller et maintenant il y a un système électrique de rappel à l’ordre programmé là… humm toutes les heures. Une petite décharge et tu te rendors. Faudra quand même faire gaffe de ne pas être en train de conduire à l’heure pile. Sinon le reste c’est comme l’ancien modèle. Des piques si tu bandes. Privé de la liberté de déféquer quand tu veux. C’est à heure fixe, si ta Maîtresse te l’autorise et uniquement par lavement. Le trou est trop petit pour laisser passer tes crottes. Moi d’habitude c’est pour au minimum un mois incompressible. Mais bon tu verras cela avec ta Maîtresse, demain car ce soir tu te rappelles c’est entre filles. D’ailleurs ta Maîtresse risque de se lever tard demain., on va lui faire gagner un peu de temps en te mettant déjà l’eau du lavement. Voilà c’est fait. Allez en cage le toutou !

En dernières perversités, Elke enlève le matelas de la cage et lui attache les mains dans le dos à un barreau de la cage. Elle quitte alors la pièce en fermant la lumière.

- Je te souhaite une très bonne nuit chihuahua…

Précédent Début Suivant
Mer 27 jui 2016 4 commentaires
Bonsoir Dyonisos,

Même si je suis très heureux de te retrouver pour de nouvelle aventure j'ai beaucoup de mal a accrocher avec celle ci.

Je trouve que que ça va trop vite et même si le fond de l'histoire peut être intéressant pourquoi tout mélanger d'un coup.

La fille qui devient gardienne des clés et des progrès d'un jeune puceau, d'un coup propulsé par sa tante bourreau de son propre père...

Je fini par ne plus savoir qui fait quoi a qui...

Désolé pour ce commentaire critique alors que tu sais que j'adore habituellement ce que tu écris. Merci tout de même de nous faire partager ton travail qui est toujours aussi riche en rebondissement.

A bientôt.

Mister.Cocu
Mister Cocu - le 27/07/2016 à 21h27

Tu peux ne pas aimer - pas grave et c'est ton droit - par contre j'ai comme un doute : as-tu compris que c'est l'épilogue de l'histoire du Domaine ? L'as tu lu ? Après le texte à été écrit il y a plus de 3 ans et mon artisanat à évolué depuis... donc forcément tu ne retrouves pas les trucs et astuces dans la façon d'ecrire le récit que j'ai expérimenté depuis. ..

dyonisos
ha la l on retrouve la vraie Elke reine de son domaine ... c est etréme et seul le coté en famille géne un peu , beaucoup , enormement ,voir pas du tout lol .
si au debut du recit il y a trois ans j approuvais au jourd d'hui j ai plus de mal avec les sevices physique aurais je moi aussi evolué ? comme une etape de passée ? , en tout cas la bete liberé d hier soir et vidée en chatte dans la piscine est resté stoique ...
amitié Yanode
yanode - le 28/07/2016 à 08h31

Reste stoïque la avant de renaître au chapitre suivant !! Merci.  Un zizi d'homme reste un homme, surtout quand on filtre avec les tabous familiaux...

Après je suis d'accord : je n'écrit ais plus maintenant les passages physiques de la même manière et c'est la que le récit à la première personne est plus immergeant pour le lecteur.

Amitié dyonisos 

dyonisos
Pauvre Pierre mais bravo à lui pour sacrifice : il a su préserver son fils et lui donner une chance de ne pas être soumis trop jeune, et surtout contre son gré. Car rappelons toujours que tout cela doit rester un jeu, même si parfois il peut nous emmener très loin dans la noirceur
Chaste59 - le 28/07/2016 à 17h15

C'est marrant de lire cela quand tu sais combien la situation est piège.  Pour le reste c'est comme dit yaya une fiction dont j'ai envie le ludique pour la fin. Une fiction ou tout est autorisé même si c'est border line. La j'ai décidé que 15 ans devait être l'âge possible pour enfermer un jeune garçon sans son  accord, même si dans ma vraie vie tout cela est à l’encontre de mes valeurs perso.

dyonisos
perdu chaste59 rien ni personne ne serra epargnié .... tu aurais du lire la fin avant LOL .
dans ce recit il ni a plus le coté ludique c est je crois voulu et c est bien ce qui en fait une fiction ...
amitié Yanode
yanode - le 29/07/2016 à 09h40

dyonisos