Dyonisos Soumis
CHAPITRE 3 - Dobbelt Fødsel
Pierre était rentré le premier. Jamais il ne s’était senti aussi humilié et mal à l’aise. Il avait envie de quitter immédiatement ce lieu. Mais argumenter avec elle n’avait jamais été facile, et cela était même devenu plus difficile les dernières années. Il était loin le temps où elle tenait chacune de ses phrases comme une Sainte Parole et il arrivait de moins en moins à obtenir gain de cause dans leur dispute.
La visite ne fit que lui confirmer dans quel lieu, elle l’avait emmené. Le salon par l’où on rentrait avec tout d’une pièce normale très lumineuse avec des grandes baies cadrant la nature et une mignonne petite cheminée dans un angle. Mais le seul mur aveugle portait des anneaux de fer scellés, ainsi qu’un râtelier avec un choix d’outil de flagellation et des cordes pour immobiliser. On atteignait la petite cuisine par quelques marches. Une cuisine tout à fait normale sauf qu’un détail lui sauta immédiatement aux yeux : il n’y avait qu’une seule chaise devant la table. En enfilade, se trouvait la chambre aussi sombre que le salon était clair, éclairée par de toutes petites fenêtres à raz de plafond. Le mobilier était très sobre : un lit en bois, un banc et… une cage infiniment noire, aux lourds barreaux d’acier, juste à la taille d’un homme – un soumis pour être précis -, ce genre de modèle que l’on ne voyait que dans les films spécialisés. Cela se saisit au plus profond de son être et il en était effrayé. Il resta un long moment à la fixer en redoutant le moment quand il y serait enfermé – car il ne doutait pas une seule seconde que sa Maîtresse ayant accès à ce type d’objet puisse ne pas s’en servir.
Il sursauta quand Claire lui mit une main sur son épaule.
Elle avait attendu avant de se décider à rentrer et à affronter la peur de Pierre. Au moment de rentrer, elle avait respiré un bon coup pour prendre de l’air avant de passer en apnée. Elle n’aimait pas ce qu’elle allait faire, mais elle était intimement convaincue que cet abus était nécessaire. Elle ne s’était pas attardée pas sur les équipements du logis. Grâce à Elke, elle savait déjà tout.
Pierre s’était retourné. Son visage était livide.
- non je ne veux pas… allons-nous en s’il te plait ma chérie…
Elle avait décidé à l’avance de rester silencieuse.
- Cette femme qui me regardait si profondément… cet homme qui ta fait un baise main… cette cage…
Elle voyait tout le trouble qui avait envahit Pierre, mais elle s’y attendait.
- Partons s’il te plait… cet endroit me fait peur. Partons vite.
Les derniers mots avaient été dit d’un mince de voix… Pierre restait le regard fixé sur la cage. Elle laissa le silence tombait dans la pièce pendant un moment avant de répondre.
- Nous ne partirons pas de ce lieu chihuahua car, vois-tu, JE l’ai choisi avec soin et il est parfait pour faire ce que J’ai décidé. Tu ne sais pas ce que tu veux. Tu me fais chier tout le temps, avec ton besoin d’être soumis et quand je te le propose tu te défiles ! Alors j’ai choisi pour Moi puisque tu n’arrives pas à te décider. Merde après tout tu vas te défiler en permanence ? Tu veux être MON soumis ou non ? Ton choix est simple… Soit tu pars d’ici immédiatement pour satisfaire ta petite personne, mais moi je reste! Soit tu m’obéis et tu te soumets immédiatement en allant au coin après t’avoir enfilé ton plug favori dans le cul. JE vais attendre dehors que tu ais décidé.
Et sur ces mots, elle quitta la chambre et sortit du bâtiment sans lui laisser le temps de répondre. Elle avait beau y avoir réfléchi intensément ces derniers mois, elle n’avait pas trouvé d’autre possibilité de gérer ce moment. Elle en avait aussi longuement discuté avec Elke qui l’avait conforté dans cette idée. Alea jacta est.
Elle prit son temps profitant de la beauté du lieu avant de se décider à rentrer voir comme cela avait tourné.
De retour dans la chambre, elle eut la satisfaction de voir qu’il l’attendait le nez contre le mur, le pantalon aux chevilles et avec le plug qui dépassait de son derrière. La vue du petit cul nu de son soumis était si excitante à en mouiller. Finalement cela n’avait dû être pas si difficile que cela pour lui de se décider à se soumettre. Elle en était presque déçue qu’il n’est pas montré plus de résistance. Elle ne savait pas ce qui l’avait décidé en fin de compte, mais le résultat était là devant ses yeux : un soumis cul nu tout appétissant ! Elle se laissa aller à profiter le plus possible du moment en défaisant ses affaires tranquillement comme si c’était une journée comme les autres. Pierre qui l’avait entendu arriver sembla à un moment devenir impatient et bougea de plus en plus. Elle répliqua immédiatement : Pas bougé le chihuahua ! Ce qui eut pour effet de le raidir immédiatement dans sa position.
Elle s’assit un moment sur le banc pour contempler les 2 fesses qu’il lui montrait. A la pensée de ce qu’elle allait leur faire subir – la phase 2 de Elke – elle en mouilla encore plus. Oh comme elle allait aimer ce moment. Elle finit par se relever pour aller chercher au salon de quoi l’attacher et le frapper. Le désir de la dominatrice déferlait en elle alors qu’elle étudiait de quel instrument elle allait se saisir sur le râtelier. Il y a avait une dizaine de cravaches, fouets et autres baguettes mais une avait un mot attachée à la poignée par une cordelette mauve. Il disait :
Cette cravache fait partie de ma collection personnelle que je
t’offre
Elle me semble l’instrument parfait pour ce que tu vas
faire
Pense que cela va être une double
naissance :
celle d’une Reine et celle d’un
soumis
C’est un moment rare : profite s’en bien.
Elke.
L’instrument était magnifique avec un manche sculpté dans un bois très noir. Elle cingla l’air de quelques coups : Elke avait eu encore une fois raison, c’était l’instrument parfait.
De retour dans la chambre, elle courba Pierre sur les barreaux de la cage. Aucune résistance, comme il semblait docile. Elle prit son temps pour lui attacher les mains le plus loin possible, et les chevilles légèrement écartées. Au passage elle découvrit que Pierre montrait sa plus belle forme. « Cela ne va pas durer », pensa-t-elle. Elle finit sa préparation en remontant le bas de se chemise sur ses reins et en descendant au plus bas l’ensemble du pantalon et du slip. Elle recula alors d’un pas pour contrôler l’allure général du tableau, qui la satisfit.
Claire se plaça alors à côté de sa cible et aillant saisi sa cravache, commença la raclée « mémorable » qu’elles avaient prévue avec Elke, comme acte fondateur. Le premier coup parti avec toute la force qu’elle pouvait mettre dedans, siffla dans l’air et vint s’abattre contre la fesse tendue. Le chihuahua lança un long cri de surprise et de détresse. Il tenta de se ruer dans ses liens sans succès. Elle jeta rapidement un coup d’œil à la cible : la peau avait éclaté sur l’impact et déjà un peu de sang suintait. Loin de l’effrayer, cela la rassura sur sa capacité à marquer l’esprit de Pierre. Elle lança un deuxième coup. Puis un troisième visant une zone différente à chaque fois. Elle attendait quelques secondes entre chaque lancé et repartait de plus belle. Elle se réglait sur ses cris qu’elle voulait puissants et aigus. Quand il ne criait pas assez, elle frappait plus fort le suivant. C’était une raclée, pas un jeu !
Elle n’avait pas compté, mais elle finit par faire une pause autour du quinzième coup. Elle avait besoin de reposer son bras. La vue du cul ensanglanté de son soumis la mettait dans un état d’excitation avancé, et là elle était sur un plateau. Elle se rappela qu’elle devait parler, lui marquer l’esprit comme le corps. Elle commença :
- ce n’est qu’un aperçu de ce que tu vas endurer tant que tu ne seras pas parfaitement dressé !
Pour ponctuer sa phrase, elle ne résista pas à lui donner une cinglée supplémentaire qui le fit crier intensément.
- Je n’accepterai plus jamais que tu cherches à me résister. Plus jamais.
Un autre coup pour lui faire bien rentrer dans la tête qu’elle y était déterminée.
- Je t’aime mais tu as vraiment besoin que je te remette les idées en place mon petit mari macho.
Elle terminait chacune de ses phrases d’un coup cinglant sur ses fesses.
- Tu as voulu jouer mais maintenant on va appliquer mes règles à moi.
Schlak !
- Il va falloir que cela change à la maison et que tu sortes de ta bulle !
Schlak !
- Tu ne t’occupes jamais des enfants, c’est toujours moi qui se démerde quand ils sont malades !
Schlak !
- Les lessives. Le ménage c’est pour moi pendant que mon mari traîne sur internet. Là aussi cela va changer !
Schlak !
- Tu vas voir je vais te dresser mon petit chihuahua ! Tu vas être le mari parfait et tu n’as pas intérêt à rechigner ! Je veux le parfait toutou à ma botte et je l’aurai ! Si je pense que tu ne te bouges pas assez vite et suffisamment, tu seras cocu mon chéri avant que tu es le temps de t’en apercevoir. Il y a cet architecte qui me plait beaucoup au boulot….
Schlak ! Schlak ! Schlak ! Schlak ! Schlak !
Elle fit une nouvelle pause pour contempler le résultat. Le cul du chihuahua était strié de balafres où s’échappait du sang suintant. Mais cela ne lui suffisait pas. Elle mouillait sans cesse et ne voulait pas arrêter. C’était une raclée qu’avait dit Elke après tout !
- Prépare-toi, ce n’était que le début. Voilà la vraie punition !
Et elle recommença à frapper régulièrement et méthodiquement. C’était si jouissif ! Elle ne s’arrêta que quand elle prit conscience que Pierre ne criait plus et pleurait sous la cravache. Ses fesses étaient un vrai désastre. Elle le libéra et le consola un moment entre ses bras, sans réussir à calmer ses pleurs. Il était devenu maintenant un animal craintif face à sa Maîtresse.
- va te nettoyer sous la douche tu fais vraiment pitié à voir mon pauvre chéri. Et tu profiteras pôur te raser autour du zizi comme il sie à une petit garçon.
Au sortir de la salle de bain Pierre souffrait encore beaucoup mais l’eau chaude l’avait quand même un peu apaisé. Il avait été choqué par la violence qu’elle avait déclenchée envers lui. Et pourtant à bien y réfléchir il ne lui donnait pas tort dans ses arguments, car au fond elle avait raison et il avait été trop idiot pour en prendre conscience. Il était presque à se dire que sa punition si douloureuse était à la hauteur de sa paresse et il l’aimait d’autant plus qu’il se sentait honteux d’avoir été si égoïste ces dernières années. Oh oui il l’aimait sa femme. La cinglée avait été un enfer pour lui. Jamais il n’aurait imaginé autant souffrir. Mais avait été aussi une expiation. Il se promit de tout mettre en œuvre désormais pour ne jamais retourner dans la même position.
Il trouva Claire étendu sur le lit. Elle était nu en bas et écartait impudiquement les jambes. Il savait ce qu’elle attendait de lui. Il se glissa dans son entrejambe tout en faisant attention à ne pas attiser la douleur sur ses fesses et commenca à sucer du mieux qu’il pouvait. Après tout, sa femme pour sa clairvoyance le méritait. Elle appréciait manifestement l’hommage. Elle haletait, râlait, couinait, venait lui pendre parfois la tête pour l’enfoncer plus profond. Il variait les hommages. Parfois la langue sur le bouton, parfois les dents. De temps en temps, une pointe inquisitrice dans le trou si béant à jouer avec les bords. Et le plaisir montait chez Claire, explosait puis repartait de plus belle. Cette femme était magnifique et méritait toute son obéissance. Elle serrait maintenant de plus en plus souvent les cuisses de jouissance, et il devait lutter pour rester au contact. Elle ne semblait pas se lasser mais lui commençait à se fatiguer de la langue. Pourtant il ne cessait pas l’hommage. Elle finit dans une longue plainte de plaisir qu’elle interrompit à son climax en lui repoussant la tête. Il essaya de revenir en position, mais elle se mit sur le côté, en ayant eu suffisamment sans doute.
Claire s’était assoupie, vaincue par les hormones. Il ne savait que faire, se sentant de trop sur le lit. Il se décida pour aller se remettre dans le coin, cette fois à quatre pattes dans l’angle de la pièce et ressassant la leçon qu’elle lui avait donné. Et surtout réfléchissant comment éviter à l’avenir de se retrouver dans une si douloureuse situation.
Quand Claire se réveilla, elle chercha des yeux sa moitié et elle vit avec satisfaction qu’il s’était remis de sa propre initiative au coin. Elle admira l’état de ses fesses, dont elle était responsable. Le sang avait disparu, et son cul était barré de haut en bas de long traits rouges. Il y a avait quelques balafres qui avaient éclaté sa peau. Mais globalement vu la force qu’elle avait mise, le résultat était moins désastreux qu’elle aurait cru. Ou alors il été capable d’endurer plus qu’elle aurait imaginé.
Elle se leva et se rapprocha de son soumis. Elle s’arrêta derrière ses talons et lui parla comme elle aurait parlé à ses enfants.
- le petit garçon n’a été pas sage et a dû être puni. Mais maintenant il sait quelles bêtises, il a commis et qu’il va faire attention dans le futur d’être beaucoup plus obéissant. Maintenant il va se dépêcher de remettre sa tétine dans son petit trou, de mettre son collier et d’enfermer son petit zizi de garçonnet dans sa cage. Il mettra des jolis vêtements pendant que Maman ira prendre sa douche.
Claire se sentant beaucoup plus fraiche après la douche, finit de s’habiller avant de s’occuper à nouveau de son soumis. Il se présenta devant elle pantalon baissé, pour côté pile lui faire constater que son trou était bien embouché et côté face pour lui présenter sa cage pour être verrouillée par ses soins. Il avait remis son collier de soumis, mais elle ne trouvait pas cela satisfaisant à 100%. Elle alla chercher un cadenas dans la valise pour verrouiller le collier. Il ne dit rien et referma son pantalon. Elle reconnut qu’il portait les plus belle affaires qu’ils avaient prises : un jean blanc et une chemise de lin. Il était si élégant dedans.
Il était plus que temps d’aller dîner et ils partirent ensemble, sans l’avoir au préalable remis en laisse.
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Et manifestement une belle érection à ce que je lis. MDR.
amitié, dyonisos
amitié
Profites donc de ta liberté !
Tu dois être le seui qui l'a remarqué, mais oui les titres ne sont pas en français. Et pour info, Elke est danoise non suédoise.
amitié, dyonisos
amitité yanode