Dyonisos Soumis

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C'est une époque de pudibonderie totale. Le sexe devient complètement tabou et plus encore la masturbation porté par le mouvement de fond du monde occidental à la suite du docteur Tissot qui écrivait (et il n'était pas le seul) :

La trop grande perte de semence produit la lassitude, la débilité, l'immobilité, des convulsions, la maigreur, le dessèchement, des douleurs dans les membranes du cerveau ; émousse le sens, et surtout la vue ; donne lieu à la consomption dorsale, à l'indolence et à diverses maladies qui ont de la liaison avec celles-là. 

Cela peut paraître ridicule mais les hommes et les femmes de la bonne société de cette époque croyaient à ces fadaises. Je pense que le peuple lui se masturbait sans vergogne.

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Nous en avons déjà parlé ici de pratiques restrictives de cette période Victorienne, avec ce  guide to the correction of young gentleman, que j'ai retrouvé il y a quelques années qui est très clair que la masturbation chez les petits garçons, c'est pas bien. Il y a été écrit ou plutot sensé l'être par une gouvernante au tout début du XXème siècle, mais revendique des positions de la fin du siècle d'avant.

Tout garçon doit porter une chemise de nuit. Il n'est pas autorisé à dormir nu ou en sous-vêtement. S'il est pris sur le fait, il doit être puni.

Si le garçon a été condamné à porter un dispositif de contrainte pour la nuit pour éviter l'auto-abus - je ne connais pas de pratique plus détestable - il doit obligatoirement le faire. S'il s'avère avoir "oublié", il sera puni de la manière qu'il l'oblige à passer le reste de la nuit sur le ventre.

S'il est pris en train de s'abuser, il sera puni deux fois  : une raclée immédiate avec la plus forte mise en oeuvre immédiate et une volée une volée exemplaire administrée le lendemain devant la maison rassemblée.

Le "self-abuse" vaut au délinquant pris en faute, la punition la plus sévère possible (de niveau 5) autant que pour les blasphèmes, les mutineries, les fugues, les mensonges pour éviter une punition et le vol. C'est dire que c'est du sérieux !

D'ailleurs la bonne société recherchait des gouvernantes à la "main dure" qui se louaient fort cher. C'est aussi le début de ce qu'on appellera par la suite "The English Vice", qui est resté longtemps ancré dans les bonnes écoles british

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Alors pourquoi je reviens sur ce sujet ? Parce que j'ai trouvé récemment la description de certaines méthodes d'époque pour punir les délinquants. Et oui je sais que Yanode va prier que nos Maîtresses ne tombent pas dessus...

Les voilà donc :

#1 Stocks Finger (carcan de doigts)

Un dispositif en bois, qui immobilise les doigts des deux mains dans une sorte de carcan. Puis les mains sont attachées dans le dos du délinquant, habituellement mis nu, qui est laissé à méditer sa faute plusieurs heures ainsi. Bien sûr impossibilité de se toucher ainsi !

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-> En vidéo

#2 Le tabouret

Punition sous la supervision de la gouvernante (bien sûr nous sommes sous la Reine Victoria : il y a forcément une gouvernante). Le délinquant totalement nu, s'agenouille sur un tabouret de bois avec ses mains sur sa tête. La gouvernante s'assoit en face à lui avec une règle de bois et une lanière de cuir. Si le zizi s'érige un tant soit peu, la règle est abattue sur la le membre indécent jusqu'à ce que celui-ci ravale sa fierté. Si les mains quittent la tête, ou que le délinquant commence à se tortiller un tant soit un peu, le garçon est immédiatement fouetté à la lanière de cuir. Cette punitionn ne durait pas forcément très longtemps, mais elle était humiliante au possible et physiquement dure pour tenir la position (comme votre Maîtresse vous met un temps au coin pour ceux qui ont essayé). Et je crois qu'elle devait troubler suffisamment les jeunes garçons pour qu'il n'évitent pas (au moins au début de la punition) les coups de règles sur les parties intimes... Très cruel tout cela !

#3 Embouteillage de zizi

Le zizi du délinquant est badigeonné de poivre, moutarde, ou de nos jours il le serait de tabasco. Le tout est enfermé dans un récipient de verre spécial dont le goulot repose contre le pubis de la victime. L'air est alors évacué de la bouteille à l'aide d'une pompe à vide (l'ancêtre en somme du dilatateur à zizi), ayant pour conséquence de dilater le zizi enfermé pour ajouter de la frustration et de l'humiliation. Le délinquant doit garder la position pour ne pas casser le vide dans la bouteille. Dans ce cas : la bouteille tombe et c'est le fouet en punition. Il faut donc avoir une grande maîtrise de soi, nu et intensément humilié, sous les yeux de sa gouvernante qui sévit à la moindre faute d'inattention. En fait c'est un peu l'épreuve des poteaux pour le masturbateur impénitent.

#4 Le sac à zizi

Le sac est généralement fait de cuir souple, badigeonné d'un produit très irritant (mourtarde, poivre,...) et qui enferme le sexe du délinquant comme une cage en s'attachant derrière les couilles. Le garçon puni est alors immobilisé sur son lit, ventre contre le matelas et laissé à souffrir et méditer, impuissant face aux brûlures infligées sur les chairs sensibles. "Après une heure, les cris dans la chambre d'à-côté se calmèrent et les bruits des mouvement du lit de fer avaient diminué graduellement. Après encore 40 minutes, quand je suis allé inspecter, j'ai trouvé que le sac était toujours en place et le garçon dormait d'un sommeil troublé, tenant toujours docilement dans sa main droite, la canne qui aurait fouetté son dos le lendemain, s'il s'était défait de son sac"

#5 La culotte de crin de cheval

Conçue pour être portée la nuit pour empêcher toute nouvelle masturbation et punir le cas échéant les infractions : la culotte de toile doublée de crin à l'intérieur est solidement nouée autour de la taille, l'aine et les cuisses, parfois même avec un cachet de cire pour éviter toute tricherie (sinon punition sévère). Le crin inflige une irritation intense des organes génitaux sensibles pendant la nuit. Toute une nuit ? Je n'ose imaginer...

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#6 La boite

En épais cuir de vache, le mécanisme se présente comme une sorte de boite en deux parties qui s'ouvre pour laisser passer le sexe et les testicules, avant de se verrouiller solidement autour des couilles, comme une cage. L'intérieur du dispositif est garni de poils durs de porc de 3 cm de long qui viennent piquer le zizi sans défense et les orphelines, tel un lointain ancêtre de la cage à pointes. Le dispositif était porté pour toute la nuit, et cerise sur le gâteau, la boite dénonçait tout signe d'émission nocturne qui était sévèrement punie. S'il y avait émission, c'est qu'il avait eu masturbation. Le cas d'émission nocturne spontanée ne semblait pas être considéré. Restriction utilisée comme punition après acte de masturbation ainsi que pour prévenir toute infraction future.

#7 L'immobilisation de bras

Très proche des contraintes actuelles en cuir qui immobilisent les bras dans le dos (armbinder). A porter sous surveillance pendant des heures.

#8 Le Harnais de Fouettage

Une poche de cuir épais qui enferme les organes génitaux et est soutenue par une ceinture à la taille. Une large lanière relie le bas de la poche de cuir à l'arrière de la ceinture en écartant les globes des fesses. Le penis est alors tiré vers l'arrière et immobilisé dans l'entrejambe.

Cela servait soit comme un accessoire de restriction nocturne, avec les mains du garçon contraint attachées de chaque côté de la ceinture, rendant toute masturbation impossible, soit comme une protection des parties génitales contre tout dommage accidentel pour les séances de fouet ou de canne sévères, permettant de fouetter la frêle peau de l'intérieur des cuisses sans risquer de blesser le zizi ou les couilles. La sangle dans le sillon fessier permettait aussi de bien exposer les fesses à rougir.

#9 Lavement suivi de la canne ou du fouet

Il s'agit là d'un lavement punitif donné en privé et devant être retenu (avec un bouchon si j'ai bien compris) pendant toute la séance de fouet ou de canne, qui suivait. La façon d'avoir le feu au ventre et aux fesses en même temps. Cela devait être terrible d'autant que les gouvernantes Victoriennes fanas de l'enema étaient très créatives (j'ai lu dans un texte un lavement à la bille de boeuf fraichement ramenée du boucher !).

#10 Les orties

Là c'était un procédure très ritualisée, mais en résumé, le matin on accompagnait le jeune homme ramasser les orties fraîches dans les bois, l'après-midi il préparait les différents bouquets d'orties à mains nues et le soir c'était l'application. Canne d'échauffement sur les fesses, longue mise au coin et direct au lit. Avec un joli matelas d'orties sous les fesses. Bras et jambes attachées aux montants du lit bien évidemment. Fallait pas qu'il s'échappe. Puis cruellement le garçon se voyait excité avant qu'on entoure de bandage d'orties sa fierté dressée et on terminait le tout en lui passant des mitaines remplies elle aussi d'orties. Tu seras punis par là où tu auras pêché mon enfant : le zizi et les mains baladeuses. La gouvernante qui décrit cette punition, conseille néanmoins de s'éloigner un temps à l'autre bout de la demeure pour ne pas attendre le gamin crier de douleur. Ben voyons...

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#11 Les Kellogs Corn Flakes

Non je ne rigole pas. L'inventif Dr Kellogs les a créé comme aliment anti-masturbation. 100% vrai. J'y reviendrai dans un prochain article.

Comment cela se passait ? Chaque bonne maison avait une pièce destinée à la punition, pas très loin de la chambre de la gouvernante, avec le mobilier adéquat (au moins un banc pour le fouet ou la canne) et les instruments spécialisés. La punition se passait en privé, mais toute la maisonnée était prévenue qu'une punition aurait lieu le soir (par exemple le garçon se voyait habiller en fille pour la journée ce que l'on appelle le petticoating...).

On employait un cahier de punition scrupuleusement tenu à jour pour savoir où le garçon en était sur le chemin du vice. Le principe était que chaque crime renouvelé voyait sa punition gagner en sévérité. Les victimes étaient toujours tenues de lire et signer chaque enregistrement à la fin de la punition.

Les châtiments corporels étais très formalisés et ritualisés avec pour principe sadique de laisser la victime anticiper avec appréhension la vraie punition à venir. Habituellement la sanction était annoncée     par un écrit - ou Request for Punishment - que le délinquant découvrait par exemple sur la commode de l'entrée, du style :

"Cher Tom,

Je requiers votre présence dans mon étude demain à six heures exactement. Vous rentrerez dans l'étude, prendrez dans mon armoire la canne que j'ai choisi pour votre punition sur laquelle sera attaché un ruban rouge. Vous poserez avec respect la canne sur le dessus du banc à fouetter. Vous vous déshabillerez totalement en prenant soin de plier correctement vos vêtements et de les ranger sur le dessus de la chaise contre le mur. Vous enlèverez le ruban de la canne et vous l'attacherez étroitement autour de votre penis. Vous placerez enfin vos mains sur votre tête et attendrez mon arrivée. Tâchez de ne pas aggraver votre punition en vous agitant pendant que vous attendrez ou en omettant de suivre ces instructions parfaitement, la punition que j'envisage de vous infliger étant déjà assez sévère. 

Votre gouvernante."

Là le garçon fautif devait baliser toute la journée en appréhendant le soir dans l'étude.

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Certains récits évoquent même l'existence de maison de redressement tenus par des bons docteurs pour "guérir" les masturbateurs impénitents, dans des "cliniques" spécialisées. Le patient y était "hospitalisé" une ou deux semaines, sous la supervision du docteur et de ses charmantes infirmières, la plupart du temps dans une chambre (ou cellule) équipée d'un lit et d'un étrange banc où le patient pouvait être immobilisé fesses et organes génitaux librement exposés. Les seules sorties étaient pour la toilette, la prière (nous sommes au XIXème) et les repas pris en commun. La seule tenue : une courte chemise de coton qui s'arrêtait à l'aîne. De toute façon, elle était enlevée pendant les "soins". Le traitement dans ce type de clinique était simple : "massage" régulier du fessier à l'aide de canne ou de paddle, masturbation imposée, traite de la prostate ou du clitoris et lavement deux fois par jour. Et surtout l'humiliation des repas pris au réfectoire, les culs fraichement striés, avec une tenue offensant la pudeur, devant des jeunes de tous âge (8 à 20 ans) et des membres des 2 sexes. Normalement pour des jeunes de l'époque Victorienne éduqué à craindre l'autre sexe, l'humiliation suprême. Après un tel séjour, les taux de rechute étaient très faibles, aucun et aucune ne souhaitaient y retourner.

Bon voilà un peu le résumé de ce que j'ai trouvé sur les punitions de cette période. Le fond est là, la canne aussi (la police fouettait les enfants dès 6 ans pour de nombreux petits crimes), mais le reste est-il aussi vrai ? Cela fait partie de nos fantasmes et indéniablement plus pour les amateurs des jeux D/S (une grande partie des lecteurs ici). 

Mais à bien chercher, ceux sont toujours les mêmes témoignages, voir les mêmes textes que l'on retrouve de ci et de là. J'ai un article qui expliquait que le fameux guide pour la correction des jeunes gentlemen est une imposture créé au début des années 1970 et que l'auteur citée n'a jamais existé. L'autre partie vient d'un soit-disant journal d'une gouvernante, Mme Appleyard, gouvernante dans une maison bourgeoise de Hanover Square (qui serait pour nous l'équivalent de la place des Vosges). Et la clinique citée serait celle du docteur Grimsdyke dans Wimpole Street. Enfin les punitions ont été rassemblées par une Maîtresse spécialisée en discipline victorienne mais qui vit/vivait en Australie.

dyonisos

Jeu 22 jan 2015 10 commentaires
Merci pour ces excellents textes Dyonisos ! Tu es une vraie encyclopédie en la matière ...
jeepy - le 22/01/2015 à 19h36

Il n'y a psa de mal de se cultiver un peu. En tout cas, je vois que ton ordinateur est enfin réparé ou neuf...  Grand merci de ton commentaire.

dyonisos en sa demeure

dyonisos
Waouh !!! Excellent article.
On aimerait presque avoir eu la chance de gouter à toutes ces réjouissances. L'imagination n'a jamais de limites...
Chaste59 - le 22/01/2015 à 19h45

Quelque part je ne m'étonne pas de ce type de réaction. Cela fait plaisir et tu parles pour beaucoup d'autres silnecieux qui ces jours-ci viennent traîner sur le blog.

amitié, dyonisos

dyonisos
Ces histoires attisent les fantasmes dans nos esprits dépravés mais je doute que les jeunes de l'époque appréciaient ces châtiments à leur juste valeur.
Combien de personnes paieraient ( ou payent ) pour avoir la joie de subir ce que détestait la jeunesse d'antan.
Chaste59 - le 23/01/2015 à 23h11

Sauf que je ne suis pas sûr que les châtiments aient réellement existés. J'ai lu ces derniers jours un texte d'un univesitaire américain, sur la représentation de la gouvernante à l'époque victorienne. Il montre qu'il existait un très vif débat sur la simple fessée cul nu à partir de la moitiè du XIXème siècle, emporté semble-t-il par les tenants du contre et que les gouvernantes sadiques étaient la lie de la société. Il montre aussi qu'à cette même période, une littérature pornographique destinée aux gentlemen, se vendait sous le manteau et que dans ces écrits, la gouvernante était fantasmée fouetteuse et sadique. Tout cela n'est peut-être qu'un fantasme des hommes du XIXème siècle, finalement pas si différent de nous au XXIème siècle...

Bon week-end à toi et à ta famille

dyonisos

dyonisos
Et moi qui pense parfois qu'on vit dans un monde à la con... Mais que dire des punitions d'antan ? J'en suis restée baba. Les kellogs m'en tombent des mains... Ceci dit, quand on se branle, faut quand même veiller à pas se faire prendre, non ?
Doux bisous, l'ami.
Cerenella Domi - le 24/01/2015 à 14h16

Je pense que les punitions ont été de tout temps désagréables pour celui qui se faisait prendre. La branlette loin de causer des maladies aiguise les sens : l'acuité de vue (allez vous concentrer sur une image ou un texte alors que tout bouge), l'ouie (le branleur est toujours à l'écoute du reste du monde), le toucher car tout est affaire de toucher et parfois même le gout (alors blanc d'oeuf ou pas ?)

Bon week-end

dyonisos

dyonisos
intéresante époque , mais j'ai quand meme quelque doutes sur la verassité de tout cela , il y a peut etre eu quelque cas mais cela du etre l exseption je m explique
cette époque etait pudique a l éxtreme, dévoiler ces chevilles pour une femme etait inconsevable et la l on expose le sexe du fautif a tout va c est une contradiction et qui plus est devant une femme
au dela de cela lol cette serie de punition pourraient etre reprise par toute maitresse voulant prendre en main son mari a envoyer peut etre a toute celle que je connais .... maso tu as dis lol
amitié Yanode
yanode - le 25/01/2015 à 08h25

Je répondais à chaste que j'ai trouvé après écriture un intéressant écrit universitaire qui démontrait que la gouvernante sadique était devenue la fantasme favori de la litterature porno de la seconde moitié du XIXème siècle en Angletterre, pour les gentlemen de la bonne société. Ceci explique peut-être cela...

amitié, dyonisos

dyonisos
desolé pour l ecriture et l ortografe mais j ai encore la tete a l4envers ..
amitié yaya
yanode - le 25/01/2015 à 08h25

Et le cul ?

dyonisos
le quel le mien ou cela de maitresse Flo ....attend de lire tu vas MDR
amitié yanode
yanode - le 25/01/2015 à 13h51

J'attends acec impatience de voir si tu as réussi à être Maître dans ta maison...

dyonisos
Je pense en effet comme vous que ces textes n'ont pas vraiment connu d'application réelle et qu'ils émanent plutôt de bourgeois bien-pensant tenaillés par leurs fantasmes de fessées et d'encagement ; tout comme nous autres ...
Cela me fait soudainement penser à une histoire de gouvernante anglaise que je lisais enfant ou pré-pubère : "Un bon petit diable" avec sa gouvernante la terrible Mme Mac Mich ... Je ne me souviens plus de l'auteur. Mais cette lecture m'avais marqué et elle a sans doute contribué à forger mes goûts SM à l'âge adulte.
jeepy - le 25/01/2015 à 20h20

J'avais oublié ce roman qui me mit moi aussi en émoi à la pré-adoslecence. Yanode a raison c'est la comtesse de Ségur et la date de publication correspond en plein à notre période : 1865.      Je me souviens aussi du fouet et cachot dans ce roman.

À sa grande surprise, Charles obéit, les yeux baissés, l’air soumis. Quand il fut à sa portée, elle le saisit par l’oreille ; Charles ne lutta pas ; enhardie par sa soumission, elle prit une baguette et lui en donna un coup fortement appliqué, puis deux, puis trois, sans que Charles fît mine de résister ; elle profita de cette docilité si nouvelle pour abuser dé sa force et de son autorité ; elle le jeta par terre et lui donna le fouet en règle, au point d’endommager sa culotte, déjà en mauvais état. Charles supporta cette rude correction sans proférer une plainte.

« Va-t’en, mauvais sujet, s’écria-t-elle quand elle se sentit le bras fatigué de frapper ; va-t’en, que je ne te voie pas ! »

Merci de ce souvenir

dyonisos

dyonisos
je crois que c'est de la Contesse de Ségur .... quand a moi je puisais plus dans la sf ou la piraterie voir les indiens avec la belle blonde attaché au poteau de torture seins nuhummm
amitié Yanode
yanode - le 26/01/2015 à 07h18

Bizarrement cela ne m'étonne pas de toi.

amitié, dyonisos

dyonisos
et oui j aimais a tel point que j ai a quelques reprise convaincu une ou deux copine de prendre le role de la prisoniére attaché au poteau , mais pour les seins nu a l époque c'etait rappé...lol elle n en avaient pas encore mais mais une petite culotte qui descend ...descend ...lol pour une fessée
amitié Yanode
yanode - le 27/01/2015 à 07h44

Aurais-tu finalement une âme de Maître ?

dyonisos