Dyonisos Soumis

La Reine a emmené son peuple dans un nouveau voyage en terre françoise.

Pour rendre visite Royale à une seigneurie (très) amie du Royaume. Les Seigneurs locaux y inauguraient leur nouveau château et fêtaient dignement l'arrivée de leur nouvelle Princesse, sur laquelle notre Reine s'est engagée à veiller avec tout son coeur. Voyage avec les Pages du Royaume, mais qui ont aussitôt étrangement disparu comme les Pages locaux.

Le nouveau château de cette seigneurie est charmant et bien agencé. Mais petit aussi, si bien que la Reine a emmené son peuple dormir dans le bourg voisin, dans une très respectable et bien tenue auberge.

Le dimanche matin, le bas peuple, condamné au fer à castrer, est réveillé tôt, comme il se doit, pas le rappel quotidien des bienfaits du fer : "Eh peuple : Arrête de fainéanter ! Au boulot !". La Reine dort encore d'une Royal et profond sommeil, et le peuple se fait le plus discret pour partir non travailler au champ (c'est dimanche quand même) mais pour humer l'air ensoileillé du bourg, vite enfumé du tabac auquel le peuple a la faiblesse de se livrer.

Quelque temps plus tard et les deux orphelines maintenant transformées en glaçons, ce qui contraint dans le fer, le peuple remonte dans les étages pour retrouver la chaleur du dessous de la couverture du lit. Quand il arrive enfin dans la chaleur, c'est pour constater que sa Majesté est nue, complétement découverte, lascivement en attente des bienfaits de la domination de son peuple : la Reine attend son Royal contentement et sans un mot, le peuple se met immédiatement au travail, la tête entre les Royales cuisses, de sa langue et de ses doigts.

La Reine, quand elle est Reine de son Royaume, a une idée très précise du comment et de la façon, dont elle veut avoir son contentement et gare au peuple s'il dévie d'un iota de ce Royal désir, de ressentir comme cela et non comme ceci. La Reine a d'ailleurs immédiatement pris la ferme assurance que son peuple, resterait un bon peuple, obéisssant et soumis au Royal désir jusqu'à ce que le Reine juge que cela soit suffisant. 

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Le bon peuple suçoit, aspiroit, pénétroit d'un doigt, de deux, sous les fermes directives de sa Majesté. Et chaque demande non immédiatement ou correctement effectuée, vaut rappel en brisures de couilles. Aie ! La Reine, tout à la montée de son contentement, ne fait plus aucune attention à son bas peuple, sauf à ce qu'Elle obtienne de ses doigts et de sa langue, le plaisir ordonné.

Il arrive enfin, comme un déferlement de lames de tempête qui se brise sur la rive, et brise en même temps de convulsions, doigts, main et bouche emportés par les vagues puissantes et obligés de suivre au près l'agitation sauf à perdre ses petites choses, bien broyées par une Royale fermeté, depuis que le vent s'est levé.

La Reine exulte, enfin presque... Le petit chouya qui manque et qui va bientôt coûter cher au bas peuple, qui regrette impuissant la non-complétude du Royal plaisir. Pour l'instant la Reine est encore dans le redescente à titiller avec vice les tétons dressés du peuple pour bien s'assurer que le peuple trouve son fer à castrer étroit pour un long et désagréable moment.

La Reine a faim maintenant, et un Royal ventre vide est sanguinaire. Il est temps de rejoindre les autres convives et déguster le buffet préparé pour les invités de l'auberge. C'est un buffet de voyageurs revenus de loin, rempli de bons mets trouvés de-ci et delà. La peuple s'est décidé de se jeter sur la bonne pitance des grands bretons, sur le principe du "tout ce qui est déjà pris, n'est plus à prendre" ou même "encore un que n'auront pas les Germains ".

Le ventre répu, il est temps pour la Reine de remonter dans ses Grands Appartements, suivi fidèlement par son peuple. Une servante est croisée. La Reine échange quelques mots cordiaux et lui souhaîte un bon dimanche (de travail). Elle rejoint la pièce d'à côté de nos appartements, pour aspiroie, rangeoie et lavoie, après le départ des invités. La Reine la regarde un instant s'éloigner avec un petit sourire avant d'emmener son propre peuple dans ses Appartements.

- Awalke mon peuple !

La voix sèche surprend le peuple et lui frigorifie immédiatement les os. Ce que Reine veut... Il se demande à quel point, il n'a plu à sa Majesté son laissez -ller à la boisson maltée au Château de la Seigneurie amie la vieille, à moins que ce soit l'incompltude frustrée du matin ou un laissez-aller familier avec la Reine de la Seigneurie amie qu'il sait, au fond de lui-même, devoir ne pas finir à payer.

La Reine sort les fers de poignets de sa malle de voyage qui sont proprement posés au peuple, les mains immobilisées dans le dos. Elle retire sa culotte pour l'enfourner d'autorité dans le gosier de son peuple rendu maintenant muet. Et le peuple est laissé en attente, le temps pour lui d'appréhender le Royal courroux à venir et à la Reine de vider sa vessie, pour "être plus confortable" dans le redressement des tords de son peuple...

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dyonisos

Ven 14 nov 2014 12 commentaires
Un réveil bien difficile que celui-ci !! Je compatis !
Nico, soumis - le 14/11/2014 à 08h37

Compatis, compatis donc

amitié, dyonisos

dyonisos
pas de répis pour le peuple , les reines sont impitoyable en ces temps sombre d'emprisonnement ou de mise au cachot , sombre comme l'avenir du peuple d'une reine insatisfaite ,ou tout au moins pas completement contentée malgré les directives données ce qui avouons le mérite bien réparation et payement avec prise t intérèt ce qui nous simple spectateur ne pourra que nous réjouir ne pouvant jouir étant aussi en cage ..
amitié Yanode
yanode - le 14/11/2014 à 10h39

Les reines sont surtout très joueuses ces temps-ci et plus shynx que jamais? D'ailleurs j'ai posé une question sur à quelle sauce, j'allais être mangé les prochaînes semaines. Et j'ai eu cela en réponse :

blreponse

Alors toi qui un vénérable ancêtre, plein de sagesses paysannes, tu pourrais peut-être m'expliquer ce que cela veut dire...

amitié, dyonisos

 

dyonisos
la photo prise a contre jour laisse songeur sur les bien faits ou méfaits de certaine libations ...ni aurait les mains dans le dos qu'il serait difficile d'établir le devant du derrière .
un anonime qui vous veux du bien - le 14/11/2014 à 10h45

Cher Ann O'nyme de la Champagne Pouilleuse. Je vous remercie de votre commentaire obligeant.

Et je vous prie d'agréer respectueusement mon coup de pied au cul !

dyonisos

dyonisos
et oui les maitresses son intransigeante et ces bien comme sa que l'on les aimes encore plus
albin - le 14/11/2014 à 10h52

Certes. Alores la cage ?

dyonisos
pour le moment la cage ces ok mais hier matin vlam elle a sévi
albin - le 15/11/2014 à 08h42

Si tu ne te rends pas à la cage, la cage viendra à toi !

amitié, dyonisos

dyonisos
la traduction semble clair ,
tu n as plus rien a dire ..
et en bon troufion tu obéis aux ordres ..
mais avec une reine imprevisible il se peut que cela n ai aucune signification , si ce n est te faire peur .
amitié yanode
yanode - le 15/11/2014 à 08h55

Je n'avais pas pensé à cette interprétration. Mais j'avais pensé que Maîtresse N. est un sphinx énigmatique pour le bac peuple que je suis (la première) et la seconde qui fait très Reine sur un trône : elle veut m'avoir à ses pied.

amitié, dyonisos

dyonisos
choqué je suis votre pied sur mon fessier intolérable et inconsevable en champagne pouilleuse respectueusement anne no hymme
anonime - le 15/11/2014 à 08h59

Chère Anne

Si mon pied au cul ne vous sie pas, il ne tient qu'à vous et montre comment votre Dame ne vous dresse plus actuellement, pour que vous soyez aussi insolent.

dyonisos

dyonisos
plus qu une reine la deuxieme fait plus chef militaire et effectivement sur son trone ,de plus l attitude fait tres britich mais il manque le stik
amitié Yanode
yanode - le 15/11/2014 à 09h42

Bah on verra bien ce qui m'arrivera. Pour l'instant je suis sûr d'être libéré lundi car je dois prendre l'avion.

amitié, dyonisos

dyonisos
le manque de dressage n est en rien responsable mais prendre un pied au cul tout de meme c'est choquant comme tout autre objet d ailleurs
anne a no hyme - le 15/11/2014 à 09h48

Si je trouve que vous manquez de dressage, mademoiselle sans nom.

dyonisos

dyonisos
le cavalier qui me montera pour me dersser n est pâs encore né
anne a no hyme - le 15/11/2014 à 15h59

Et si c'est une cavalière ?

dyonisos