Dyonisos Soumis

- Au boulot Marguerite ! La maison est en désordre... 

Je compte passer à la cool cette dernière journée de vacances, une fois les pages emmenés vers leurs minicamps enfants loin = parents tranquilles. Je crois donc avoir mal entendu. D'autant que les vacances n'ont pas été du tout D/S. N. a bien essayé de me "confier" à son profit beaucoup de tâches dites ménagères, mais les pages ont défendu leur père, ou plutôt leur Marguerite. J'en ai profité - un brin revanchard - pour populariser à leurs oreiiles le surnom de Popette de leur Mère, bien sûr à leur grande joie.

Mais les enfants disparus, ma protection vient de disparaître et je me retrouve nu devant Madame au sens figuré mais aussi au sens propre. Madame a conçu l'idée "d'intéresser" la corvée de rangement et de de nettoyage. Me voilà mis nu et enchaîné à la manière d'un esclave de l'antiquité. Maîtresse N. fait bien les choses. La longueur entre les chevilles est réglée pour que je puisse monter - avec quelques difficultés - les escaliers. Celle entre les mains pour pouvoir porter les bannettes de linges et globalement la chaîne trop courte de haut en bas m'oblige à marcher légèrement courbé.

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Petit raffinement humiliant, N. ressort le grelot conservé de l'ancien bonnet oui-oui des enfants qu'elle accroche au collier de dyonisos. Très vexant non par le bruit qui avec celui des chaînes ne s'entend pas plus que cela - le chatde la maison se méfie d'ailleurs de moi et passe à distance - mais pour le symbole. Non je ne suis plus un novice en soumission, du moins je ne le crois pas.

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Sous l'oeil satisfait et pétillant de Maîtresse N. de retour, me voilà mis à la corvée de rangement des dizaines de banettes de linge propre. Une vraie montagne de linge lessivée à la série par la Maîtresse de maison depuis deux jours. Une à une je monte les banettes à l'étage, pour découvrir rapidement que je suis devenu un handicapé des membres. Déjà il me faut avancer à petits pas. Mais en plus, aie pour les rangements en profondeur et en hauteur. Il me faut ruser. J'invente la technique de la grue qui en levant en l'air mon pied droit, me permet de gagner quelques centimètres utiles de liberté au main. Je tire sur les piles pour les amener au bord des étagères, ajouter les couches de vêtement propre avant de tout repousser au fond. Pour le haut, je récupère le marche pied de la baignoire de la salle de bain pour gagner là aussi des centimètres utiles. Tout m'est plus difficile et plus long que d'habitude. Plus crevant aussi : je suis vite en sueur.

A chaque retour au rez de chaussée, N. en profite pour me tâter la peau ou m'exciter le zizi. Et me renvoie à la banette suivante et retourne tenir sa correspondance. Je veux fumer, mais les cigarettes me sont saisies. Je veux prendre l'apéro : VORBIDDEN !

C'est temps d'orage. Le ciel s'obscurcit...

- Va rentrer l'étendoir à l'intérieur !

Nous avons 2 terrasses. L'étendoir est sur celle exposée à tout vent et au regard des voisins, que je sais être là en ce jour. J'ai une pensée sur l'évolution naturelle de la domination. Il y a quelques années, N. aurait eu peur que je sois découvert, mais maintenant elle s'en fout. C'est mon problème à moi, plus le sien... Je passe un tête inquiète par la porte fenêtre à l'aguet de tout mouvement chez les voisins. Je tends l'oreille : aucun bruit de gamins en train de jouer. Alors je prend une inspiration et m'avance à découvert, me dépêchant de saisir le dit étendoir et de le ramener avec mes fesses exposées au plus vite à l'abri de la maison.

Il pleut maintenant dru. Madame m'ordonne de me dépêcher d'aller refermer les velux à l'étage. Facile à dire, mais pour un esclave enchaîné difficile à faire. Tous les travaux en hauteur me sont compliqués. Je m'aide du marche pied. Je réinvente l'outil pour prolonger mes mains trops courtes. Et j'y arrive difficilement, un à un.

Je redescends pour me faire reprocher immédiatement de "n'avoir pas couvert le barbecue !". Il doit être beau le dyonisos tout nu à batailler sous la pluie qui mouille avec la bâche du BBQ. Mais là aussi je survis.

L'heure du repas arrive enfin. A ma seule charge évidemment ! Allez faire la vaisselle de la vieille, les mains enchaînées. C'est d'un compliqué et d'une lenteur inhabituelle. Maîtresse arrive silencieusement dans mon dos. Je sursaute à une paire de claques bien senties sur mon popotin, bientôt remplacées par le contact dur et sec d'une planche à découper en bois qui traîne là, utilisée en paddle. Je grogne à la joie manifeste de ma Maîtresse.

- Tiens je n'y avais pas pensé à cette utilisation...

dyonisos

Mar 29 jui 2014 5 commentaires
Voilà de belles idées pour compliquer la tâche à Marguerite; Bravo Madame N !
Madame.S - le 29/07/2014 à 13h52

Je crois qu'elle a beaucoup aimé... trop peut-être ?

Mes respects, Madame, dyonisos de Maîtresse N.

dyonisos
A croire que la belle de Yaya et ta belle se sont donné le mot. La surmultipliée est passée, les idées fusent dans les esprits féminins. Pauvre Marguerite ! Et moi qui pensais que l'esclavage était bel et bien aboli. Les photos donnent une idée de ce que tu as du endurer durant toutes tes corvées.
Bon courage et bisous, l'ami !
Cerenella Domi - le 29/07/2014 à 16h23

C'est vois-tu l'ami qu'elles sont devenues Maîtresse expérimentée avec le temps. Et ce n'est sans doute pas sans nous déplaire...  Et les photos il y en a quelques une d'autres à venir...

Bisou, dyonisos

dyonisos
il faut tres peu de choses pour rendre tout compliqué ...
quelques chaines et hop voila notre dyonisos en mode sos toi qui te coyais au repos et bien non madame en veux encore et de plus en plus , je dois dire ou avouer comme tu veux que je te trouve craquant enchainé et les voisins eux en auraient surement fait une crise cardiaque ... et la c est vrai que nos dammes nous pousses de plus en plus loin juqu'ou cela irrat il ? ......
amitié Yanode
yanode - le 29/07/2014 à 17h14

Complique la tâche de ton soumis, il t'en remerciera...

Pour le repos, disons que c'est surtout les occasions de Royaume sans Pages qui mènent le soumis et la Maîtresse. A condition d'être en forme et d'avoir envie ensemble... Et pour le reste, nos Dames ne sont pas nèes de la dernière pluie dominante et donc il faut s'attendre à tout... dorénavant (sauf que moi je suis toujours la queue libre).

En fait, pour la photo, je me dis que sur une autre bébé que moi, cela ne donnerait pas le même effet... très esclave de l'ancien temps. 

amitié, dyonisos

dyonisos
Après les vacances et la rétrospective de l'année écoulée, on dirait que démarre une nouvelle saison avec ses corvées et ses entraves. Et comme tes enfants sont partis...
Manque juste la cage pour finir de t'équiper !
Chaste59 - le 29/07/2014 à 21h41

Ton com m'a obligé de revenir dans le passé. Souvent nos libérations de pages sont plus tardives, mais cette année c'est différent, sans doute parce que les pages grandissent... La révolution et le pacte qui a suivi, et bouleversé notre sexualité, a commencé le 4 aout 2007, naissance de l'an 1 de notre revolution de couple. Le 4 août et l'abolition des privilèges, tout un symbole...Donc ce que tu lis est officiellement la fin de la saison 7. Quant à la cage, j'ai crains d'y retourner mais y échappe pour l'instant...

dyonisos

dyonisos
quelle chienne de vie ho pardon de chaines de vie hihi
sr66 - le 02/08/2014 à 15h17

Heureusement que cela n'a duré qu'une journée...

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