Voilà j'ai fini la cinquième semaine, et j'attaque la sixième semaine de l'oiseau en cage déjà. Et la cage chez Maîtresse N. cela veut dire en ce…
Dim 3 nov 2013
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Une voisine dominatrice
J’avais finalement épousé Janet, la femme de mes rêves. Janet est jeune, belle et sexy, la parfaite compagne pour moi qui étais le plus jeune et le plus dynamique directeur de l’entreprise, sous
ses ordres je précise, mais question physique, loin d’être un dieu grec malgré ma belle gueule.
Nous sommes sortis pendant quatre ans avant de nous marier et nous revenons juste de notre lune de miel. Prêts à vivre une vie parfaite dans un quartier huppé de la ville. Malheureusement, comme
tout le monde, j’ai un coin sombre et les miens s’appellent lingerie féminine. J’adore porter des vêtements de femme mais plus encore la lingerie, qu’elle soit de satin ou de nylon, pourvu qu’elle
ait beaucoup de dentelles et de rubans. Je suis incapable de résister.
Mon éducation stricte et chaste que m’avait donnée mes parents m’avait retenu jusqu’à l’arrivée de Janet dans ma vie. La confession de ce travers serait vraiment trop dure et surtout, je ne voulais
pas qu’elle me prenne pour un pervers et préfère divorcer. Au lieu de cela, j’ai réussi à me trouver des créneaux entre notre vie de couple et le travail que nous faisions tous les deux.
Je pus assouvir de temps en temps mes besoins discrètement dans notre appartement. En effet, en travaillant le week-end parfois, je pouvais récupérer mes heures en semaines donc librement car
Janet, elle en temps que patronne, devait respecter les horaires de bureau. Aujourd’hui justement, c’était le cas.
Comme toujours, cela commence comme une journée ordinaire. Je ne prends ma douche qu’après avoir préparé le petit déjeuner de ma femme, discutait avec elle de choses et d’autres et l’avoir
longuement embrassée sur le pas de la porte.
Enfin seul, tout commence par une douche et je me rase soigneusement. Je ne suis pas poilu, ce qui est une chance mais je regrette ne pas pouvoir raser mes jambes car le contact des vêtements
féminins sur une peau rasée est décuplée. Mais comment aurai-je pu explique cela à Janet ? Le jour où je trouverai une excuse, je n’hésiterai pas une minute. Peut être en me lançant dans la
natation? D’après ce qu’on m’a dit, les nageurs se rasent les jambes car l’eau glisse mieux ainsi. Moi, c’est plutôt les nuisettes que je voudrais faire glisser sur mes jambes.
Par contre, si j’ai quelques poils, j’ai la chance d’avoir un corps fin, donc je peux porter les vêtements et sous vêtements de ma femme. Prudemment en général, je me cantonne aux affaires qui se
trouvent dans la corbeille de linge sale car, sous l’excitation, il m’arrive régulièrement de tacher de mon sperme la culotte. Je fais très attention car c’est elle qui lave à la main ses sous
vêtements.
Aujourd’hui, je suis une future femme chanceuse car dans le panier à linge, il y a un magnifique corsage de satin rose pale et assorti, un soutien gorge et un porte jarretelle doublée de dentelle
noire. Une pure merveille. S’il y a porte jarretelle, il doit y avoir des bas, donc je me mets à leur recherche. Janet ne porte pas souvent ce genre de lingerie et je le regrette beaucoup, ce qui
fait que je me suis constitué une petite réserve dans l’appartement et justement, j’ai plusieurs paires de bas.
Apres avoir mis le soutien gorge que je remplis classiquement par des chaussettes, je songe à m’acheter des seins aux silicones mais il faut que je me trouve une cachette plus conséquente d’abord,
vint le tour du corsage. Je passe voluptueusement ma tête dans cette matière soyeuse qu’est le satin et la laisse retomber toute légère sur mon corps. Cette douce caresse éveille le zizi qui
dormait entre mes jambes. Pour plus de sensation, le corsage étant cintré, il me serrait divinement à la taille. Vint ensuite la pose des bas que j’enroulais tout doucement puis déroulais le long
de mes jambes tout en admirant mes nouvelles jambes de noir vêtues. Les yeux fermés pour plus de volupté je glissais mes mains le long de mes jambes pour savourer le toucher. J’adorais être ainsi
emprisonné par le nylon. Vint le tour du joli porte jarretelle avec ses coquins petits nœuds roses foncés, je m’attardais voluptueusement au passage de mon clito avant de le fixer à ma taille. Plus
qu’à attacher les bas aux jarretelles que je tendis bien serrés. J’adorais en marchant ou en m’asseyant, avoir cette sensation d’emprisonnement lorsque les jarretelles tiraient sur les bas. Vint
ensuite la culotte de satin avec sa dentelle blanche pour entourer les jambes. Culotte que je regardais et tripotais avant de me décider à l’enfiler mais, bien sur, elle ne pouvait contenir ma
queue toute droite. Maintenant, je marche dans la pièce en essayant de me déhancher le plus sexy que possible, mettant un pied devant l’autre comme les mannequins starlettes pour faire crisser l’un
contre l’autre la paire de bas. Ma queue est droite mais j’évite d’y penser, il me faut me calmer pour éviter que la conclusion inévitable arrive trop vite. Au début, maintes fois, il ne me fut pas
possible de résister et j’éjaculais, dorénavant j’essayais de tenir plus longtemps car le plaisir était décuplé par la suite. Cela ne m’empêchait pas ensuite de récupérer et de reprendre mon petit
jeu tout le reste de la journée.
Mais pour l’instant, la combinaison du satin frôlant le nylon me mettait dans tous mes états, je caressais mon torse, mes jambes et frôlais mon clito sans oser insister si je voulais tenir. Je
poussai un gémissement lorsque j’entendis :
Toc, Toc, Toc! Cela venait de la porte. Qui cela pouvait-il être? Personne ne savait que j’étais ici ! Mon cœur battait la chamade comme un écolier pris en fraude. Les rideaux sont tirés, personne
ne peut me voir. Le mieux, c’est de ne pas bouger, l’impertinent partira. Impatient, mes doigts tapotent la hampe de mon pénis à travers le satin de ma culotte.
Toc, Toc, Toc! Encore! Ma main tire sur ma culotte pour cacher le bout de mon pénis. J’ai trop envie de me caresser, de jouir pour éviter de penser à cet intrus qui insiste si lourdement. Je suis
chez moi. Je ne fais de mal à personne, alors qu’il s’en aille que diable !
Toc, Toc, Toc ! Cette fois ci, le ton est plus impérieux. Quelqu’un sait que je suis ici. La curiosité fut la plus forte et je déplaçais légèrement les rideaux pour voir qui pouvait insister ainsi.
C’est ma voisine Mme Jones, une forte dame d’une cinquantaine d’années. Elle me voit, me fit signe en souriant. Je ne pus que lui rendre son sourire. J’étais bien embêté car je devais aller lui
ouvrir pour pouvoir me débarrasser d’elle. Pas le temps de me déshabiller, il fallait simplement cacher mes vêtements. Je retirais rapidement mes chaussettes du soutien gorge et passais un pull à
grosse maille par-dessus le corsage. Cela devrait aller. Un jeans et une paire de basket compléteront le déguisement. Un dernier coup d’œil sur le miroir pour contrôler que rien n’était visible et
j’allais à la porte. Je me rendais bien compte du risque que je prenais mais me retrouver ainsi habillé devant une personne étrangère me montait à la tête, c’était une excitation érotique intense.
Vivement que je me retrouve de nouveau seul, ce sera grandiose je le présentais.
-« Bonjour Paul, je savais bien que vous étiez ici » m’annonça tout de suite ma grosse voisine aux cheveux gris.
-« Que puis faire pour vous Madame Jones ? » demandai-je le plus aimablement possible.
-« J’ai un problème de chauffage Paul et il semble qu’il va faire très froid cette nuit, pourriez-vous venir m’aider et voir la chaudière ? »
-« Je suis désolé Mrs Jones mais je n’y connais rien » répondis-je en voulant fermer la porte.
-« Venez au moins jeter un coup d’œil s’il vous plait, il va faire froid et je serai toute seule ce soir » plaida-t-elle.
-« Allons-y » dis-je en soupirant et de la main, lui demandant de me précéder.
Je suivis donc la grosse dame dans sa robe fleurie. Ses grosses fesses roulaient sous le tissu et bizarrement cela m’excitait. Sûrement du à mon propre corsage qui frottait doucement sur ma
peau.
-« Merci beaucoup de vouloir m’aider Paul » dit-elle en pénétrant dans le couloir et m’indiquant des escaliers qui devaient monter dans les chambres.
-« Votre chaudière est là haut ? »
-« Oui, il faut monter » répondit-elle avec un drôle de sourire. J’allais monter lorsque la voix de Mrs Jones me figea sur place
-« Les chaussures, s’il vous plait »
-« Pardon ?» J’avais très bien compris mais cela me posait un problème.
-« Retirez vos chaussures s’il vous plait, vous ne voudriez pas salir ma moquette n’est ce pas ? »
J’hésitais à répondre car je n’avais que deux solutions, soit partir en claquant la porte et me fâcher avec la voisine, soit essayer de biaiser. Mon éducation m’empêchait de me fâcher abruptement
sans raison précise, donc j’ai tenté de dire
-« Je suis désolé mais je n’ai pas de chaussettes ». Ce qui était vrai puisque c’était des bas.
-« Il vaut mieux des pieds nus que des chaussures sales » fut sa réponse catégorique et je dus donc m’exécuter en souhaitant être le plus discret possible et profiter de l’ombre du couloir. Sans
succès car ce que je craignais arriva :
-« Vous portez des collants ? » s’étonna-t-elle. Je la regardais rapidement, elle n’était pas choquée mais amusés, ce qui me rassura un peu.
-« Je vais vous expliquer » commençai-je maladroitement mais Mrs Jones avait avancé sa main pour m’effleurer le côté de ma cuisse.
-« Ah non, vous avez un porte jarretelle, ce sont des bas » en me désignant mes pieds.
-« S�
J’avais finalement épousé Janet, la femme de mes rêves. Janet est jeune, belle et sexy, la parfaite compagne pour moi qui étais le plus jeune et le plus dynamique directeur de l’entreprise, sous ses ordres je précise, mais question physique, loin d’être un dieu grec malgré ma belle gueule.
Nous sommes sortis pendant quatre ans avant de nous marier et nous revenons juste de notre lune de miel. Prêts à vivre une vie parfaite dans un quartier huppé de la ville. Malheureusement, comme tout le monde, j’ai un coin sombre et les miens s’appellent lingerie féminine. J’adore porter des vêtements de femme mais plus encore la lingerie, qu’elle soit de satin ou de nylon, pourvu qu’elle ait beaucoup de dentelles et de rubans. Je suis incapable de résister.
Mon éducation stricte et chaste que m’avait donnée mes parents m’avait retenu jusqu’à l’arrivée de Janet dans ma vie. La confession de ce travers serait vraiment trop dure et surtout, je ne voulais pas qu’elle me prenne pour un pervers et préfère divorcer. Au lieu de cela, j’ai réussi à me trouver des créneaux entre notre vie de couple et le travail que nous faisions tous les deux.
Je pus assouvir de temps en temps mes besoins discrètement dans notre appartement. En effet, en travaillant le week-end parfois, je pouvais récupérer mes heures en semaines donc librement car Janet, elle en temps que patronne, devait respecter les horaires de bureau. Aujourd’hui justement, c’était le cas.
Comme toujours, cela commence comme une journée ordinaire. Je ne prends ma douche qu’après avoir préparé le petit déjeuner de ma femme, discutait avec elle de choses et d’autres et l’avoir longuement embrassée sur le pas de la porte.
Enfin seul, tout commence par une douche et je me rase soigneusement. Je ne suis pas poilu, ce qui est une chance mais je regrette ne pas pouvoir raser mes jambes car le contact des vêtements féminins sur une peau rasée est décuplée. Mais comment aurai-je pu explique cela à Janet ? Le jour où je trouverai une excuse, je n’hésiterai pas une minute. Peut être en me lançant dans la natation? D’après ce qu’on m’a dit, les nageurs se rasent les jambes car l’eau glisse mieux ainsi. Moi, c’est plutôt les nuisettes que je voudrais faire glisser sur mes jambes.
Par contre, si j’ai quelques poils, j’ai la chance d’avoir un corps fin, donc je peux porter les vêtements et sous vêtements de ma femme. Prudemment en général, je me cantonne aux affaires qui se trouvent dans la corbeille de linge sale car, sous l’excitation, il m’arrive régulièrement de tacher de mon sperme la culotte. Je fais très attention car c’est elle qui lave à la main ses sous vêtements.
Aujourd’hui, je suis une future femme chanceuse car dans le panier à linge, il y a un magnifique corsage de satin rose pale et assorti, un soutien gorge et un porte jarretelle doublée de dentelle noire. Une pure merveille. S’il y a porte jarretelle, il doit y avoir des bas, donc je me mets à leur recherche. Janet ne porte pas souvent ce genre de lingerie et je le regrette beaucoup, ce qui fait que je me suis constitué une petite réserve dans l’appartement et justement, j’ai plusieurs paires de bas.
Apres avoir mis le soutien gorge que je remplis classiquement par des chaussettes, je songe à m’acheter des seins aux silicones mais il faut que je me trouve une cachette plus conséquente d’abord, vint le tour du corsage. Je passe voluptueusement ma tête dans cette matière soyeuse qu’est le satin et la laisse retomber toute légère sur mon corps. Cette douce caresse éveille le zizi qui dormait entre mes jambes. Pour plus de sensation, le corsage étant cintré, il me serrait divinement à la taille. Vint ensuite la pose des bas que j’enroulais tout doucement puis déroulais le long de mes jambes tout en admirant mes nouvelles jambes de noir vêtues. Les yeux fermés pour plus de volupté je glissais mes mains le long de mes jambes pour savourer le toucher. J’adorais être ainsi emprisonné par le nylon. Vint le tour du joli porte jarretelle avec ses coquins petits nœuds roses foncés, je m’attardais voluptueusement au passage de mon clito avant de le fixer à ma taille. Plus qu’à attacher les bas aux jarretelles que je tendis bien serrés. J’adorais en marchant ou en m’asseyant, avoir cette sensation d’emprisonnement lorsque les jarretelles tiraient sur les bas. Vint ensuite la culotte de satin avec sa dentelle blanche pour entourer les jambes. Culotte que je regardais et tripotais avant de me décider à l’enfiler mais, bien sur, elle ne pouvait contenir ma queue toute droite. Maintenant, je marche dans la pièce en essayant de me déhancher le plus sexy que possible, mettant un pied devant l’autre comme les mannequins starlettes pour faire crisser l’un contre l’autre la paire de bas. Ma queue est droite mais j’évite d’y penser, il me faut me calmer pour éviter que la conclusion inévitable arrive trop vite. Au début, maintes fois, il ne me fut pas possible de résister et j’éjaculais, dorénavant j’essayais de tenir plus longtemps car le plaisir était décuplé par la suite. Cela ne m’empêchait pas ensuite de récupérer et de reprendre mon petit jeu tout le reste de la journée.
Mais pour l’instant, la combinaison du satin frôlant le nylon me mettait dans tous mes états, je caressais mon torse, mes jambes et frôlais mon clito sans oser insister si je voulais tenir. Je poussai un gémissement lorsque j’entendis :
Toc, Toc, Toc! Cela venait de la porte. Qui cela pouvait-il être? Personne ne savait que j’étais ici ! Mon cœur battait la chamade comme un écolier pris en fraude. Les rideaux sont tirés, personne ne peut me voir. Le mieux, c’est de ne pas bouger, l’impertinent partira. Impatient, mes doigts tapotent la hampe de mon pénis à travers le satin de ma culotte.
Toc, Toc, Toc! Encore! Ma main tire sur ma culotte pour cacher le bout de mon pénis. J’ai trop envie de me caresser, de jouir pour éviter de penser à cet intrus qui insiste si lourdement. Je suis chez moi. Je ne fais de mal à personne, alors qu’il s’en aille que diable !
Toc, Toc, Toc ! Cette fois ci, le ton est plus impérieux. Quelqu’un sait que je suis ici. La curiosité fut la plus forte et je déplaçais légèrement les rideaux pour voir qui pouvait insister ainsi. C’est ma voisine Mme Jones, une forte dame d’une cinquantaine d’années. Elle me voit, me fit signe en souriant. Je ne pus que lui rendre son sourire. J’étais bien embêté car je devais aller lui ouvrir pour pouvoir me débarrasser d’elle. Pas le temps de me déshabiller, il fallait simplement cacher mes vêtements. Je retirais rapidement mes chaussettes du soutien gorge et passais un pull à grosse maille par-dessus le corsage. Cela devrait aller. Un jeans et une paire de basket compléteront le déguisement. Un dernier coup d’œil sur le miroir pour contrôler que rien n’était visible et j’allais à la porte. Je me rendais bien compte du risque que je prenais mais me retrouver ainsi habillé devant une personne étrangère me montait à la tête, c’était une excitation érotique intense. Vivement que je me retrouve de nouveau seul, ce sera grandiose je le présentais.
-« Bonjour Paul, je savais bien que vous étiez ici » m’annonça tout de suite ma grosse voisine aux cheveux gris.
-« Que puis faire pour vous Madame Jones ? » demandai-je le plus aimablement possible.
-« J’ai un problème de chauffage Paul et il semble qu’il va faire très froid cette nuit, pourriez-vous venir m’aider et voir la chaudière ? »
-« Je suis désolé Mrs Jones mais je n’y connais rien » répondis-je en voulant fermer la porte.
-« Venez au moins jeter un coup d’œil s’il vous plait, il va faire froid et je serai toute seule ce soir » plaida-t-elle.
-« Allons-y » dis-je en soupirant et de la main, lui demandant de me précéder.
Je suivis donc la grosse dame dans sa robe fleurie. Ses grosses fesses roulaient sous le tissu et bizarrement cela m’excitait. Sûrement du à mon propre corsage qui frottait doucement sur ma peau.
-« Merci beaucoup de vouloir m’aider Paul » dit-elle en pénétrant dans le couloir et m’indiquant des escaliers qui devaient monter dans les chambres.
-« Votre chaudière est là haut ? »
-« Oui, il faut monter » répondit-elle avec un drôle de sourire. J’allais monter lorsque la voix de Mrs Jones me figea sur place
-« Les chaussures, s’il vous plait »
-« Pardon ?» J’avais très bien compris mais cela me posait un problème.
-« Retirez vos chaussures s’il vous plait, vous ne voudriez pas salir ma moquette n’est ce pas ? »
J’hésitais à répondre car je n’avais que deux solutions, soit partir en claquant la porte et me fâcher avec la voisine, soit essayer de biaiser. Mon éducation m’empêchait de me fâcher abruptement sans raison précise, donc j’ai tenté de dire
-« Je suis désolé mais je n’ai pas de chaussettes ». Ce qui était vrai puisque c’était des bas.
-« Il vaut mieux des pieds nus que des chaussures sales » fut sa réponse catégorique et je dus donc m’exécuter en souhaitant être le plus discret possible et profiter de l’ombre du couloir. Sans succès car ce que je craignais arriva :
-« Vous portez des collants ? » s’étonna-t-elle. Je la regardais rapidement, elle n’était pas choquée mais amusés, ce qui me rassura un peu.
-« Je vais vous expliquer » commençai-je maladroitement mais Mrs Jones avait avancé sa main pour m’effleurer le côté de ma cuisse.
-« Ah non, vous avez un porte jarretelle, ce sont des bas » en me désignant mes pieds.
-« S�