Dyonisos Soumis
Etendre la lessive est une des pires corvées de soumis que je n'ai jamais eu, handicapé par les mains si étroitement attachées. Déjà sortir le linge de la machine puis de façon acrobatique arriver à ramener la banette jusqu'à la terrasse. Réussir à monter l'étendoir. Tout cela avec une main unique !
C'est dans ces situations comme celle-ci que l'on voit que la vie n'est pas faite pour les handicapés et soumis handicapé je le suis. Je crois que là aussi c'est une douce vengeance pour ne pas étendre volontier la lessive à la maison dans la vie de tous les jours.
Maîtresse me ramène le panier à pince à linge et me regarde un temps, le sourire aux lèvres, essayer de ridiculement étendre cette lessive. Elle finit par me laisser oeuvrer sans au préalable m'avoir mis en garde :
- Tu auras 3 coups de fouets pour chaque chose que tu auras laissé tomber par terre !
Je découvre vite mes difficultés de soumis handicapé. Comme remettre en forme le linge avec une main unique ? Comment le tendre sur la barre de l'étendoir ? Comment retourner une manche à l'envers ? Tout m'est compliqué. Tout m'est long. Je trouve cependant un truc en positonnant la pièce à étendre en bout de barre, puis en le bloquant par une pince à linge, avant de ma main unique de le tirer doucement sur la barre pour le faire sécher bien tendu. Mon échelle de difficultés peu à peu se remplit. Le plus dur à mon goût sont les slips et le culotte qui sortent en tout sens de la machine. Long à remettre en ordre pour ceux des gamins, très long pour ceux des adultes. A 5 reprises, des sous-vêtements ou des chaussettes m'échappent des mains ou de l'étendoir et tombent par terre. 5 x 3 = 15 coups de fouets ?
Cela est long, très long même, trois quarts d'heure me dira Maîtresse après. Mais il ne me reste plus que trois de mes chemises à mettre sur un cintre, mais là je ne crois pas que cela humainement possible avec mon handicap actuel. Je décide d'aller en parler à Maîtresse. Elle comprend et m'enlève baîllon et attache des mains. Je peux finir d'étendre ma lessive et Maîtresse m'autorise même un perrier et une cigarette avant de reprendre. J'en profite pour regarder les photos de ma punition sur le téléphone et, comme à mon habitude, je suis étonné et fier par les dégats subis.
Je rentre enfin pour la suite des événements. Maîtresse est sur le canapé.
- bon c'est bien soumis, vas mettre ta cage.
Je suis surpris de cette mise en cage que je n'ai pas vu arriver. J'essaye de négocier.
- Mais tu m'avais dit que tu voulais baiser après. Que cela soit SM et vanille...
- Oui, je t'aurais bien offert mon petit trou avant de te mettre en cage. Mais à quoi bon, tu n'est pas assez dur pour cela. D'ailleurs là tu bandouilles plus que tu bandes...
J'essaye de lui prouver le contraire, de faire durcir la bête de ma main, immédiatement. En vain !
- Tu vois bien que j'ai raison. Cela devient même inquiétant, il va falloir que tu demandes au médecin de te prescrire du viagra. Va mettre ta cage et reviens vite offrir un cunni à ta Maîtresse... et serrée la cage...
Clic-clac me voilà enfermé pour je ne sais combien de temps et mis en place à genoux entre les cuisses de Madame pour un hommage bien mérité qui éclate vite en un superbe feu d'artifice... pour ma Maîtresse.
Le soir venu, j'ai du mal à m'endormir. J'ai reçu l'ordre de redormir en couche et grenouillère. J'ai trop chaud avec mais là aussi, aucune négociation possible. Ce que Maîtresse veut... Je n'arrive pas à trouver la bonne position. Sur le dos les fesses me font encore mal. Sur le côté l'épaisseur de la couche dans l'entrecuisse m'empêche de trouver une position confortable. Et je crains l'épreuve du bâton dans la cage, à subir au coeur de la nuit...
dyonisos
Non effectivement, je ne suis pas prêt de l'oublier. Et j'aurai plaisir d'y revenir avec toi.
amitié, dyonisos
il te reste a bien dormir si tu le peux ce qui n est pas gagné mais je ne peux m empecher de rire a t imaginer au lit en couche et grenouillère désolé c est trop fort .
PS pour le viagra je te vois bien aller voir ton toubib
avec la queue en cage sur ordre de N vivement la suite
amitié Yanode
Je confirme : j'étais exténué physiquement et intellectuellement. Je ne vois comment j'aurais pu bander. D'ailleurs je n'ai pas pu. Mais il reste que ma Maîtresse a raison. Ces derniers temps ma bandaison est aléatoire et souvent en demi-berne. L'âge ? La fatigue ? Le poids ? Je ne sais mais cela fait un peu chier...
Pour la grenouillère, grrrrrrrr !
amitié, dyonisos.
amitié yanode
Pour l'instant c'est surtout le baton la nuit qui est difficile. 3 à 4 fois. J'avais semble-t-il perdu l'habitude... lol...
La grenouillère est non négociable, Maîtresse N. aimant beaucoup m'y retrouver. Mais j'ai obtene de passer à un modèle de couche moins épais, les grosses couches étant vraiment trop chaudes.
Et hier soir, après m'avoir annoncé dans la journée qu'elle allait me prendre le petit trou au gode, Maîtresse m'a finalement envoyé me coucher dans ma grenouillère en même temps que les enfants.
amitié, dyonisos
amitié yanode
Pour humiliant, cela l'est. Et cela déocule d'une volonté de ma Maîtresse de femme, d'avoir une soirée tranquille toute seule. Et hop plus d'enfants et plus de mari !
L'expérience effectivement se rappelle à moi, avec un joli hématome en bout de zizi et une cage de plastique qui vient encore de s'ouvrir sous la pression de la bête. Heureusement qu'avec le temps, j'ai un tas de pièces détachées et de colle pour réparer tout cela. Mais je crois qu'il faut vraiment que l'on avance sur le cjoix de la cage métal, et sans doute plus vite que le choix du carrelage.
amitié, dyonisos
il faisait surtout très chaud au soleil cet après-midi là.
amitié, dyonosos
Je ne sais pas pour le viagra... c'est une idée ou une boutade de Madame et oui je veux une cage métal, mais nous l'avons tellement attendue que nous souhaîtons pendre notre temps avant de passer commande et comme les soirées sont très D/S en ce moment, cela n'avance pas beaucoup...
amitié, dyonisos
En tous cas (je me répète mais c'est pas grave) votre complicité est magnifique. Que de bonheur !
Tendres bisous et poignée de main chaleureuse.
C'était un peu sa recompense et son apothéose après le long échange de l'après-midi. Là aussi il y a eu une découverte et donc un apprentisage de sa part. Celui de résister à avoir son orgasme tout de suite, qui empêche après toute continuité, mais de l'attendre, de le désirer un long moment avant de l'avoir.
Pense qu'elle avait par la fenêtre sous ses yeux son homme tout nu en train de se battre avec la lessive par se décision et que ce spectacle devait plus qu'entretenir la machinerie d'excitation interne. Elle m'a souvent dit que j'étais meilleur suceur quand je lui étais totalement soumis. Et je pense qu'elle a raison. Un homme surtout qui va être encagé, n'a pas d'autre perspective que de donner le meilleur plaisir possible à sa belle. Et cet hommage, ce suçon, elle l'avait imaginé à sa manière : son homme à ses pieds la tête entre ses cuisses.
La cage ? Non cette fois je ne l'ai pas vu venir. C'était certe une possibilité mais je ne pensais pas qu'elle allait la retenir. Cela a donc apporté encore plus de piquant quand elle a refermé le cadenas, surtout que dans ma tête je ne m'y voyais pas y aller.
dyonisos
amitié Yanode je reviendrai j en ai pas fini mais je manque de temps ce midi