Dyonisos Soumis

Les 10 choses que j'ai apprises depuis que je suis devenu le soumis de ma femme...

Encore un veil article que j'ai ressorti du grenier du blog. J'en ai encore quelques uns qui traînent là esseulés. Faire un peu de ménage dans ma seconde maison est une très bonne chose. Je l'ai relu. Déjà je ne sais pas compter, il n'y en a que neuf ! D'autre part, je trouve que fait un peu testament de soumis. Mais je ne suis pas mort !

Bon d'accord à part les aventures du Domaine, il ne se passe plus grand chose ici. Le blog est à l'image de notre vie, et là oui depuis de nombreux mois c'est le grand calme côté SM. Le manque de temps sans doute. Mais aussi le temps de la réflexion.

Car nous réfléchissons à ce que - finalement - nous voulons pour l'avenir. Pas celui de notre famille, mais celui intime entre nous  à l'image des personnes du Domaine. Nous avons aimé et nous aimons ces jeux épicés entre nous. Comme certainement beaucoup de couples BDSM avant nous, nous avons exploré notre nouveau terrain de jeu, celui que nous avons fait naitre de notre pacte entre nous, il y a cinq ans. Et qu'est-ce que nous nous sommes amusés à enfiler une à une les perles de notre nouveau domaine. Un temps de grandes découvertes, sur nous et sur notre plaisir. Un temps de complicité aussi.

Je suis retombé il y a quelques temps sur nos "check-lists' que nous avions remplies au tout début comme beaucoup. Les notres étaient croisées, une pour Monsieur et une pour Madame. Nous en avions tirés le dénominateur commun avant de nous lancer... Je me souviens encore de l'éclat de rire gêné de N. quand elle m'a découvert la toute première fois, nu avec un seul collier autour du cul, à l'attendre à son retour de travail. C'était le temps où elle me servait un whisky pendant qu'elle me torturait doucement pour m'aider à mieux "supporter". Que de chemin parcour depuis. Que ce temps semble si loin maintenant quand elle manie le fouet avec une précision cinglante.

Non la lecture de nos listes est riche d'enseignement. Nous étions à 70-80% dans la vérité. Certaines pratiques dont nous attendions beaucoup sans les avoir testés, nous ont au final déçues. Et d'autres - sans doute plus avançées - que nous n'envisagions au grand jamais de faire ont été une révélation étonnante. Nous avons donc progressé avec avidité dans notre nouveau monde, nous équipant - sans doute trop - trop de choses finalement pas si utiles qui traînent dans un placard : erreur de jeunesse -, trouvant aussi les temps de tranquiliité pour nous amuser sans contrainte. Une magnifique ballade dans le BDSM !

J'y ai découvert une femme exigeante et précise dans ses gestes, naturellement douée pour certaines pratiques, et qui les réalise sans aucune honte, en mouillant intensément. Moi de mon côté qui voyait d'abord tout cela en libertin comme une prolongation des jeux dans le couple - sans doute plus épicés -, j'ai découvert que j'aimais tout simplement être humilié et souffrir, bien plus que je l'aurais cru initiallement. Et des moments de fusion totale me restent en mémoire. La première ballade nu dans le jardin à quatre pattes, tenu en laisse à ses pieds, la séance de fouet de mes 40 ans, ou ma première libération de cage. Que des moments exquis de complicité intime, savourés ensemble.

Même le sexe vanille a changé en miroir pendant ces cinq années. Beaucoup plus centré sur le plaisir de l'autre. Du plaisir dans un sens offert par l'un à l'autre, avant de se retrouver en communion autour d'un petit trou. Moins de pénétration à la papa-maman aussi, que nous avons fini par trouver si terne par rapport à l'immensité des options offertes pour prendre du plaisir.

Maintenant ils nous semblent que nous avons effleuré chacun des bords de notre monde BDSM, du moins dans la règle que nous nous étions fixés il y a cinq ans : celle de s'amuser uniquement. Et nous nous interrogeons sur ce que nous allons faire de tout cela...

Nous ne sommes par vraiment un couple D/S mais plus un couple qui tire du plaisir de la D/S. C'est une nuance importante, mais qui n'est pas là par hasard. C'est la limite que nous nous étions fixée dans notre pacte. L'étape suivante serait celle où nous cessons de faire comme-ci pour le faire vraiment. C'est un col difficile à franchir, un peu tabou. Le voulons-nous ? Le souhaîtons-nous ? Est-ce une bonne idée pour notre couple ? C'est en tout cas pas une décision neutre...

J'en accepte sans doute plus l'idée que N. Mais je me pose pas mal de questions. Est-ce une bonne idée d'introduire la vie réelle dans notre sexualité ? Es-ce que je le souhaite réellement ou c'est le "toujours plus" des jeux BDSM qui parle ? Je contaste aussi que N. s'est de plus engagée dans des activités en dehors de la maison, et je suis déjà en quelques sortes un mari ou un papa coincé à la maison, s'occupant des tâches ménagères et des enfants. Cela me dérange pas trop parce que je suis finalement assez casanier. Mais c'est comme si j'avais tout les invénient d'être soumis à la maison, sans en avoir les avantages. Je serais prêt à essayer pour voir, mais pas quelque chose de définitif, juste des périodes de soumission entrecoupées de périodes normales, pour l'équilibre.

Pour N. de son côté, comme toute femme, ses pensées restent partiellement un mystère. Avec cependant quelques zones dévoilées. N. a mis quelques années à quitter le "je le fais, parce que tu le veux" et à reconnaître devant moi - et donc à assumer - le plaisir extrême qu'elle prenait à me tourmenter. Elle se pose aussi la question si elle veut aller plus loin maintenant. Pour elle ? Pour moi ? "Tout cela prend du temps, l'aurons-nous ?". Il y aussi la vision qu'elle a de son mari. "Ne finirai-je pas à te mépriser ?", "Je ne me suis pas marrié avec toi, pour te transformer en larvette !".

Bref, beaucoup de questions pour chacun et pour nous. Et nous avons surtout décidé de prendre notre temps...

Bref désolé de cette longue introduction. Voici les dix, non neuf choses que j'ai apprises. Quoique j'ai en tête l'idée d'une dixième, mais celle-là je la garde pour nous... Et au fait, il n'y a aucun ordre.

dyonisos

n°1. J'ai un petit zizi ridicule de garçonnet

J'avoue que je ne m'étais jamais posé la question avant. Bien sûr je savais que je n'avait pas été bien doté par la nature, mais cela n'était pas allé plus loin. Maintenant c'est clair et Maîtresse N. me le rappelle sans cesse pour m'humilier. 

n°2. Je n'aurais jamais plus le dernier mot

Là c'est peine perdue. Quand vous donnez le pouvoir à votre femme, même par jeu, elle le prend entièrement et définitivement. D'ailleurs le second effet kiskool, est que je finis parfois par m'autocensurer à l'avance.

n°3. Je suis devenu un suceur attentif de minou

Et d'après N. il n'y a pas meilleur suceur que suceur encagé !

n°4. La femme est encore plus un mystère pour moi

Comprendre la femme dans les méandres de son esprit dominant est devenu impossible. Le soumis doit accepter qu'il n'accèdera qu'à la surface des pensées.

n°5. J'ai appris à dissimuler les accesoires de jeu dans la maison

Ah qu'il était bon le temps 100% vanille. Il demandait rien, tandis que le BDSM nécessite plein d'accessoires sans doute très plaisants mais qu'il faut cacher dans la maison.

n°6. Que le meilleur plaisir n'est pas d'éjaculer

Les anciens disaient soignent les préliminaires mon garçon. La soumission peut se voir comme un long préliminaire qui n'offre aucune garantie d'aboutir.

n°7. J'ai découvert un petit trou si sensible

Délicieusement sensible quand il s'agit d'avaler un rosebud et méchamment sensible quand Maîtresse N. a décidé de me violer au gode ceinture ou au plug gonflable, heureusement pas si fréquent que cela. 

n°8. Une cage de chasteté peut devenir une seconde maison

Le genre de contrainte que l'on s'est tous demandé un jour comme il est possible de la garder 24/24 et 7/7, et pourtant fatalement on le fait. Si bien que maintenant je me sans nu quand j'en ressors...

n°9. Votre femme si douce peut devenir une Maîtresse exigente

Vous ignoriez qu'elle recelait tant de talents cachés. Et pourtant le résultat est là : la voilà fouetteuse cinglante, tourmentrice de votre service trois pièces ou taquineuse d'espoir de libération, Bien sûr elle vous dira d'abord qu'elle le fait pour vous faire plaisir. Mais bien vite vous constaterez qu'elle en tire un intense plaisir dans l'entrejambe...

Sam 13 oct 2012 5 commentaires
Comment éduquer votre mari
Etape n°1
Il y a assez longtemps, j'ai découvert sur Internet un site dont j'ai perdu le nom et l'adresse qui exposait une méthode pour inspirer les femmes qui le désirent à éduquer leur mari pour qu'il devienne un bon soumis. Bien sûr, il va de soi qu'il doit être consentant car le scénario qui suit fera de votre mari un esclave.
1. Invitez le à se déshabiller dans la chambre, tenez vous près de lui et demandez lui s'il est un gentil mari tout en lui empoignant les testicules.
2. Ordonnez lui de se mettre à genoux et de masser vos pieds. Puis, dites lui qu'il doit vous les embrasser. Autorisez lui d'embrasser vos jambes, de les remonter jusqu'aux cuisses, jusqu'au point crucial de votre intimité qui ne lui doit être accessible que comme un "privilège". Agrippez lui les cheveux et demandez lui s'il a mérité ce privilège.
3. Liez lui les mains derrière le dos avec un bas, ou autre chose, et demandez lui d'enlever votre culotte avec les dents. S'il réussit, embrassez le sur le front.
4. Ne le laissez pas se toucher surtout. Maintenez juste son excitation en faisant de temps à autre usage de vos ongles.
5. Vous pouvez ensuite le garder à vos pieds pendant que vous regardez la télé ou lisez un roman tout en le flattant de temps en temps avec votre pied et déliez-le pour lui permettre de se masturber sans se faire jouir, juste pour qu'il garde son érection. Usez de cet instant pour l'enfoncer plus loin dans son rôle de soumis. Faite lui avouer ses désirs fétichistes et proclamer son adulation pour vous.
6. Ordonnez lui de vous remettre votre culotte avec les dents uniquement. Lorsque son visage arrivera près de votre chatte, ordonnez lui de vous l'embrasser et de la lécher. S'il ne vous donne pas satisfaction, bâillonnez le avec votre culotte et faites-vous masturber avec son nez.
7. Quand cette session de servitude orale est terminée, escortez-le jusqu'à la chambre sur ses quatre pattes. Et faites le allonger sur le lit et sur le dos, après lui avoir lié les mains.
8. Enfourchez le. Asseyez-vous dessus et penchez vous pour lui permettre à peine de vous lécher les tétons.
9. Retournez-vous pour lui présenter votre derrière. Autorisez le à embrasser vos fesses pendant que vous lui pincerez et étirerez son pénis. Faites lui atteindre votre petite chatte avec sa langue et demandez lui s'il est prêt à assumer sa soumission au point de vous lécher l'anus. Dites lui que vous ne lui ferez plus l'amour tant qu'il n'assumera pas pleinement son rôle de soumis.
10. Au bout d'un moment lorsqu'il sera suffisamment excité, vous voudrez naturellement faire un break. Vous vous retirerez donc dans la cuisine pour aller boire un verre mais laissez le seul attaché dans la chambre.
11. Quand vous reviendrez, vous lui prodiguerez un massage des couilles en lui caressant l'entrejambe avec l'autre main.
12. La stimulation verbale renforcera l'efficacité de la masturbation. Dites lui des choses pour le récompenser de son bon comportement si vous êtes satisfaite de lui ou sinon humiliez-le, rappelez lui verbalement sa condition de soumis.
Puis enfourchez votre monture et utilisez-le pour votre plaisir. Ne vous occupez pas de son confort, et encore moins de son plaisir, vous constaterez que le fait d'être rabaissé au rang d'objet sexuel, d'être simplement utilisé sans aucune considération l'excite plus que vous ne l'aviez imaginé, et lui aussi vraisemblablement !
Continuez ensuite son éducation en lui faisant faire quelque chose pour vous remerciez. Voici quelques exemples qu'il devra réaliser en attendant que son excitation puisse revenir. Après tout, vous êtes prête à remettre ça, mais lui en est incapable… il faut bien compenser !
1. Faites vous choyer...
2. Faites vous faire un massage.
3. Faites vous préparer le dîner et faites le vous servir.
4. Faites lui nettoyer vos chaussures avec sa langue.
5. Faites lui faire le ménage nue.
6. Faites lui porter un collier et une laisse et promenez le dans l'appartement.
7. Faites le attendre sagement a genoux par terre a vos pieds.
8. Faites lui mériter sa récompense : autorisez lui d'embrasser votre chatte, de la lécher et pour 10 minutes de votre plaisir donnez lui en 1 minute.
9. Fessez le 5 fois pour chaque minute qu'il a mis pour vous faire jouir.
10. Ordonnez lui de s'amener lui même à la limite de l'éjaculation et d'y rester le temps que vous souhaitez. Puis sur votre ordre, il doit jouir dans les dix secondes ou il sera puni ou il ne lui sera pas permis de jouir. (Gardez le dans cet état, un quart d'heure, une demi heure, une heure, le temps que vous voulez... c'est vous la maîtresse).
11. Après chaque relation sexuelle faites vous lécher la chatte jusqu'à ce qu'elle soit propre.
12. Lorsque vous le laissez seul, donnez lui toujours des tâches ménagères à réaliser, ou laissez le nu et attaché.
Voici quelques idées de punitions si votre mari ne vous satisfait pas :
1. Fessez le à la main, ou avec une ceinture par exemple.
2. Doublez sa liste de tâches ménagères, ou rendez les plus difficiles.
3. Interdisez lui toutes éjaculation pendant plusieurs jours ou plusieurs semaines.
4. Interdisez lui de se masturber en votre absence.
5. Humiliez le en public en l'envoyant acheter des culottes féminines.
Etape n°2
Voici différents scénarios de masturbation qu'une épouse peut infliger à son mari, ces scénarios sont tous numérotés ainsi vous pouvez le punir en lui ordonnant de tirer au sort son humiliation qu'il devra réaliser devant vous. Ou si vous décidez d'être plus sévère choisissez vous même le scénario.
1. L'esclave doit avaler son propre sperme. Ce n'est pas très difficile pour l'homme de l'accepter tout de suite après qu'il ait joui, seulement après une minute ou deux, lorsque son excitation est redescendu se sera plus difficile et plus humiliant pour lui. Faites le donc jouir dans un verre ou une tasse pour le boire ensuite. S'il a du mal a le faire, attachez lui les mains dans le dos, et forcez le a boire, en tenant vous même la tasse ou le verre.
2. Masturbez votre esclave et demandez lui de tenir un certain temps que vous lui donnerez à l'avance et s'il éjacule avant, faites-lui recueillir son sperme pour le mélanger à de la crème dessert qu'il devra manger.
3. Une variation du numéro 2. L'esclave prépare une assiette de repas dans laquelle il doit éjaculer avant de la manger à quatre pattes sur le sol, tel un chien.
4. L'esclave doit jouir régulièrement dans une petite bouteille que l'épouse gardera pour le jour où elle souhaite le punir sévèrement en lui faisant boire tout le contenu.
5. L'esclave doit s'allonger sur le dos, avec les jambes qu'il passera par dessus la tête. Son sexe doit être le plus proche possible de son visage et il peut commencer alors à se masturber jusqu'à ce qu'il se jouisse sur le visage.
6. Votre mari doit jouir sur le gode que vous vous serez installée à la taille, puis faites le sucer comme s'il s'agissait d'une vraie queue.
7. Votre esclave vous fait l'amour avec un préservatif. Lorsqu'il a joui, il doit enlever prudemment son préservatif, il vous le donne puis attend la tête en arrière, la bouche ouverte. Alors, vous pouvez y déposer le préservatif à l'intérieur et lui ordonner de le ressortir que lorsqu'il l'aura complètement nettoyé.
8. L'esclave doit se masturber avec des pinces sur les couilles. Et vous devez l'obliger à se masturber sans gémir. S'il débande, punissez le ou s'il éjacule trop vite punissez le aussi. C'est vraiment sévère, par exemple faites lui se masturber encore une fois jusqu'à une nouvelle éjaculation et fouettez le s'il n'est pas d'accord.
9. Même scénario que précédemment mais avec des pinces sur les tétons en plus.
10. Obligez votre mari a se branler et à vous prévenir lorsqu'il va jouir. Il devra vous demander l'autorisation de le faire, et vous pouvez accepter mais aussi surtout refuser. Il devra tout de même continuer a se masturber sans éjaculer jusqu'à atteindre de nouveau le point ou il va jouir.
11. Obligez votre mari à se branler et à vous prévenir lorsqu'il va jouir. De sorte que vous lui posez une pince sur un téton pour refroidir quelque peu son ardeur. Répétez l'opération autant de fois que vous le désirez.
12. Obligez votre esclave à se masturber avec un gode dans le derrière (qu'il se sera lui même introduit après l'avoir léché, devant vous) que vous ferez aller et venir qu'une fois qu'il a joui, le nombre d'aller et retour sera égal au nombre de coups de poignet que votre mari s'est donné.
13. Vous pouvez enculer votre mari tandis qu'il se branle jusqu'à éjaculation. Toutes ces situations peuvent vous paraître " trop ". Mais essayez, et vous serez surprise de constater qu'elles excitent beaucoup plus votre mari que vous n'auriez pu l'imaginer. Peut être même ne sait il pas que ces situations peuvent l'exciter! Et ensuite inventez vous même des situations ou il sera de plus en plus humilié… et profitez en !
Les devoirs d'un soumis
Le premier devoir d'un soumis, est de satisfaire sa Maîtresse en toute choses, tant physiquement que psychologiquement. Il doit donc s'attendre à recevoir à l'occasion des punitions, s'il enfreint les règles dictées par sa Maîtresse.
Ma perception de la fidélité s'image dans le port permanent d'une ceinture de chasteté, et par celui de bijoux ou de tatous incrustés dans ses chairs. Ainsi le soumis saura en tout temps, qu'il appartient à sa Maîtresse et que celle-ci n'aura plus à s'inquiéter de l'intégrité de son esclave.
Les tâches quotidiennes d
lailatvx - le 13/10/2012 à 09h47

Que voilà des méthodes variées, mais elles ne fonctionneront pas sur tous les soumis. Moi par exemple, le sperme ne me répugne pas...

dyonisos

dyonisos
Ben la dixième c'est évident : c'est que tu as appris à compter jusqu'à 9 ! Amitiés.
soumis pissotte - le 14/10/2012 à 01h03

raté.

dyonisos
Après son samedi à se faire baiser, ma femme Sylvie a besoin de récupérer et, pour la première fois, je n’ai pas le droit à mon « jour de repos ». Elle se fait servir et me laisse ma cage de chasteté tout le dimanche en me disant que le rôle du larbin docile et éjaculateur précoce me va bien.

Ce jour a marqué le début d’un durcissement de ma qualité de soumis. Le dimanche suivant, elle m’a laissé la pénétrer, mais en me disant : « je te laisse 30 secondes, après tu sors ». Un peu stressé à cause de mon envie d’éjaculer, je n’ai pas réussi à le faire dans le délai. En rigolant, elle m’a dit de remettre ma cage:
- Avec les amants bon baiseurs que j’ai, ce n’est que parce que je t’aime que je vais te laisser plus de temps pour me baiser, mais il te faudra faire un effort si tu veux pouvoir éjaculer dans ta femme ! Dorénavant, quand je le déciderais, tu auras encore une chance de 30 secondes. Et si, comme aujourd’hui, tu n’y arrives pas, tu attendras la
prochaine fois.

Plus tard, ce même dimanche, elle me demande :
- Notre jeu te plaît toujours ? Tu aimes être mon cocu soumis ?
- Oui, tu sais bien que oui
- J’avoue que moi aussi, je suis en permanence excitée. J’ai l’impression de devenir nymphomane, mais j’aime ça. Mets-toi tout nu et à genoux devant moi !

J’obéis, sentant mon sexe qui veut durcir mais ne le peut pas. Ça a, comme toujours, l’effet de me faire mouiller, ce qui lui donne une occasion de se moquer de moi :
- Mais tu mouilles comme une pucelle à son premier rendez-vous ! Tu es vraiment fait pour être mon esclave !

Elle prend la mouille qui sort de mon gland sur son doigt et me le fait lécher. Puis elle me dit :
- Depuis maintenant, dés que tu es à la maison, tu te mets tout nu et tu mets le petit tablier de soubrette que je t’ai offert. Je veux que la maison soit toujours impeccable, que la lessive soit faite toutes les semaines et que, quand je rentre le soir après avoir bien joui, un bon petit repas soit prêt !
- Je te promets de m’appliquer à te satisfaire.

Elle me roule un pelle en me disant qu’elle m’aime et en m’envoyant mettre le tablier.

La semaine, elle voit toujours ses amants régulièrement. Pendant ce temps, obéissant, je m’occupe de toutes les taches ménagères. Le dimanche, elle ne m’enlève plus ma cage, disant que je dois m’habituer à la porter en permanence. Lorsqu’elle le décide, en général une fois par semaine, j’ai la chance de pouvoir la baiser. J’arrive presque toujours à éjaculer en quelques secondes. D’ailleurs, elle a baissé le temps qui m’est imparti de 30 à 20 secondes.

Un samedi, alors qu’elle est partie faire des courses, je prépare le repas de midi et fais le ménage. Je suis à la cuisine lorsque je l’entends revenir et parler à quelqu’un. Elle n’est pas seule !

Jennifer, sa meilleure amie est avec elle. Elles se connaissent depuis leurs études et Jennifer a été notre amie de noces. J’ai toujours pensé qu’elle devait être un peu libertine et j’ai tout de suite compris qu’elle connaît notre jeu puisqu’elle s’exclame :
- Voilà ton cocu, sa cage et son petit tablier lui vont à merveille !

Ma femme me demande de leur servir deux kirs pour l’appétitif qu’elles prennent au salon. Elle m’autorise à rester debout, les mains dans le dos, yeux baissés. Je suis mort de honte en entendant ma femme lui raconter mes exploits sexuels. Jennifer me demande :
- Alors, ça te plait d’être cocu ? C’est ça qui te fait mouiller comme une nymphomane ?
- Oui
- Ben heureusement que tu aimes ça, parce que ce serait de toute façon arrivé, une femme ne peut pas se contenter d’un homme qui baise aussi vite qu’un lapin !

Un peu vexé, j’ai rougi et bredouillé que c’était un jeu et que je n’ai pas toujours été comme ça. C’est ma femme qui a répondu :
- Oui c’est vrai, avant il tenait bien 3 minutes !

Les deux femmes éclatent de rire. Jennifer dit :
- Tu ne crois quand même pas qu’une femme peut se contenter pendant 10 ans d’un mec qui éjacule au bout de 3 minutes quand tout va bien. Elle n’a pas attendu que tu lui le demandes pour te faire cocu ? Sylvie, dis-lui quand c’était la première fois après votre mariage !

Je sens qu’elle a une emprise assez forte sur ma femme qui, malgré la gêne, dit timidement :
- C’était pendant notre voyage de noce.

Malgré la surprise de cette nouvelle, mon excitation ne diminue pas. Ma femme me caresse les couilles et, à son soulagement, remarque que mon attitude n’a pas changé et que cette nouvelle ne provoque pas de malaises. Jennifer demande à ma femme de me raconter.

- Tu te souviens de notre nuit de noce ?

Je m’en souviens avec honte, j’avais abusé d’alcool et j’avais été incapable de bander. Nous n’avions donc pas baisé. Elle me raconte :

« Le lendemain matin, nous sommes partis prendre l’avion pour notre voyage de noce en Espagne sans que tu trouves le temps de te rattraper. C’est Jennifer qui m’avait donné l’adresse de cet hôtel. Elle y avait passé des
vacances.
Le dimanche soir, il y avait une soirée avec orchestre à l’hôtel. Comme tu n’as jamais été un fan de danse, tu as laissé un jeune homme, José, m’inviter à danser et m’apprendre quelques danses espagnoles. Il faut savoir que si José s’est intéressé à moi, ce n’est pas par hasard, c’était un libertin que Jennifer avait rencontré dans un club. C’était une surprise organisée par notre amie de noce et même moi, je ne le savais pas. J’ai passé une très bonne soirée aux mains de ce bel homme. Pendant les moments les plus sensuels, je me suis laissée plaquée à lui et je ne pouvais pas ignorer sa belle virilité bandée.

Jennifer arrête ma femme pour dire :
- On devrait lui enlever la cage pour que tu voies à quel point ça l’excite. Je suis sur qu’il banderait !
- Oui bonne idée, mais alors, on lui attache les mains, je ne veux pas qu’il se tripote !

Je me retrouve donc sans ma cage, les mains attachées dans le dos. Ma femme Sylvie reprend son récit.

Quand j’ai appris qu’il travaillait pour une école de plongée, c’est sans la moindre arrière-pensée que je l’ai invité à venir discuter avec toi. Tu as toujours aimé la plongée et j’ai pensé que tu aurais envie d’en faire. Je t’ai même poussé à t’inscrire pour une plongée chaque matin et disant que je t’accompagnerais, mais en restant bronzer sur le bateau pendant que tu exploreras les fonds sous-marins.
Le soir, en rentrant dans la chambre, j’étais chaude comme la braise, j’avais une grosse envie de baiser. Profitant de la douche spacieuse, nous avons entamé des préliminaires très érotiques sous l’eau. J’avais oublié que le mariage ne t’avait pas rendu endurant et, de trop jouer avec ton sexe, je t’ai fait gicler sans que je m’y attende.
Comme dans ces cas, ton sexe est « hors service » au moins pendant plusieurs heures, je venais de rater ma première pénétration de femme mariée.
La fatigue du voyage aidant, nous nous sommes réveillés tard le lendemain. Pas de temps pour, enfin, me faire baiser car nous avions rendez-vous au port.
J’étais assez fière de mon corps et c’est avec plaisir que, sur le bateau, j’ai enlevé ma robe de plage pour exhiber mon petit bikini.
Pendant l’heure de navigation jusqu’à l’endroit de la plongée, nous avons eu le temps de faire connaissance avec les autres passagers. Il y avait 5 « collègues » de plongée, le professeur de plongée, José qui pilote de bateau et s’occupe de l’intendance. Vêtu d’un simple short, il exhibe son torse musclé. C’est à ce moment que j’ai réalisé que j’allais me retrouver seule avec lui pendant votre plongée.
J’avoue que j’ai alors pensé à son sexe que j’avais senti bien plus gros que le tien et j’ai mouillé.
Pendant le trajet, alors que le professeur de plongée vous donne les informations et instructions de sécurités, je suis allée discuter avec mon beau danseur dans la petite cabine de pilotage. Lorsqu’il a posé une main sur mes fesses, j’ai fondu et il a compris que la jeune mariée n’allait pas résister longtemps.
Arrivé sur place, il a jeté l’encre, vous vous êtes équipés et vous avez sautez à l’eau. Alors que vous étiez à coté du bateau, j’étais appuyée à la balustrade. Comme personne ne pouvait voir le bas de mon corps, José, à coté de moi, a tiré sur le nœud qui tenait mon bikini sur la hanche. Tu me regardais, je ne pouvais pas protester sans que tu t’en rendes compte. Il en a profité pour passer de l’autre coté et tirer sur le nœud qui tenait le bikini sur l’autre hanche. Quand je t’ai lancé un bisou et que je t’ai souhaité plein de plaisir, j’avais le cul nu et je savais que tu serais cocu.
Les préliminaires n’ont pas duré. Il m’a rapidement baisée, j’ai adoré son sexe qui buttait contre mon utérus, contrairement au tien. Lui a été capable de me prendre en levrette, la position que je préfère et j’ai joui bien plus qu’avec toi.

Comme elle s’arrête un moment, c’est Jennifer qui se moque de moi en remarquant que ça me fait bander d’apprendre que j’ai été cocu le deuxième jour de notre mariage.
Ma femme continue son histoire :

Ce soir là, je t’ai gratifié de ta première fellation d’homme marié. Tu en as été tellement ému que, même si j’ai arrêté après même pas une
lailatvx - le 14/10/2012 à 06h40

Histoire de cocu D/S assez classique mais agréable à lire. Attention le commentaire coupe la fin quand c'est trop long.

dyonisos

dyonisos
etrange je fait actuellement les meme reflections et voila un article que j aurai tres bien pu ecrire au jour d hui... a quelques details pret mais comme toujours je vais etre ton poil a gratter et pour cela juste une question :
es tu sur d avoir decouvert entiérement les fin fond de la pensée et envie profondes de ta domina et plus encore de ta femme ?
pour moi le jeux D/S a ouvert une porte sur leurs et notre inconciant , et derrire cette porte c est un immence hall que l on a trouvé avec plus encore de portes a ouvrir et la question la quelle vas tu prendre si tu vas en ouvrir une car cela pourra tout aussi bien rester en l etat .
amitié yanode
yanode - le 14/10/2012 à 07h26

Non, faut être réaliste, les pensées et envies profondes d'une famme nous sont inaccessibles. Nous n'en voyons que les reflets indirects. Je pense aussi qu'elles ne cherchent pas comme les hommes à les introspecter. Elles préfèrent vivre dans l'instant, à ce qui me semble.

Oui tout pourrait rester dans l'état ou s'arrêter. Ou rebondir sur autres choses. Si je prends ta remarque à l'envers, il aurait du rien se passer ces dernières années et nous aurions jamais ouvert les portes des jeux BDSM... Alors oui il faut du temps, peut-être pour constater à la fin qu'il vaut mieux en rester là.

amitié, dyonisos

dyonisos
Je ne souhaite en rien juger votre vie, mais je pense qu'elle ne correspond pas au couple réellement D/s car vous avez une vie que vous qualifiez de normale, comme tout couple, avec néanmoins certains aspects SM. Mais vous l'avez bien souligné, cela sans doute par piment et ajouter à votre vie cette saveur qui excite votre couple; Vous avez sans doute su le doser mais avez-vous envie de continuer finalement ?
Là est peut-être la question. Mais elle vous appartient...
Madame.S - le 15/10/2012 à 15h09

J'ai publié ce texte, ainsi que d'autres avant, par souci d'honnêté avant tout. 

Il y effectivement pas mal de vérités dans votre commentaire qui résume assez bien mes propos. Nous avons pu au final faire évoluer la sexualité du couple en totale complicité sans recourir à des biais extérieurs. Notre réflexion actuellement porte sur les limites que nous imposons ou plutôt sur l'envie que nous avons envie ou pas d'explorer d'autres facettes qui se présentent à nous. La conclusion ne sera sans doute pas un couple D/S, car le besoin psychologique n'existe pas (sans jugement de ma part). 

Quant à ce qu'il adviendra au final, nous seuls avons la réponse. Pour l'instant nous continuons à nous interroger.

Merci pour votre commentaire.

dyonisos

 

dyonisos