Dyonisos Soumis

Bon voilà j'ai chopé ce que mon médecin appelle un symptome grippal, car officiellement la grippe dans notre région n'a pas commencé. Peut être, m'empêche être à 39°C 24/24, être assommé et dormir en permanence, si ce n'est pas la grippe cela doit être sa soeur.

En tout cas, cela a arrêté tout net la séquence actuelle de D/S, dommage pour nous et pour vous. Vous et moi ne saurons pas comment cela allait se terminer car au délà du 20 rien n'était programmé (une Maîtresse n'est jamais trop prudente).

D'un autre côté nous étions arrivés à un tel degré de fatigue qu'il était temps de faire une pause. Surtout que ma Très Vénérée Maîtresse est devenue avec le temps très gourmande avec ses combinés. Mais je constatais que nous prenions du retard qui devenais de plus en plus irrattrapable.

Ce qui est sûr, est que dimanche 19 j'ai tiré ça :

La première traite a été faite à 8h par ma très Vénérée Maîtresse, elle m'a envoyer m'auto-traire à 17h et pour la dernière, elle m'a manifestement pas vu préférant que mes doigts s'occupent d'elle ! Mais point de coups de cravaches, trop fatigués tous les 2.

Le lundi 20, je me réveille très difficilement j'ai l'impression de ne pas avoir dormi de la nuit et cela va être de pire en pire toute la journée. Le 20 était prévu cela :

Mais je ne serais jamais à quel jeu, elle allait me manger car je suis rentré le soir, la tête dans le sac avec une fièvre de compétition. Je suis allé de suite m'endormir sur le canapé et ma très Vénérée Maîtresse a constaté que manifestement il ne se passerait rien entre dyonisos et sa Maîtresse le soir.

Mardi rendez-vous chez le médecin, et pour ceux qui nous suivent il faut faire gaffe. Je me souviens de ma peur du mois de mars , alors j'ai fait gaffe : virer la culotte, enlever la cage, passer du solvant pour enlever le rouge à ongle sur les pieds, frotter mon cul pour faire disparaître l'inscription. Tout cela sonnait comme une fin du jeu.... Dommage.

Et j'oubliais de réaffirmer ici que j'ai une femme de Maîtresse ou une Maîtresse de femme formidable, que j'adore au plus profond mon être.

dyonisos