Dyonisos Soumis
Mon statut de mâle subissant la loi du calendrier s'est dégradé depuis que ma très Vénérée Maîtresse a introduit ce que j'ai appelé les combinés nordiques, à savoir l'association arbitraire de 2 épreuves SM. 2 exemples cette fin de semaine :
JEUDI
Encore une fois je vois l'influence des lectures sur les décisions de ma Très Vénérée Maîtresse, et je remercie Maîtresse Satine et son soumis bert.
L'association des 2 punitions m'a surpris : mes soirées se densifient. Et j'avoue que j'ai pâli quand j'ai la longueur de la phrase que je devais recopier : Moi, dyonisos soumis, je suis une très très petite bite, et je ne satisfais pas ma très Vénérée Maîtresse N sans utiliser ma langue et mes doigts . Et encore plus quand elle me dit que bien sûr c'était des lignes manuelles à écrire sur le cahier à lignes.
Jeudi soir après avoir craint l'attaque des pinces à linge toute la journée, je m'attaque à mon écriture avec ma Maîtresse qui vient me surveiller de temps en temps au dessus de l'épaule, ce qu'elle sait que je déteste en temps normal. Elle se plaint à chaque de la qualité de mon écriture et je dois redoubler d'attention pour continuer à écrirer lisiblement.
2h plus tard, j'ai rempli 14 pages qui ne font qu'un peu moins de 100 phrases. Cela va être long terriblement long mais ma très Vénérée Maîtresse a décidé qu'il était temps que j'aille me coucher et a don réduit ma peine à cette centaine de lignes copiées. Et vu que j'avais été "trop lent à écrire mes lignes", elle reportait à un autre soir la mitraillette. Néanmoins hommage obligatoire à sa féminité dans le lit.
VENDREDI
Nouveau combiné de figures imposées, mais ma Maîtresse s'est endormie à 9h, le soumis à 10h après avoir réussi à coucher les enfants. La fatigue de ces derniers jours amplifiée par les jeux, venait de nous terrasser !
bonne nuit,
dyonisos
Moi ce n'est pas trop comme cela que je le vois qui dis repos, dis retard, donc dis beaucoup de choses en peu de temps.
amitié, dyonisos
ET une de poursuite derrière son arrière train :
amitié yanode