Dyonisos Soumis

Voilà cet après-midi, au moment du café, Maitresse N. a jugé toutes les infractions en retard depuis 3 semaines.  Elle n'étais pas très enthousiaste au début, mais elle sait vite laissé convaincre quand elle a vu son chéri arriver entièrement nu avec la bite en cage et les mains attachées dans le dos par les menottes en cuir rouge.



J'ai attendu au pied de la table le début de l'audience de jugement. Il faisait très bon sur la terrasse et je suis toujours très troublé d'être dressé nu en extérieur. N. est venue s'assoir, a mis son propre propre mot de passe et a commencé à changer la programmation des punitions dans le programme. Le ressenti du moment est génial : on ne sait pas ce qui va nous arriver...


Puis c'est le choc violent du verdict : premier jugement de l'infraction la plus grave (je m'étais emporté contre N. il y a 3 semaines). Quelques secondes et le verdic tombe : 134 coups de cravache, avec une remise de peine de 10 coups contre l'obligation de servir d'urinoir à N. tout le week-end et 1 mois d'interdiction d'alcool. N. jubilait tandis que moi j'étais atteré (mais j'ai ce je mérite). Et puis elle rajoute : servir d'urinoir ce n'est une punition, tu aimes trop ça.

Et le jugement des infractions de moindre importance a continué avec N. de plus en plus exictée et Dyonisos à ses pieds. Une fois tous les jugements prononcés, cela n'a pas suffit à N. qui a rajouté une infraction pour pouvoir encore une fois lancer la machine diabolique.

Au final, j'ai pris :
124 coups de cravache
1 mois + 1 semaine de privation d'alcool
1 week-end de service en tant qu'urinoir
le prochain repas sera mangé dans la gamelle au pied de N.
1 semaine supplémenaire en cage
les 2 prochaines nuit à dormir nu et enchaîner au pied du lit de ma Maitresse
el l'intégralité des lessives et repassages pendant 1 semaine

Malgré tout cela, à la fin de la séance, j'étais très excité et ma mouille de bite coulait à l'extrémité de la cage.


N. m'a alors ordonné de me dépêcher de monter dans la chambre pour l'éxécution immédiate de la sentence. Je peux vous dire qu'alors que je montais les marches avec les mains toujours attachés dans le dos, je n'étais plus du tout serein...

Sam 22 aoû 2009 1 commentaire
Je vous souhaite que vos enfants aiment encore longtemps et souvent partir en vacances ;-)
Joli blog, récits très plaisants de réalisme.
phil
philinlove - le 06/09/2009 à 15h46

Nous aussi (parents indignes que nous sommes !) Merci.

dyonisos