Dyonisos Soumis
12 mars
- Tu te demandes pourquoi j’ai choisi notre pizzeria habituelle ? Pourquoi aurais-je du changer ?
La réponse de Claire est imparable. Depuis 2 ans, nous prenons une étudiante pour garder les enfants le vendredi soir, une fois par mois et nous sortons non entre parents, mais entre éternels amoureux. Et effectivement nous nous retrouvons souvent dans cette pizzeria où le patron a appris à nous reconnaître comme clients réguliers à la longue. Il nous a encore chaleureusement salués ce soir à notre arrivée.
Sauf que pour la première fois, j’y vais en « soumis » de Madame, son dernier cadeau bien fiché dans mon cul : un nouveau rosebud de 4 cm qui me dilate et me fait me trémousser sur ma chaise au grand plaisir des yeux de Claire.
- Et à notre retour à la maison, il n’y a aura pas de changement. Nous baiserons follement sur le lit. Cela m’excite de plus en plus de te prendre ton joli petit cul au gode ceinture, et d’entendre couiner sans fin ton plaisir !
Claire dans sa version Maîtresse est de plus en plus cash, à appeler un chat, un chat. Cela me met très mal à l’aise, encore plus que le rosebud qui me travaille les entrailles. Les tables des autres clients sont trop proches de la notre à mon goût. Et Claire ne chuchote pas vraiment…
La serveuse arrive pour amener les cartes, d’abord à Claire puis elle veut me confier la mienne. Claire intervient :
- Non pas de carte pour Monsieur, ce soir. Je choisirai pour lui…
La serveuse a un bref regard interrogatif mais se reprend vite.
- Voulez-vous des apéritifs ?
- Oui, un martini pour moi « on the rocks »…
- Et Monsieur ?
Elle attend ma réponse. J’ai envie d’un whisky mais je n’ose pas dans le contexte. Claire répond encore une fois à ma place…
- Oh rien pour Monsieur. Si : un verre d’eau plate…
La serveuse est nettement plus intriguée, mais s’en retourne vers le bar… Le manège de Claire a aussi attiré l’attention du jeune couple le plus proche qui nous regarde tout en discutant à voix basse, sans doute sur l’attraction créée par notre table.
Pour les pizzas, c’est la même chose. Claire choisit et me l’impose. Une pizza à l’artichaut comme pour elle sous le petit sourire maintenant moqueur de la serveuse. Je fais la moue et me tait une partie du repas… Elle me laisse faire, sûre qu’à un moment ou l’autre je craquerai et couperai court à mon silence…
Ce moment arrive quand j’ai fini ma pizza…
- Pourquoi fais-tu tout cela ? Pourquoi es-tu devenue soudain si femme Maîtresse ?
- Parce que tu ne nous laisses pas d’autres choix, mon Amour. Comme pour beaucoup de choses, il faut te secouer pour te faire bouger. C’est valable pour le choix de nos vacances ou pour le choix du mode de vie…
Je ne réponds prudemment pas, mais Claire m’a ferré et ne veut pas me laisser m’échapper.
- Vas-tu donc essayer de devenir un petit mari soumis pour toi et moi ?
- Oui, j’ai envie d’essayer pour voir si cela marche. Mais je trouve que 6 mois c’est bien long pour un essai…
- C’est la durée minimale pour faire une première rééducation. Car la tâche est immense et va nous demander beaucoup d’efforts.
- Tu crois ?
- Oui. Je vois cela comme un chiot à apprivoiser et dresser. Qu’est ce que son Maître lui demande ? Une soumission et une obéissance sans faille. Et qu’il sache rester à sa place dans la meute familiale. C’est ce qu’il faut que l’obtienne avec toi au bout de 6 mois !
- Mais j’ai déjà fait des progrès !
- Un peu oui mais pas au niveau que la relation D/S que nous cherchons à mettre en place le demande… Comment te faire comprendre ? Un chien quand tu lui dis couché, il se couche immédiatement en baissant la tête en soumission, quelque soit l’endroit où il se trouve. Toi tu n’en pas là…
- Je suis déjà soumis à ta volonté depuis le début de l’année…
- Pas suffisant. Tu vas comprendre : A QUATRE PATTES POUR EMBRASSER LE BOUT DE MES ESCARPINS !
Claire a donné son ordre suffisamment fort pour que 2 tables relèvent la tête. Je suis en panique, n’arrivant pas à bouger. Elle ne peut pas me demander cela ici ?!
- Allez calme-toi. C’est juste un exemple. Un chien bien dressé n’aurait pas hésité, lui, une seule seconde à obéir…
Je baisse instinctivement la tête en vaincu.
- Tu comprends la nuance ?
- Oui…
- Donc tu comprends aussi que nous ayons du travail devant nous ?
- Oui, je comprends. Je ferai de mon mieux…
- J’espère bien. Je suis convaincu qu’il n’y au final qu’une façon de mettre en place une relation D/S dans un couple depuis longtemps établi tel le notre. La bonne volonté de la partie soumise ne suffit pas. Il faut te faire apprendre 2 choses rapidement : la dépendance et l’obéissance sans question.
- J’en ai conscience mais ce ne sont pas les côtés les plus attrayants de la D/S
- Oui mais ces 2 aspects sont fondamentaux. Je nous donne 6 mois pour te les inculquer dans ta matrice de mâle. Et bien sûr tu as conscience que, vu ton caractère tranché, cela ne peut être qu’un passage en force !
- Com…comment cela ?
- La première chose que nous devons travailler est que sans mon autorisation, tu ne peux rien, jusqu’à cela soit ancré dans ton ADN. Tu n’as jamais eu une grande volonté, donc je vais devoir avoir de la détermination pour deux. Et pour cela il faut acquérir dans ton cerveau d’homme, cet automatisme : par défaut, tu n’as le droit de ne rien faire, pour que tu sois heureux de m’obéir quand je te donnerai un ordre…
- Comment cela, ne rien faire ?
- Tu connais le concept de l’éducation au chenil ?
- Non…
- C’est comme cela que l’on apprend à un jeune chien à garder sa place, en l’enfermant le plus souvent dans une cage, jusqu’à ce qu’il intègre que seul son Maître a le pouvoir de venir le libérer et que donc il faut qu’il se tienne tranquille s’il veut sortir de sa cage…
Je grimace à la perspective. Ce n’est plus du fantasme là, mais une réalité qui serait sans doute difficile à vivre…
- Heureusement nous n’avons pas de cage et en installer une aux yeux des enfants est impossible.
- Ne te réjouis pas trop vite, Pierre. Nous avons une magnifique cabine de sauna inutilisée.
Où veut-elle en venir ? Pourquoi je ne vois pas le piège ? Nous avons sous la terrasse un sous sol avec une succession de 3 petites pièces donc une contient effectivement le sauna. Les ex-propriétaires y avait crée un espace forme, que Claire m’a fait fermé à notre arrivée pour que les enfants n’y jouent pas… Trop dangereux, a-t-elle alors décidé. J’ai bien essayé par la suite de redémarrer le sauna, mais son poêle électrique est cassé et je n’ai jamais pris le temps de lui trouver un remplacement, si cela existe. Cette espace sert maintenant un peu de cave à vin et de débarras quoi que notre vaste sous-sol ne manque pas de place…
L’intention de Claire me frappe en plein cœur : le sauna va se transformer en cage à chien à dresser isolée à l’écart de la vie de la maison ?
- C’est un projet attirant mais qui fait peur. Mais je ne vois pas comment cela serait possible, au moins pour arriver à le garder hors des yeux des enfants…
- Ah les enfants trop curieux ! Il ne faudrait par qu’il trouve leur Papa enfermé dans sa niche à toutou soumis…
- Oui tout à fait. Impossible à utiliser à cause des enfants !
- Tu en es si sûr ?
Qu’est ce qu’elle me dit là : nos enfants devenus plus grands fouillent partout dans la maison, sauf à la « cave » fermée à clé qui leur est interdite depuis qu’ils sont petits. La clé est cachée dans un pot au garage. Est-ce qu’ils m’ont déjà accompagné là ? Pas que je me souvienne… Ils adorent étudier les plans de la maison et cette succession de pièces n’y figure pas. Et impossible de savoir depuis l’extérieur qu’il y a un sous-sol complet sous la terrasse. Cette prise de conscience est chavirante, mais il est plus que probable que les enfants ne connaissent pas l’existence de ces pièces peu utilisées !
- Les enfants ne connaissent pas cet endroit…
- Oui c’est ce que je pense moi aussi. Et j’ai même tenté une allusion à acheter un sauna et aucun ne m’a dit que nous en avions déjà un dans le sous-sol...
Perspective totalement folle : alors que les enfants sont la dernière barrière contre les jeux poussés des parents qu’ils ne doivent pas connaître et donc en même temps un peu une protection contre les dérapages, voilà qu’apparait dans notre maison un espace secret à l’écart de la famille, que Claire propose de retourner contre moi, pour y faire mon dressage.
- Nous avons donc pour t’éduquer rapidement, une niche pour t’apprendre ta nouvelle place.
- Je ne suis pas sûr de le vouloir finalement…
- C’est que je me suis dite quand tu nous emmené sur ces pentes inexplorées, il y a quelques années. Je n’avais pas un besoin fondamental de cela. Je t’ai surtout suivi parce que je t’aimais et je voulais te rendre heureux en couple. Mais quoi que je faisais et j’en ai fait beaucoup, tu es toujours resté à demi satisfait, comme s’il fallait ce surcroit de réalité soumise, pour que tu te lâches et prennes totalement ton pied. Combien de fois, tu m’as disputée, car cela te paraissait un peu faux… au final. Jamais totalement content de mes actions… C’est que finalement, et j’ai mis des années à le comprendre, il y a un biais. Tout ce que nous avons fait est un jeu de rôle sexuel, où je joue un rôle de Maîtresse exigeante. Tout ce que tu me reproches, ces « nuances », qu’ils te manquent, ne viennent que d’une seule chose : je joue la Maîtresse mais en réalité je ne le suis pas. Et tu ne me reconnais pas réellement en tant que TA Maîtresse… Et tant qu’il en sera ainsi, cela restera toujours imparfait à tes yeux…
- Oui, tu as sans doute raison…
- Je ne me sens pas Dominante à la base. Je n’ai pas besoin de cela pour m’épanouir… Mais toi tu en reviens toujours au même point : tu voudrais que je sois la Maîtresse exigeante… conforme à tes fantasmes. Au fil des années, c’est devenu une éternelle litanie de Caliméro chez toi. Je n’aime pas te savoir pas totalement heureux en couple avec moi. Alors j’ai pris une importante décision de mon côté, m’investir à fond pour devenir la Maîtresse qui te hante, parce que je t’aime. Et si je veux que tu vives avec la Maîtresse de tes rêves, il n’y a malheureusement pas d’autres solutions humaines, que je devienne réellement ta Maîtresse, dans la vie de tous les jours. Je me suis beaucoup investie ces derniers mois dans ce but… Maintenant si tu as une autre solution, si tu te sens capable de ne plus me reprocher l’imperfection de nos jeux, je veux bien que l’on en reste à l’état actuel du couple. Sinon, reconnais les efforts que j’entreprends pour le bonheur possible de nous 2 et fais de même de ton côté !
La voix est énervée et agacée, et me frappe au plus profond de mon âme. Je m’apparais si immature dans notre couple, bien loin de la sagesse pour deux de ma femme. Elle a raison : il faut que j’arrête de courir égoïstement après mes chimères, pour essayer de vivre, ce que je recherche sans –doute depuis mon adolescence. Quelle merveilleuse femme !
- Oui, cela vaut le coup d’essayers. Merci à toi. Je t’aime !
Et je vais du même élan embrasser à la source de sa bouche ! Longuement et langoureusement…
Finalement je me remets et revient sagement à ma place, face à la femme de ma vie. Nous semblons un peu gênés de reprendre là où nous avons laissé notre conversation entre mari futur-soumis et femme future-dominante.
- Quand serais-je enfermé dans ma niche ?
- Chaque fois que nécessaire et au début sans doute la plupart du temps et de tes nuits dans la limite des enfants. C’est une révolution qu’il nous faut mener : te priver de ta liberté et te rendre dépendant fatalement de ma volonté. Vu nos âges et notre expérience commune, je ne vois pas comment on pourrait éviter ce passage en force. Tu vas détester et je vais me détester, mais il est nécessaire que tu me vois dorénavant comme l’horizon de ta liberté personnelle. Et la niche servira à cela. Je m’attends à un moment de tension importante, jusqu’à ce que tu me cèdes. Es-tu prêt à cela ?
- Je n’en ai aucune idée. Mais cela n’est pas important finalement. Si tu crois qu’il n’y pas d’autres moyens pour évoluer : impose le moi sans aucune hésitation, quoi que je puisse opposer en râlant ! Tu as raison : j’ai trop tourné autour du pot D/S, pour faire ma mijaurée au moment où une vie conforme à mes attentes peut devenir possible…
Quoique je ne sache pas trop à ce moment, si c’est véritablement ce que je veux au fond de moi-même… finalement. Mais Claire s’est tellement investit dans ce projet pour moi, que je ne vois pas quels droits je pourrais avoir de me refuser…
- Donc nous sommes d’accord pour la nécessité de la niche ?
- Oui, Madame.
- Il y a une autre nécessité absolue pour la mise en place.
- Laquelle ?
- Celle que je te punisse durement pour chaque acte de désobéissance. Mais tu as un problème : tu te révèle assez masochiste finalement. Toutes les punitions physiques que je peux te donner, t’excitent au moins au début. Et tu t’épanches de l’humiliation d’en recevoir à ton âge. C’est contreproductif si je veux que tu retiennes la leçon.
- Oui, je le reconnais. Cela m’a toujours pas mal excité…
- Donc, je privilégierai en priorité les punitions non physiques qui auront plus d’effet sur toi pour les petites désobéissances. Et on verra si compter les grains de riz d’un paquet sera excitant pour toi. Et pour les désobéissances majeures, je devrai te « battre » au-delà de toute excitation. Je t’ai déjà dit que je regarde avec intérêt le fait de te vider avant… Mais ce n’est pas tout, il nous faut un endroit isolé des oreilles des enfants où je pourrai sévir sans crainte.
- Lequel ?
- J’ai décidé de transformer la pièce suivant le sauna, celle du fond, en espace d’exécution des punitions corporelles que tu ne devrais au départ pas assez être sage pour éviter. Un espace non sexuel que je veux t’apprendre à craindre. Cela peut apparaitre à tes yeux comme un donjon SM, mais pour moi cela devra être surtout un lieu d’exécution des plus dures punitions… rien de plus ! Et j’ai, comme tu as, de gros progrès à faire en sévérité et encaissement.
Mes fesses se serrent d’appréhension en entendant cela et je ne suis pas totalement sûr de vouloir être excité à cette perspective d’être véritablement battu.
- Les enfants sont emmenés demain par les Vilerains pour fêter l’anniversaire de leur dernier à la campagne. Il est convenu que les grandes suivent pour une soirée pyjama. La notre s’en fait une joie mais elles ont promis de faire leur devoir ensemble dimanche matin. Donc sans aucun enfant depuis samedi 10h jusqu’à dimanche 17h, la vie n’est pas merveilleuse ?
Inespéré ! Je réagis en bandant dans ma cage : quelle idée dominante peut-elle avoir en tête ?
- Oh ne te réjouis pas trop vite, mon nounours… Cela ne va pas être un week-end câlin, mais un week-end chargé à te préparer une niche douillette au sous-sol… Tu aideras Michiel a tout monter…
Michiel ? Un nom surgit du début de cette période, celle du créateur du site, où je vais voir de temps en temps ma clé est toujours coincée, sauf libéré maintenant du verrou de Claire. Ne reste plus que celui d’Emilie… La curiosité l’emporte...
- C’est qui ce Michiel ?
- J’étais sûre que tu poserais la question. Michiel est un charmant homme de 64 ans, qui vit en couple D/S depuis 20 ans avec sa seconde femme. C’est un artisan à la retraite que sa Dame met au service des autres couples se destinant à ce mode de vie. Cela a 2 avantages : le premier est de pouvoir faire réaliser ce qu’il ne serait pas possible de demander à un artisan classique qui se poserait trop de questions. Le second c’est que ses heures de main-d’œuvre sont gratuites. Il n’y qu’à payer les fournitures et les matériaux…
- Tu l’as trouvé où ?
- Cela restera un secret pour toi…
Et si c’était cette dominante dans ce couple qui avait fait tant changer ma Claire ces derniers mois ?
- Michiel arrivera avec sa camionnette dès les enfants expédiés. Il me dit qu’il y en pour une grosse journée de montage pour peu qu’il est un peu d’aide. Je t’ai donc vendu comme son apprenti…
Encore une idée diabolique de Maîtresse Claire : me fait participer à créer les conditions de ma déchéance en soumission ! Mais à chaud, j’aime bien ce concept !
Le téléphone de ma femme vibre à ce moment. Elle y jette un coup d’œil… avant de sourire largement.
- Tiens Martine est arrivée à ses fins de cohabitation… regarde…
Une photo sur le téléphone qu’elle me tend : la bouche du mari, ridiculement déguisé en femme avec une perruque blonde et rouge à lèvre, qui est distendue par le beau sexe black de l’amant. Les traces de reflux de sperme sur le contour des lèvres ne laissent aucun doute : la fellation a été menée à son terme !
C’est une photo que je n’aime pas. D’abord elle est criarde loin des photos esthétiques que l’on peut trouver sur internet. Et savoir à qui est la bouche est dérangeant. C’est trop intime cela…
- Humm, tu as ton rictus de grimaces… Tu n’aimes pas ?
- Non, pas trop. C’est… trop réel…
Claire se lève pour venir, dans mon dos, me chuchoter à l’oreille.
- Pourtant te faire pendre ta petite bouche vierge par une queue de Mâle fait partie de tes fantasmes cachés que tu m’as avoués ? Moi ce n’est pas mon truc mais tu devrais être content de voir une connaissance le faire…
- Non, c’est loin de…
Je ne finis pas ma phrase car Claire descend sa main sur mon entrejambe où elle fait impudiquement sauter deux boutons de la braguette avant de se glisser dans l’ouverture du caleçon. Je regarde inquiet les alentours si quelqu’un remarque le manège de Claire mais cela ne m’empêche nullement de frémir quand je sens ses doigts me toucher…
- Pourtant, tu bandouilles mon nounours…
- Non, c’est tes doigts qui me font cet effet.
- Regarde bien la photo. Imagine-toi à la place de Paul rempli d’émotion à accueillir cette belle bite au creux de ta bouche. Tu ne peux pas savoir mais sucer une queue, c’est délicieux. La sentir vivre, palpiter, être aux aguets du plaisir qui monte, se demander si l’on va lui donner le bonheur de l’accueillir là et ressentir la tension qui monte une dernière fois, jusqu’à ce que le jus amer fuse et envahisse tout…
Ses propos impudiques et l’action de ses doigts, ont eu raison de mon sexe qui bande à fond dans sa cage et a commencé à couler. Claire exhibe son doigt luisant qui en témoigne avant de me laisser.
- Mais ne rêve pas trop : si c’est ton envie, cela n’est toujours pas la mienne !
dyonisos
-> Les autres petits contes D/S
C'est sans doute que tu connais pas encore ce qu'il s'est passé pour Claire, ni pour Emilie d'ailleurs, qui se fait oublier avec son Hervé (et qui est voulu à ce moment dans l'évolution du récit ). Quant à vouloir priver son petit mari de ses fantasmes, c'est effectivement ce qu'elle a annoncé, mais au même moment elle lui fait une petite cage pour le mettre au chaud, qu'il a l'air de très facilement accepter. Parce qu'elle a toujours fait partie de ses fantasmes ?
Le prochain chapitre devrait t'en apprendre un peu plus...
amitié, dyonisos
amitié Yanode
Bien sûr que c'est louche. D'autant que les Dames se sont manifestement bien amusées !
Et nous avons beaucoup parlé, de nos vies et de nos maris, de choses que nous nous n’étions jamais avoués. C’était comme quand nous étions adolescentes que nous papotions sans cesse et nous câlinions entre. Nous avons naturellement retrouvé ce chemin sur le lit… Tes oreilles ont du siffler comme celles d’Hervé, mais c’est là que nous avons conclu un pacte entre femmes nous jurant solennellement de ne pas autoriser l’autre à reculer.
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amitié yanode