Dyonisos Soumis
28 février
Ecrire pour sa Maîtresse de femme est au début une chose compliquée. Je n’ai pas voulu le faire lors du séjour chez mes parents. Je ne sais pas : cela me parait si inconvenant dans la maison où j’ai grandi, où mes parents m’ont protégé amoureusement. Et en plus avec les enfants à dormir dans la même chambre : pas d’intimité. La gestion de mon sexe encagé dans ce contexte est déjà un petit calvaire.
Le dernier matin avant notre départ, les grands-parents ont emmené les enfants, revoir le parc animalier à proximité. Ils adorent cela et y sont déjà bien allés une demi-douzaine de fois. Moi je le connais par cœur et j’ai été heureux que Claire décide que nous restions pour préparer les valises. Elle a profité de cet uniquement moment d’isolement pour me faire passer le message…
- Je suis déçue, Pierre. Tu ne m’as rien écrit depuis que nous sommes chez tes parents. Je t’avais pourtant demandé de me confier tes pensées et désirs chaque jour…
Sa voix est plus froide que d’habitude et me met en alerte ! J’essaye de me défendre au plus vite…
- Oui j’en suis désolé. Mais ce n’est pas facile avec les enfants dans la chambre et mes parents présents…
- Peut-être, mais tu aurais pu m’envoyer au moins des sms. Pourquoi tu ne l’as pas fait ? Tu n’es plus d’accord pour te confier à moi ?
- Si, mais…
- Mais quoi ?
- J’ai… un peu honte pour le faire ici, chez mes parents… cela me parait inconvenant…
Je n’ai pas cherché à masquer la cause fondamentale de mon trouble.
- Je m’en doutais et je suis heureuse de t’entendre le reconnaître. Tu es encore un jeune chiot à éduquer, mais tu comprends comment cela peut-être vexant pour ta femme qui essaye de faire quelque chose pour ton bonheur, de voir que ta soumission à sa volonté est à temps partiel finalement ?
Claire a un comportement de plus en plus étonnant à mes yeux. C’est une nouvelle femme, beaucoup plus sûre d’elle-même, qui a magiquement intégré tous les ressorts et mécanismes de la relation D/S. Jusqu’à présent, c’était moi qui tirais les relations épicés du couple et voilà que Claire les prend à son compte ! Je n’ai rien vu venir et sa remarque, que je trouve justifiée, me met immédiatement très mal à l’aise.
- Non, j’ai vraiment envie de faire de mon mieux pour que le nouvel équilibre que tu nous proposes marche. Peut-être me suis-je laissé aller… J’aurais pu et dû te laisser au moins des SMS… pour partager mes pensées et réticences.
- Je suis d’accord sur ta faiblesse. Donc, conclusion ?
Où Claire veut-elle en venir ? J’analyse vite. Claire n’est pas contente de mon comportement. Claire a décidé de s’investir loyalement pour que je vive dans notre couple ce que j’ai peut-être recherché toute ma vie : vivre sous autorité. Si je mets dans sa perspective, la conclusion est évidente :
- Je vais être puni pour ma réticence et désobéissance !
- C’est tout à fait mon intention, sauf que tu as fait une erreur sur le temps : tu vas être puni ici et maintenant et non tu seras puni à notre retour à la maison.
Je comprends que je viens de recevoir une des premières leçons de « l’éducation » nécessaire dont Claire m’a parlé l’autre soir. L’intention est diabolique. Il y a tant de souvenirs de mon enfance et adolescence dans cette chambre, qui a été longtemps la « mienne » et le reste un peu. Se faire punir là par sa femme m’apparaît comme définitivement « inconvenant » et donc très fortement humiliant. Je ne peux pas m’empêcher de ressentir l’habituelle double réaction : les joues qui rougissent et mon sexe qui réagit.
Claire me sourit étrangement. Elle sait bien sûr que j’ai compris… Je la vois enlever son pantalon (« Je me méfie des traces que tu pourrais laisser… ») et m’attendre assise au bord du lit, sa brosse à cheveux en main.
Tous ces objets si familiers chavirent autour de moi, alors que je baisse, humilié, mon pantalon et mon caleçon pour prendre ma « fessée » conjugale. Je finis en travers de ses genoux et sa brosse s’abat joyeusement en reproche et en dur rappel à l’ordre, sur les tendres joues de mes fesses.
Je fais partie de ces hommes hypnotisés par le côté obscur du D/S, qui en appelle au châtiment corporel comme le fantasme ultime. Pourtant sous l’impact des coups, c’est très loin du fantasme. Juste la douleur sèche du battoir qui ne vous veut pas du bien. Et la honte et le remord qui l’accompagne en sachant pourquoi je suis puni de cette douleur. C’est très réel et très loin de tout fantasme. Ce n’est même plus sexuel : le zizi se recroqueville dans sa coquille de métal. Les cris et même les pleurs sont réels, perdant toute fierté masculine à les retenir. C’est très primitif et donc très efficace !
J’ai remué en tous sens, battu des jambes, ai essayé de mes mains d’empêcher les coups de continuer : en vain ! Je me suis pris la « fessée » conjugale que je devais me prendre, jusqu’à ce que Maîtresse Claire soit sûre que j’ai retenu la leçon ! Quand elle me libère (pour m’envoyer au coin !) mes fesses sont en souffrance. Claire ne m’a pas épargné, et je dois intégrer, que sa détermination du moment est telle qu’elle n’a aucune réticence à faire vraiment mal à l’homme qu’elle aime. Cette réflexion me rend encore plus mal à l’aise alors que j’attends face au vide du mur.
Je reste peut-être 5 minutes remisé au coin et finalement Maîtresse Claire me libère, pour que je m’aperçoive que mon « éducation » du matin n’est pas finie : je suis extrêmement surpris de la retrouver équiper du gode ceinture. C’est un tel choc ! Je ne savais même pas qu’elle l’avait emporté ! Je n’arrive même plus à contrôler mes propos…
- Non ! Pas cela ! Pas ici !
- Si tu en as besoin, pour intégrer par le fondement que si nous passons au mode D/S, il n’y aura aucun refuge pour toi. Que, si tu veux que je m’investisse à te rendre heureux dans ta nature soumise, cela sera sans aucune restriction ! Cela ne sera plus un jeu sexuel, mais un mode de vie réel ! Penses-y quand tu me rendras ta réponse… Allez hop sur le lit en chienne !
Je me sens ridicule à avoir le pantalon baissé et présenter mon cul au gode de ma femme. Heureusement elle m’a mis une noisette de lubrifiant pour faciliter la prise à venir. La voix de Claire est maintenant plus enjouée à me taquiner…
- Alors mon petit Pierre, raconte- moi tout… Ton lit d’adolescent a connu des chattes de petites copines que tu as pinées derrière le dos de papa et maman ?
Sa voix qui me traite en enfant ou adolescent immature, me fait toujours le même effet de profonde humiliation. Claire le sait et en joue.
- Non, il n’y a eu que vous, Maîtresse. Bien plus tard…
Le Maîtresse m’est venu naturellement comme s’il ne pouvait être autrement.
- Donc il n’y a eu que des branlettes de puceau en manque sur ce lit ?
- Oui, Maîtresse.
- A la bonne heure. Le contraire m’aurait étonné vu comme tu es timide et finalement assez mal équipé… C’est donc le moment de baptiser ce lit, avec une bonne baise avec une grosse queue ! Que tu t’en souviennes tout ta vie, Pierrette, comme elle t’a prise et ramoné en profondeur le petit trou d’amour sur ton lit d’adolescent boutonneux !
Je n’aime pas cette humiliation. Je voudrais être ailleurs. Mais la bite de Claire s’enfonce déjà en force, me viole presque et me ramone. Je deviens une faible lopette que l’on baise en puissance, les yeux perdus dans tant de détails de ma chambre d’adolescent. Claire obtient sans mal que je geigne la pucelle bafouée, sous ses coups de boutoir du gode qu’elle a mis gros aujourd’hui. Il va et vient dans mon cul, et je gémis et râle en cadence au grand bonheur de ma Maîtresse de femme…
Je suis « besogné » longtemps, dans le but de marquer mon esprit. Claire ne semble pas vouloir abandonner, au point même que les grands parents et enfants reviennent et se font entendre en bas ! Je prends peur, veut me dégager mais Claire me maintient empalé.
Les pas enfantins se rapprochent de la chambre. Je panique quand la poignée s’abaisse… mais la porte a été fermée à clé ! Claire en profite pour me la mettre au plus profond à me dilater les entrailles. Je dois retenir mon cri. Le ou les enfants retournent en bas et nous entendons ma mère leur proposer sagement de l’aider à faire le repas. Les enfants répondent avec enthousiasme : ils adorent faire la cuisine avec leur Mamie.
Cela laisse à Claire le temps de me faire savourer mon humiliation par quelques va et vient supplémentaires que j’encaisse les dents serrées pour ne plus faire un bruit. Finalement, elle me libère du gode et se couche à mes côtés gode pointant au ciel.
- Suce, Pierrette !
Je dois boire la lie jusqu’au bout. Je suis coincé dans une boucle de soumission et ne me sent pas la force de désobéir. Je prends d’abord du bout des lèvres la tête du gode, méfiant qu’il ne me déverse pas son jus de couilles. Il a le goût de mon cul, ce qui rend l’acte peu attrayant. Mais Maîtresse Claire veut que je le prenne et le nettoie entièrement en l’avalant au plus profond que je peux. Sa main autoritaire me guide et me l’impose…
Finalement après une douche réparatrice, nous descendons pour le repas qui est prêt. Les enfants jouent innocemment à la console de jeu. Ma mère a un de ces regards plein de sous-entendu qui dit qu’elle sait que nous faisions un câlin au lit. Je n’arrive pas à le supporter et baisse instinctivement les yeux. Le mal que je garde sur et dans mon cul, me rappelle ce qui s’est passé… J’ai si honte !
Au loin, notre garçon interroge malicieusement sa maman : « vous avez fait l’amour dans la chambre. C’est dégueulasse ! ».
- Comment crois-tu que tu es arrivé ? C’est normal et naturel quand on s’aime … Mais cela ne se demande pas, mon loulou…
Normal et naturel de se prendre une fessée par sa femme ? Normal et naturel de se faire baisser le cul au gode ceinture ? La honte se renouvèle. Mais Maîtresse Claire a indéniablement gagné pour cette première leçon donnée, que je ne suis pas prêt d’oublier…
dyonisos-> Les autres petits contes D/S
Cette plongé dans la vie de famille est troublante car effectivement il y a certainement en nous tous des endroits protégés, interdits au vices et aux actes sexuelles très poussés, finalement tu t'en sort merveilleusement bien.
Papa et Maman ont fait l'amour aux yeux de leurs proches, il n'y a pas de mal à cela :-) Si ils savaient que Papa s'était fait défoncer le cul par Maman ça passerais moins bien.
Finalement tu résume un peu ce que chacun d'entre nous est capable de vivre dans l'intimité de son couple, bravo.
Mister.Cocu
Bonsoir
Je me souviens m'être retrouvé en cage la première fois devant mes parents à l'insu de mon plein grè. Je revenais chercher mes jeunes enfants à mi chemin. C'était un jeu entre N. et moi. J'étais en cage. La clé était dans le coffre à code et je ne devrais avoir le code qu'au dernier moment par SMS. Je l'a tené au courant de mon avancée sur la route. Sauf que le SMS avec le code a mis un temps infini à arriver et je me suis retrouvé coincé.
Comment on dit dans ce cas : un grand moment de solitude ! J'étais vraiment mal à l'aise. Mais plusieurs années plus tard, je suis finalement fier de ce moment. C'était peut-être la dernière barrière pour rester en cage en permanence quand j'y suis. Et elle était tombée !
dyonisos
Pas de problème.
C'est tellement bien écrit
Merci de ta fidélité
la il semble bien que notre pierre ce retrouve devant un tabout a abattre ce qu il n aurait pu faire mais la comme cela forcé par sa maitresse et sans a voir le choix c est une toute autre histoire mais j imagine tres bien la géne voir la honte qu'il a du ressentir a ce presenter devant maman .... sa me rapel des vieux tres vieux souvenir ..lol mais qui avec le temps sont devenu de tres bon souvenirs
amitié Yanode
dyonisos