Dyonisos Soumis
21 février
C’est le dimanche matin ensoleillé d’une douce lumière d’hiver. Il fait bon dans la maison mais je tremble quand même légèrement… nu avec mes seules cage et collier, agenouillé devant ma beauté de femme envoutante pour tout cœur de mari soumis. Je n’aime pas ce terme, mais je me dois de reconnaître que c’est ce que je deviens au fil des semaines depuis ma mise sous clé. Et finalement j’aime bien l’excitation permanente que cela me procure…
Le matin a commencé par une terrible étreinte de ma langue, de mes lèvres sur son sexe humide d’excitation, à notre réveil. C’est, je crois, le cunnilingus le plus amoureux et abouti, que je ne lui ai jamais offert. J’ai surmonté les vagues de son corps accompagnant la montée du plaisir, pour lui offrir le magnifique orgasme qu’elle mérite définitivement ! C’est aussi un effet de la cage finalement, de prendre plus de plaisir à en offrir qu’à en prendre soi-même…
Dans 2 heures, mes beaux-parents ramènent nos chères têtes blondes, qu’ils ont emmenées au zoo hier comme ils leur avaient promis. Dans 2 heures, je redeviendrai un père et un homme banal d’apparence, sauf un petit détail caché sous le pantalon…
Mais pour l’instant, je suis encore le soumis sous contrôle permanent de ma Maîtresse de femme, forcé à s’adapter au désir de sa Dominante, et contraint. Claire ne me prend pas en traitre : je sais ce qu’elle désire… Elle me l’a dit hier soir lors de l’impromptu repas en amoureux au restaurant dont elle m’a fait la surprise.
- Demain matin sera le Grand Jour, mon Amour : je te ferais perdre définitivement ton pucelage de bouche ! J’espère que tu te comporteras en homme courageux dont je pourrai être fier !
Pas besoin de me faire un dessin. Je sais quel type de pucelage, Claire a décidé de m’enlever. Je vais la laisser le faire, pour la « récompenser » aussi quelque part de l’énergie qu’elle me consacre. Et sans doute aussi par curiosité malsaine, pour savoir enfin ce que cela fait de recevoir dans sa bouche et de boire à la source l’humiliation qui ne peut qu’aller avec. Mais cela m’inquiète… Je crains ne pas être à la hauteur.
Je découvre que Maîtresse Claire tient aux symboles. Elle est habillée d'un bustier brodé très vintage, d’une robe portefeuille noire dévoilant une magnifique lingerie à porte-jarretelle ; je suis nu. Elle est assise en majesté dans « mon » fauteuil de cuir ; je suis agenouillé à ses pieds. Elle porte sa plus belle paire de talons de cérémonie ; je suis comme tous ces jours-ci pieds nus. Et mes mains sont entravées dans mon dos par une paire de menottes. Oui, Claire croit aux symboles de l’homme nu et vulnérable au pied de la belle Maîtresse qui va lui violer sa petite bouche.
- Bon à nous, mon petit Pierre…
Sur une table guéridon à portée de sa main, m’attendent le gode noir et sa télécommande que je regarde aujourd’hui avec un peu avec inquiétude. Il est accompagné du harnais équipé d’un petit gode interne et il y aussi son téléphone et un écrin à bijou recouvert de cuir noir. Elle l’attrape…
- Un écrin à bijou pour abriter les perles de tes bijoux de famille…
Je suis loin d’être autant enthousiaste que Julia Roberts dans Pretty Woman, quand je découvre le contenu de l’écrin : 3 petits sacs remplis de leurs paillettes encore congelées, avec leur étiquette de numéro de « cru ». Ils m’impressionnent…
- Tout… tout ça ?
- Tu ne voudrais quand même pas être avare avec toi-même ? Non ? Bon alors qu’avons-nous ? N°23 : notre dernier anniversaire de mariage – magnifique levrette que tu m’as offerte – et je vois que tu as été bien généreux…
Le sac est défait avec précaution et le glaçon de sperme est inséré dans un conduit à l’arrière du testicule factice de gauche. Le réservoir à sperme dans les couilles, cela ne pouvait être symboliquement que cela…
- Il finira d’y être décongelé avant d’être expulsé en pression au moment où… il le devra. N°6 : la sodomie que je t’ai offerte pour ton anniversaire. Tu avais bien aimé partir dans mon cul à ce que je me rappelle. Peut-être cela lui a donné un petit goût épicé… Tu verras bien…
Le glaçon va rejoindre l’autre dans le gode. Je ne suis plus du tout sûr de vouloir accepter cela… Même si c’est mon sperme, cela reste un peu répugnant … Je fais la moue que ne rate pas Claire. C’est comme si elle l’attendait même…
- Cela n’est pas si facile de se contraindre à recevoir son sperme dans sa bouche ?
- Euh… non… pas facile.
Je me méfie car cette conversation peut vite dériver…
- Pourtant tu me le demandes tout le temps… combien de fois ai-je accepté de t’accueillir dans ma bouche ?
Question piège !
- Tu devrais le savoir, vu combien chacune des 5 fois m’ont coûtée. Et encore plus, celle où je suis allé plus loin par curiosité amoureuse et je t’ai avalé… et encore j’étais libre… mais là toi tu es aux ordres… et crois-moi tu n’as pas le choix… de force ou de gré, tu m’accueilleras dans ta bouche… je préfèrerais de gré pour cette nouvelle humiliation très pédagogique… j’en suis déjà toute mouillée… et donc le n°29, le dernier sperme que tu as giclé avant de te retrouver en cage… tu sais maintenant pourquoi j’ai tenu absolument à te branler dans une capote !
Je me souviens. Et comprends le machiavélisme de cette dernière éjaculation. Cela a commencé par une baise classique donc avec capote – Claire ne pouvant prendre la pilule – avant qu’elle décrète que cela ne lui faisait rien ce soir-là. Elle m’a terminé en me branlant dans le préservatif…
- Je vais t’aider… pour te faciliter…
La jupe portefeuille s’écarte pour laisser le passage au gode noir à couilles. Je le vois avec envie s’insinuer et s’enfoncer là où je n’en ai plus le droit. Plusieurs fois. De plus en plus luisant à chaque descente. Je pince les lèvres d’envie. Depuis quelques jours, quelque chose change en moi. Je ne suis plus aussi serein de la bite et un languissant besoin de partir, de faire baisser la pression, monte de plus en plus. Ce gode qui rentre et sort de sa chatte baveuse d’excitation est une petite torture, surtout que j’ai droit aux gémissements sans gêne de ma femme sur les bienfaits d’un gros machin en elle. Mon zizi proteste en bavant, me rendant aussi humide que le sexe de Claire…
Heureusement mon tourment sexuel prend fin au bout de quelques minutes. Le gode est retiré trainant derrière lui un filet de mouille. Claire se contorsionne pour passer le harnais, le petite gode bien au chaud dans sa vulve, avant de remettre sagement en place les pans de sa jupe. Le gode noir menace maintenant mes lèvres qui en tremblent un peu…
- Pour tout te dire, j’ai mis un gode vibrant dans ma chatte, synchronisé sur les efforts que tu feras sur le gode devant, qu’analyse cette petite merveille de technologie. Alors ne t’épargne aucun effort. Si je ne jouis pas, si tu refuses d’accueillir en bouche mon plaisir et d’avaler en petit mari obéissant, la sanction sera lourde : 2 mois de cage supplémentaires que je t’imposerai quelle que soit la décision d’Emilie à ton sujet. Tu as compris ?
- Oui, Maîtresse !
J’ai compris que je suis bel et bien coincé et que je n’aurai d’autre choix que de lui donner satisfaction et de recycler en bouche mon sperme. Mais de toute façon, j’ai déjà décidé de le faire. Etrangement Claire envoie un SMS à ce moment-là…
Je me penche avec courage vers son sexe dressé. Je le prends timidement dans ma bouche. Le contact est un peu artificiel, un peu froid mais il a l’odeur intime de Claire. Cela m’aide à basculer, à me dire que ce n’est plus un gode factice mais le pénis de ma Maîtresse... qu’il me faut honorer avec dévotion. Un coup d’œil vers Claire m’indique qu’elle me regarde et que pour l’instant, elle me laisse procéder. C’est finalement beaucoup moins facile que de se le faire enfoncer en force.
Je happe timidement le gland, enroule mes lèvres autour, comme j’aime qu’elle me le fasse. Je le couvre de ma langue et de salive. Je ne sais pas quelle taille elle a choisie mais il me parait si gros aujourd’hui. Je doute de pouvoir arriver à l’avaler dans sa totalité… Mon trouble doit être visible. Claire vient m’encourager de sa main, à accepter « son » phallus plus profondément.
J’enfonce la hampe aussi loin que je peux, la mâchoire écartelée par ce beau morceau. Cela me demande un effort de respiration par le nez, très inhabituel. Mais le jus de Claire contre ma langue, contre mon palais est une merveille d’encouragement. Le gland butte contre mon palais. Cela me semble suffisant, mais pas pour Claire. Elle m’incite de sa main à le prendre encore plus profond alors que sa bite envahit déjà complètement ma bouche distendue.
Je m’enhardis à ouvrir encore plus grand la bouche et d’avaler de toutes mes forces la colonne noire, jusqu’à – à ma grande surprise – parvenir au bout, le nez contre le pubis odorant de Claire qui est une telle récompense. J’évacue rapidement un début de nausée contre ma glotte, en me retirant doucement, à presque ressortir. Puis je repars à l’assaut des profondeurs très fier de moi… Je suis récompensé d’un premier geignement de ma belle Maîtresse.
Je fais cela quelques fois, en me rythmant sur ses gémissements. J’ai trouvé le bon rythme. Claire relâche sa main et me laisse faire à descendre et remonter le long de hampe. Elle se laisse aller aux vibrations que mes succès lui procurent.
C’est à ce moment que son téléphone beuze sur vibrateur. Claire m’arrête à moitié empalé sur la bite et décroche.
- Oui bonjour ma mimi… oui c’est parti chez nous… et c’est très bon… il est divinement doué comme suceur de queue… un vrai petit PD. et chez vous ? Ok… il est à 4 pattes sur la table du salon… et tu es prête à le traire… attend je lui explique ce qu’il va se passer…
Ce qu’elle fait. Hervé a été gardé sous clé depuis notre retour du ski pour son « dressage ». Comme Emilie est satisfaite de ses progrès, elle lui accorde au bout de 8 jours d’enfermement une traite intermédiaire. Le veinard ! Mais je ne comprends pas en quoi cela me concerne…
- Oh tout simplement parce que c’est son éjaculation a lui qui déterminera mon éjaculation dans ta bouche, via le téléphone d’Emilie, relié au mien et par Bluetooth à la télécommande du gode !
Comment des humaines peuvent inventer de tels mécanismes. L’humiliation de l’un déterminée par le plaisir d’un autre… Je me rembrunis un peu.
Claire m’a remis au rythme de suçage de sa main. J’ai perdu ce plaisir à sucer « son » pénis, qui redevient un ridicule phallus de plastique qui m’écarte la mâchoire. Et en plus soumis à la roulette russe ! Je ne sais pas si je vais tout prendre à ce mouvement ou à l’autre. Heureusement que cela procure du plaisir à Claire car sinon cela serait totalement ridicule...
Hervé à l’autre bout, tient étrangement bien et à ce jeu, c’est Claire qui va jouir la première entre les massages que je lui procure et l’écoute attentive du plaisir monter chez notre copain. Sa main se fait plus câline d’encouragement et me redonne un peu de confiance. D’ailleurs c’est le seul but utile : la faire jouir, en pompant à fond le manche de plastique. Je l’entends se troubler et bientôt gémir son plaisir. Hervé joint en concert dans le téléphone de ses râles. J’aime moins : on dirait un pourceau. Claire y est presque, quelques pompages encore et je vais arriver à la faire exploser… j’entends Hervé crier son plaisir montant… je la sens se crisper… sa main me scelle les lèvres contre son pubis… et elle explose de plaisir au moment même où Hervé jouit en bruits et que la soupape du gode noire se libère…
J’ai senti la pression dans le gode qui a augmenté légèrement. Il a aussi grossi en diamètre, mais le temps de comprendre ce que cela annonçait, le flot de sperme – mon sperme – en pression me surprend à s’insinuer contre ma langue, mon palais, le fond de ma gorge… Il y a tellement qu’il s’échappe et coule le long de mon menton.
J’essaye de déglutir mais n’y arrive pas la bouche pleine. Je ne veux pas décevoir Claire… Je me recule un instant pour avaler un bon coup avant de venir aspirer les dernières gouttes restées au bout du gode. Je suis fier d’avoir surmonté cette épreuve ! Le goût dans ma bouche est celui du sperme – je ne suis pas aussi introverti que cela, même si j’en suis pas fan – mais avec quelque chose de plus faisandé que mon sperme frais. Le plus désagréable est cette sensation pâteuse, collante qui me tapisse l’intérieur de la bouche, mais finalement pas si insurmontable que cela… Mais c’est de moi, de ma production. Qu’en sera-t-il le jour que je crois possible où cela sera celui d’un autre ? Sera-ce-t-il aussi facilement acceptable ?
En tout cas, Claire est radieuse : j’ai obéi ; je ne suis pas défilé. Elle vient soigneusement racler sur mon visage les filets de sperme échappés qu’elle me donne à sucer sur son doigt, avant de m’embrasser goulûment et de partager avec le moi le reste de son éjaculation. C’est primitif et cela devrait être apaisant d’être en contact, comme un gros câlin. Mais non : je n’ai pas aimé me faire voler ma pipe par un stupide mécanisme D/S et je boude !
dyonisos-> Les autres petits contes D/S
N'est-ce pas plus inconvenant ainsi ?
dyonisos
Merci.
Après vous, mon cher...
Une nouvelle évolution de la perversion sur ce pauvre Pierre.
La pipe au sperme réchauffé, fallait osé :-)
A+