Dyonisos Soumis
Jusqu’à présent
le temps était au vanille à la maison depuis plusieurs mois, ou plutôt au couple trop occupé par le reste de la vie en dehors du sexe. J’avais bien reçu une carte de ma Dame, fin janvier, pour
mes 45 ans qui me promettait 45 coups de fouets, 45 coups de cannes, 45 jours de cage, 45 jours de chasteté, au choix ou le tout ensemble qui m’avait donné quelques frissons, mais rien n’a suivi
ensuite, jusqu’à la semaine dernière, où j’ai posé une récup alors que ma femme était à la maison.
La journée a
superbement commencé, puisque j’ai pu dormir tout mon sou pendant que ma femme gérait tout que les enfants prenaient leurs cars pour l’école. Mon café chaud m’attendait même à mon réveil… le rêve
du pacha en récup. Il n’y avait que cette petite ombre au tableau….
- Bon je m’en
vais mon chéri. Je dois passer au laboratoire et à la banque. Mais garde un œil sur Couple sur ton téléphone…
Couple est une
espèce de facebook pour deux, à code PIN, qui permet d’échanger sans que les enfants puissent tomber dessus par « hasard ». C’est chez nous réservé aux échanges sexuels et donc assez
hard.
Je suis allez
prendre ma douche pour passer à la poste. Les messages sont arrivés pendant que j’y étais et je les ai découverts à l’envers. Des corvées à faire avant son retour, mais surtout le premier message
que j’ai découvert à la fin :
"Tu ouvres la
caisse noire dans la véranda. Tu mets tout ce que tu y trouves"
Dans ma tête ma
Dame m’avait préparé le costume habituel de servante à Madame. J’ai eu aucun mal à trouver la caisse de plastique noire, que j’ai ouverte juste avant de partir à la poste. La grande caisse était
quasi vide à l’exception de ce que j’ai pris d’abord pour une ceinture neuve pour enfant. Il y avait encore l’attache pour les rayons dessus.
Déboussolé, je
n’ai rien compris de ce que je devais en faire. Je n’ai pas regardé plus en avant, pressé de passer à la poste pour en être débarrassé…
Ce n’est que
sur le chemin en voiture que j’ai compris. Je ne suis pas habituellement impressionnable, mais j’ai du devenir pivoine dans la voiture . Et j’ai même failli
partir au fossé. Ce que je croyais être une bizarre ceinture pour enfant devait être un collier pour petit mari ! Ma Dame me voulait habillé que d’ un unique collier ! De quoi me faire
définitivement rougir tout en m’excitant follement…
J’ai un peu
tergiversé à mon retour à obéir à son envie. Le moment où je dois me déshabiller totalement me fait toujours basculer dans les méandres de mon esprit tortueux. Le collier était le collier d’une
chienne noire, avec des strass paillettes. Mon collier de mes 45 ans comme elle dira plus tard, acheté depuis plusieurs semaines.
Je me suis
attelé à batailler à étendre d’une lessive de chaussettes et slips et culottes d’enfants. Celle qui prend 3 fois plus de temps que les lessives de chemises et qui fait vite suer un soumis. Je
crois que c’était fait exprès, mais il parait que non…
J’étais en
pause dans les toilettes pour une occupation « lourde » matinale quand Madame est rentrée. Bien sûr, elle m’a cherché et appelé. J’ai répondu d’une petite voix que j’étais aux
toilettes.
J'ai hésité à
sortir. Quand je suis sorti, j’ai eu droit à l’habituelle prise de pouvoir de ma Dame faite de gifles à vous faire baiser les yeux. Suivi d’instructions très précises de ce qu’elle voulait voir
ou ne pas voir disposé sur le lit de la chambre d’amis. En particulier, elle voulait que je passe immédiatement mes couilles dans l’anneau, mais surtout pas la cage…
J’ai décidé de
rester silencieux sur le reste, sur nos relations au « vif du sujet ». Cependant il y a certaines choses qui méritent d’être partagées :j’ai reçu, s sur mes fesses et mon dos, 45 coup de divers
instruments que j’ai pris pour l’échauffement avant le fouet ou la canne craints. Madame m’a demandé si je voulais qu’elle continue. J’ai répondu oui, vu qu’il n’y avait pas d’autre réponse
possible et que je suis fidèle à mes fantasmes. Mais le fouet et la canne ne sont pas arrivés. A la place ma Dame m’a pénétré l’urètre des tiges qu’elle adore .C’est un des plaisirs, limite
douleur, qu’elle adore me faire. La boule qui monte et descend dans le conduit, est comme une éjaculation figée. L’esprit et le corps reconnaissent la sensation mais ne comprennent pas pourquoi
elle ne’aboutit jamais. J’étais sur les charbons ardents, avide de d’enfin partir. Souvent je pars de sa main à me branler le long de la tige qui pénètre mon sexe. Mais pas cette fois. Je l’ai
regardée un peu frustré m’enfermer sous clé, pour une durée que j’ignore…