Dyonisos Soumis
Je suis ravi de l'incompréhension de N. ("tu es aussi souple qu'une planche à repasser, alors c'est pas possible...").
Moi je profite de ma liberté pour aller pisser en homme libre dans l'herbe. Je me sers habilement de mes mains menottées un digestif de récompense. Je suis aux anges... Madame finit par revenir aux affaires...
- Oui j'ai enfin compris, tu as fait glisser la barre...
Je crois surtout qu'elle a vu...
Mais le bonheur a une fin : Maîtresse décide de reprendre la main. Me voilà ramené de force à l'interieur...
- C'est que je n'en pas fini avec toi...nous avions dis 17 coups plus 10 que tu as gagné pour t'être TOUCHER SANS PERMISSION ! Soit un total de 27 !
Je me sens si penaud maintenant. Heureusement elle ne rajoute rien pour mon escapade... Je me dis que cela va être le fouet, cela ne peut être que le fouet, le seul "instrument" apte à me faire rendre rapidement raison... cela va être dur à vivre...
Mais encore une fois, Maîtresse N. me surprend totalement.
- Je sais comment il faut traiter les petits garçons comme toi : tu vas venir sur mes genoux te prendre une bonne fessée !
Je la regarde incrédule. Mais elle tout à fait sérieuse. Elle a pris un paddle et déjà elle s'assoit dans MON fauteuil... Comment elle pourrait supporter le poids d'un éléphant ?
- Allez hop, en place !
J'hésite mais j'obéis. Je place mon poids au maximum sur les accoudoirs et mes fesses à sa hauteur. La position est accrobatique mais plus que tout, elle est très humiliante : être puni de cette manière à mon âge !
Sa bras m'entoure le haut du corps d'un geste dominant. Le paddle en cuir décuple la force de sa main, sans atteindre des sommets mais suffisamment que je ressente bien chaque coup et que cela me fasse bouger du popotin. Maîtresse compte les 27 coups un à un, qui rebondissent dans mon esprit comme autant d'humiliations.
Finalement elle me rejette, me fait remercier sa main avant de m'envoyer entre ses cuisses éteindre l'humidité née. Maîtresse est fatiguée. Elle n'arrive pas à partir. Je le suis aussi.
Et pourtant Maîtresse n'abandonne pas... en me servant un "final" apte à terrifier tout mari soumis, même par jeu.
- Je ne sais pas comment je vais te gèrer... Je pourrais te mettre dans ta grenouillère et te faire coucher dans MON lit. Mais je ne sais pas si tu le mérites... ou même si j'en ai envie... Au moins je pourrais contrôler que tu ne fasses pas des choses interdites derrière mon dos.
Aie !
- J'ai pensé à t'envoyer dormir sous l'escalier.
Dans le réduit sous l'escalier ?!?
- Mais comment pourrais-je y dormir ? C'est trop petit !
- En chien de fusil évidemment !
Dans le froid toute une nuit ? Mais le pire, c'est que Maîtresse a l'air toute à fait sérieuse. Elle l'envisage vraiment !
- Mais je crains que tu ne sois pas assez perséverant ou obéissant et que je retrouve le matin à dormir sur le canapé. Et va-t-en savoir si tu n'auras pas fait des cochonneries au coeur de la nuit !
C'est plus que probable (pour le canapé). Le reste je ne sais pas...
- Alors il ne me reste qu'une solution : te renvoyer dans ton couloir favori, cette fois en passant la chaîne directement dans l'anneau de la barre et bien sûr en te menottant les mains de telle façon que tu ne puisses pas te toucher !
Maîtresse jubile ! Pour moi, c'est : Alerte Rouge !! Il faut que trouve vite une contreproposition pour sortir de ce mauvais pas !
- Et si... et si je donnais à la place une garantie ? Celle que je pourrais pas me masturber en portant ma cage ?
- Ah oui ? Je n'y avais pas pensé à celle-là... humm... pourquoi pas ?
Je cours chercher ma cage et l'enfile avant de me présenter devant ma Maîtresse... Mais j'ai comme un doute...
- Et si vous m'envoyez quand même passez la nuit dans le couloir ?
- C'est effectivement un risque...
Aie !
- Autre point : je ne suis pas du tout à porter la cage en ce moment. Vous n'allez pas m'y maintenir des semaines ? J'en ai pas vraiment envie...
- Ce n'est pas ton envie qui compte mais celle de ta Maîtresse. Allez assez parlé...
Et elle m'enferme le zizi dans la cage. Je la vois avec inquiétude rajouter la clé au trousseau de ses autres possessions, ce qu'elle fait quand elle veut me laisser enfermer des semaines... Le trousseau disparait au fond de sa poche. Je crains à cet instant mettre fait avoir sur toute la ligne.
- Allez au lit maintenant le dyonisos...
Elle laisse sa phrase en suspend un moment d'angoisse pour moi...
-... dans notre lit !
Ouf ! Maîtresse je vous adore !
- Je finis mon épisode et je te rejoins.
La nuit n'est pas facile en cage surtout à cause de coupures sans doute faîtes lors du rasage d'il y a quelques jours. Les érections aussi qui me font lever tôt. Oh que la vie d'encagé n'est pas facile...
Sauf que... sur la table du salon, la fameux trousseau a été laissé à mon intention ! Avec la clé !
Que grace soit rendu à ma N. !
dyonisos
Oh je pense que nous serions pas en fusion sur ces aspects de la séxualité, tu n'aurais rien lu... C'est parce que je lui fais confiance, et parce qu'elle me fait confiance, parce que nous aimons finalement ces choses décalées et que nous aimons profondémment que tu/vous avez le plaisir de lire nos aventures, sans garantie que cela dure... (pour votre lecture)
Côté D/S, Maîtresse N. est une Maîtresse maintenant très expérimentée. Ce n'est pas tous les jours, ou tout le temps. Nous sommes ensemble pour bien d'autres raisons que la D/S. Mais quand nos humeurs, disponibilité et envies ont là, nous en profitons à fond. Et avec un plaisir partagé...
C'est simple : elle m'aime malgré tout et je l'aime malgré tout !
Amitié, dyonisos
Pas de quoi !
Merci.
Merci cacao.
Mais il ne faut pas confondre notre vie côté épicé du couple que nous n'avons jamais eu l'intention de cesser et le blog. Seule la publicité sur le blog est en question chez nous...
dyonisos
amitié Yanode
C'était oui une délicieuse journée hors du monde entre ma Maîtresse de femme et son dyonisos. Et cela fait du bien de temps en temps de s'échapper.
amitié, dyonisos
Bisou sur ton gland, l'ami.
Oh il faut bien s'amuser un peu et prendre des risques. Parfois sans conséquence comme cette fois ci, d'autres fois je ne m'en sors pas aussi bien.
Bisous, dyonisos
C'était très chaud et aucun regret :
Elle s'est formée toute seule bien sûr ! Et maintenant Dyonisos est à la fête !