Dyonisos Soumis
Le surlendemain de cette fameuse journée de recadrage, quand je rentre à la maison, je suis suspris d'y trouver déjà la voiture de ma Dame. Mais point de N. dans la maison jusqu'à qu'une déesse apparaisse comme par magie, effrontement nue sous un déshabillé poupre transparent, à réveiller les envies d'un dyonisos.
Cette déesse tient mon collier entre ses mains et je sais donc que je vais avoir affaire à une version inédite de Maîtresse N. qui déja m'ordonne d'enlever ma chemise pour poser le collier. Les chaussures suivent aussîtôt et elle fait tomber elle-même mon pantalon. Je ne garde que mon caleçon. Pour combien de temps ?
- A quatre pattes, dyonisos ! Direction la chambre d'ami.
Il y a un décalage à revenir homme quasi libre du travail et passer immédiatement petit mari soumis. Le sol me parait si dur aujourd'hui et j'ai beaucoup de mal à avancer.
Arrivé dans la chambre d'ami, je découvre que le ratelier est bien fourni et qu'une petite table a été installée dans le coin "à mon attention". Mais je n'ai pas le temps d'y penser trop car déjà je suis mis au travail, à rendre immédiatement l'hommage que l'excitation de la préparation semble avoir d'urgence nécessiter.
Une première fois de ma langue profondémment enfouie de sa main qui me plaque contre son entrejambe et me cravache deses talons dans mes flans pour me motiver. Aie ! Et une seconde fois aidé d'un rosebud dans sa vulve. "Puisque tu es incapable de trouver MON rabbit. D'ailleurs tu m'en racheteras un : c'est un ordre de ta Maîtresse ! Assure-toi que tu m'excites suffisamment car après tu te le prendras immédiatement dans le cul sans aucun lubirifiant autre que celui que t'aura offert ta Maîtressse ! Alors si tu n'es pas assez convainquant, je te le mettrai à sec ! "
Aie ! C'est du vrai terrorisme psychologique cela et le doute me prend. Je travaille intensément à faire mouiller ma Maîtresse en lui donnant du plaisir tout en craignant que cela ne soit pas assez pour me perforer sans douleur. Une nouvelle jouissance pour ma Reine et me voilà déjà à lui tendre mes fesses : le rosebud rentre sans difficulté, heureusement.
Ainsi équipé et pris, Maîtresse m'ordonne alors de me retourner et d'attendre debout au pied du lit. Mes yeux sont empêchés d'un foulard noir avec son parfum. Je ne vois plus rien, mais sens beaucoup. Ses mains qui m'excitent le sexe, massent les couilles un temps. Puis ces tiges qui me penètrent, loin si loin, et me font tellement mouiller. L'impression d'une montée de sperme infinie figée. Une crainte et un délice. Maîtresse est enjouée et joue de mes réactions et de mon pénis qui ne bande pas mais coule et coule.
- L'oiseau est tout petit comme s'il a déviné qu'il va retourner dans sa cage...
Je suis surpris et grimace. Maîtresse N. laisse le temps à cette perspective de réencagement me travailler l'esprit. Les 2 derniers m'on laissé une vilaine blessure et je crains maintenant mon retour. Pendant ce temps du "gros" est sorti et me pénètre lui aussi sous la détermination sans faille de ma Dame. Je suis travaillé du sexe longtemps, puis finalement je suis désempalé.
- Branle-toi !
Je ne suis pas surpris par cet ordre. C'est même logique : Maîtresse me vide avant de m'enfermer. Toujours dans le noir je commence à me secouer la nouille mollement.
- Plus vite !
J'obéis mais je crains que cela soit ma dernière jouissance avant bien longtemps. Il m'est de plus très stabilisant de se masturber dans le noir sans savoir où cela va partir.
- Plus vite ! Je veux te voir cracher !
J'astique d'autant plus fort. N. ne dit rien : il n'y a juste que mes hâlètements naissants dans la pièce et dans un dernier, je me répands avec fort plaisir vocalisé. Déjà j'ai l'esprit tout penaud. Mon zizi se recroquille et devient si flasque. Il se rend prêt à être imprisonné. Maîtresse laisse le silence s'installer. Je ne sais que faire...
- Tu vois que c'est bien mieux quand tu te masturbes pour ta Maîtresse. A genoux maintenant et lèche ton sale sperme : tu m'en as mis partout !
J'ai toujours la vue empêchée et me faut chercher à tâton de ma "seule langue". Je trouve et je lèche : c'est amer et déjà froid, mais cela ne me rébute pas. D'une main ferme sur ma tête, Maîtresse N. me pousse à finir le travail sans son entrejambe pour le plaisir et les hormones.
- Debout maintenant !
Aie ! C'est le moment de mon encagement. Et non ! A ma grande surprise
Maîtresse m'enlève le bandeau et me tire par le collier dans la douche. Je suis installé assis sur les talons dans un coin. Maîtresse N. s'accroupit au dessus de mon sexe et me marque de son urine chaude : c'est très primal et très dominant. Je me sens d'autant plus soumis.
Après, N. surveille non que je me rince, mais que je me lave entièrement pour enlever ma "puanteur". Je me sèche et retour dans la chambre avec un début d'érection. Le moment est passé : la pose de la cage ne va pas être facile.
- Mains à plat sur la commode !
J'ai juste le temps d'obéir que le premier coup de fouet arrive sur mon flan gauche, violent, extrêment douloureux. Je hurle, quitte ma position et fait 3 fois le tour de la pièce en criant ma douleur. Le fouet m'est intolérable aujourd'hui. Maîtresse attend avant de me remettre en place. Je crains la suite si elle est à ce niveau. De toute façon, Maîtresse a gagné : j'ai le zizi tout rikiki de peur. Mais la suite est plus légère et semble plus viser à bien me chauffer le bas des fesses. Le fouet a été abandonné : merci Maîtresse !
- Allez en place...
Elle me désigne la petite table et la petite chaise d'écolier.
- Ouvre ton cahier de lignes et tu me copies 200 fois "je n'ai pas le droit de me masturber" en 4 couleurs et... après tu m'inviteras au restaurant.
Point de zizi enfermé à la fin de cette journée ("encore trop tôt") mais ma chaîne de cheville est remise en place comme mise en garde.
Nous partons finalement au restaurant... le même que pour me première cage.
dyonisos
Du haut niveau d'une Maîtresse en pleine forme dominante ! Son unique (heureusement) coup de fouet était terrible... Et j'ai adoré et frémis quand elle m'a emmené dans le même restaurant où nous étions allé après sa première période de mise sous cage de 15 jours, il y a quelques années. C'était un antique CB2000 qui faisait mal à porter et n'était vraiment pas discrète. Mais comme la blessure était encore jeune, j'ai eu quelques répits supplémentaires...
Bisous, dyonisos
Contradiction ou perversion ???
C'est un dilemme moral entre d'une part l'engagement de ne pas me masturber même sous sa supervision que j'ai signé, et son ordre explicite et répété de le faire là maintenant. J'ai cru à un piège alors j'ai hésité, mais Maîtresse N. voulait me voir cracher du poireau, tout en m'interdisant de le faire. Cela démontre qu'il n'y a qu'une loi sur l'instant : celle de Madame !
amitié, dyonisos
lol a moins que tu veuilles du rab ce que Maitresse N ce ferra un plaisir de te resservir mais pour quoi travailles tu dans le noir volets baisé oups baissé ?
a quel point fut il dur de redevenir le soumis car apres une premiere journée riche en jeux remettre une dose le lendemain ne du pas etre simple dans la tète , heureusement que tu as ete queuilli a froid autrement pas sur que tu aurais consenti , toujours est il que voila un moment que vous n etes pas pret d oublier .
amitié Yanode
En fait c'est un peu compliqué que cela. D'abord ce n'est pas le lendemain, mais sur le lendemain comme je l'ai écrit. J'étais mort le lendemain de ma journée de l'aube au crépuscule, incapable de supporter de nouveau. Et puis c'était la dernière chance avant le retour des pages de pouvoir dominer et se soumettre en paix, alors nous avions parlé pour en profiter, sur le scénario du mari surpris à son retour du travail. Par contre, j'ai été sur le cul du déroulement de ce qu'avait prévu Maîtresse N. A part les lignes (200 lignes ! grrr ) tout le reste, je l'ai vécu de pleine face (j'y j'ose dire vu l'humidité) en en live. La tenue affolement aguichante de Madame, le dur sol sur lequel il faut avancer, l'humidité de l'antre, le rosebud que j'ai crains prendre à sec, son nectar, son terrible coup de fouet, sa branletteinterdite/autorisée dans le noir, sa pénétration d'urêtre de 9mm (une première), tout m'a débousoolé et envoyé dans mon espace de soumission. C'est un peu notre entredeux actuel, j'en sais une partie et j'en ignore beaucoup au grand plaisir de Madame qui en joue au plaisir de sa chatte...
amitié, dyonisos
PS : et si le volet était fermé, c'est qu'il y a des fenêtres hautes et discrètes de l'autre côté. L'architecte avait sans doute du avoir fumé quand elle nous a proposé tant de surface vitrée inutile.
amitié Yanode
Vous avez 100% raison cher Freud.
Doux bisous sur ton p'tit cul meurtri, mon pauvre chéri.