Dyonisos Soumis
C'est cela d'être trop curieux : on sait à l'avance à quelle sauce aigre on va être mangé...
Bon d'abord il faut tout préparer et prendre ce foutu rosebud. En plus pas possible de le trouver. Juste l'autre plus petit qui prend moins le cul, mais à une couronne de fleur de métal qui rentre dans les chairs du sillon et fait douiller. Non il fallait que je trouve l'autre aux bords plus arrondis.
Entre temps, j'apprends que mes slips sont supprimés et que je n'ai droit en tout et pour tout qu'à un string à dentelle qui rentre dans le cul ("comme cela il maintiendra ton plug en place") comme unique sous-vêtement pour 3 jours (!). Le seul point positif, est que je dois prendre l'avion, donc plus de cage. J'en profite pour refaire un coup de propre sous la douche avec le rasoir rose...
En fait là où Maîtresse se trompe c'est que ce n'est pas une formation mais un séminaire, assez classe dans un 4 étoiles déserté en ces temps hirvernaux par les touristes et le premier diner commence par un cocktail dans le lobby. En tout cas, ce que je suis quasiment sûr, c'est que sur la centaine de personnes invitées, je dois être le seul dans ma (très grande) chambre à me tâter (au sens figuré bien sûr), si j'obéis ou pas et m'enfile le rosebud.
Finalement je me décide à obéir. Un peu de crème et pan dans la lune sans trop de dégats. Le plug est neutre au départ, bien que froid. Me mettre en string de dentelle m'amuse et m'excite. J'envoie la photo à Maîtresse qui apprécie...
Bon je suis prêt, le cul pris et je quitte le refuge de la chambre pour prendre l'ascenseur. J'ai une conscience aigüe de la boule de métal dans mon rectum, ni agréable, ni désagréable. J'arrive dans le lobby : il est plein de monde. Et en plus j'en connais pas mal qui viennent discuter en ignorant totalement que j'ai le cul pris au même moment sur l'ordre de Maîtresse N.
J'essaye de me détendre et de m'intéresser aux conversations. Mais ce que je ressens, c'est un machin qui me travaille le cul de plus en plus difficilemet au fil des minutes. Impossible de me détacher de ce rosebud. Je le sens de plus en plus à vif, qui me travaille le tréfond, tandis que l'on me parle naturellement. Mais moi je ne suis pas naturel : j'ai le cul pris sous ordre de Madame. Je commence à suer, mal à l'aise...
Une demi-heure déjà. Il est l'heure de passer à table et pour moi d'être courageux ou non. Une fois à table... J'ai été couard et je me suis éclipsé pour me dépénétrer le cul, honteux de ma non résistance et de mon échec. C'est vrai que dans ces conditions, c'est plus difficile que face à des parfaits inconnus. Mais totalement piteux, le dyonisos, sur l'affaire !
Donc j'ai désobéi.
dyonisos
Bonheur d'après, car sur le moment, je crains que cela ne soit pas si facile que cela. D'autant à l'entendre Maîtresse N. a l'air en pleine forme.
dyonisos
une si petite chose qui empéche de ce consentrer incroyable non ... et cette impression d'etre la tout en étant ailleurs dans un autre monde.... y a pas a dire la soumission fait vivre de drole de chose
amitié Yanode
Oui le décalage était grand entre l'ambiance ou j'étais et ma propre ambiance très coincée. C'est là où la notion de pure volonté ne suffit pas, il faudrait de la contrainte. J'y reviendrai un jour dans un article.
amitié, dyonisos
Bisous doux.
Le string j'avais peur qu'il se voit pendant les présentations avec ses dentelles. Pas ressuré du tout.
Bisous, dyonisos