Dyonisos Soumis

Le lendemain de cette scène dominicale, bis répétita a priori. Le peuple revient de son air enfumé et trouve sa Reine dans le plus simple appareil lascivement étendue sur le lit dans la douce lumière matinale. "Et mince" pense le peuple qui sur l'heure n'a pas trop envie de redescendre dans le sous-sol étouffant. C'est un de ces jours où il est pesant pour le peuple d'être sous la coupe Royale...

La Reine s'éclipse dans le lieu d'aisance tandis que le peuple coincé se déshabille à contre-coeur pour l'hommage à rendre (sa Majesté tient particuilièrement à ce que les hommages lui soient rendus peuple nu...) Quand il s'aperçoit, un peu à sa grande honte, d'avoir douté : la Reine a, en ce matin, le désir d'un hommage plus aérien que cela...

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Le peuple est libéré pour servir de phallus d'eunuque pour le plaisir de la Reine et de la façon exacte où elle le désire. Le peuple a une belle érection libérée. D'abord en missionnaire rapidement écourté par Royal décision pour la position préférée de sa Majesté, celle où elle feind la chienne. Que volupté est-ce tout cela pour le peuple, qui n'a néanmoins pas le droit de se laisser aller, clairement interdit par sa Majeste, du moins pour le moment. Le peuple pourfend les chairs et fait monter la température de la chambre de quelques degrés. La Reine est aux anges, avant même que les anges accueillent son puissant contentement...

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Volant sur vent d'Amour, la Reine est apaisée de son contentement obtenu du vit de son peuple. Elle roucoule révolutionnairement avec son peuple et l'autorise même - oh joie ! - à le laisser couler lui aussi d'une vigoureuse branlée à ses côtés, conduite cependant du bout de ses ongles planté dans ses têtons de son peuple, une Reine reste Reine. Le peuple exulte enfin de s'être tant retenu !

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Le peuple croyait le Royaume éteint, et se baladait libre de contraintes, au retour au Château. La Reine finit s'en apercevoir, la nuits  de retour, le vit mou se balandant au dehors des couettes. Elle le réveilla (!) pour le réprimander et lui faire remettre la queue basse, le fer à castrer, au plus tôt...

Non le Royaume n'était pas éteint ! Loin s'en faut : la Reine le tient fermement en place.

dyonisos

Dim 16 nov 2014 5 commentaires
et bien c est tout le mystére de nos dames et de toutes impossible de suivre l on est presque toujours pris a contre pied et cela est encore amplié par le coter dominant car là rien a faire juste ce plier au désir et gare si l on n est pas en phase avec ce qu elles veulent il en cuir ra
quand a l oubli si c est un oubli lol ...et bien ce qui est pris n est lus a prendre une nuit une journée de libre c est deja cela mieux que rien qui plus est apres une tel vidange l on ce sent vraiment mieux et pour apprecier cela il faut savoir ce que veux dire etre en cage avec chasteté forcée
amitié Yanode et bon dimanche
yanode - le 16/11/2014 à 10h34

La femme de façon géénrale et la femme dominante en particulier, est un être que nous aurons tojours du mal à comprendre. Là j'avoue que j'étais scié : me réveiller pour me reporcher de ne pas avoir remis la cage. J'avais même peut que Maîtresse N. me le demande de la remettre là, sur le moment alors que j'avais envie de retomber dans les bras de morphée. Je me suis fait le plus discret possible. Et finalement j'ai gagné la nuit supplémentaire avant de clic-clac le lendemain, à contre coeur piurmoi.

Finalemnt avec nos femmes, c'est bizarre. Il y a des jours où il  a des virulences qui déstabilisent et d'autres où elle ne semblent ne plus s'intéresser du tout aux jeux. Ce qui est compliqué car nous, nous y sommes réellement coincé dans le jeux et en mode soumission. N. m'a fait un autre coup de dominance pendant mon absence, je raconterai évidemment dès que j'aurais 5 minutes...

amitié, dyonisos

 

dyonisos
une bonne petite jouissance pour savoir comme cela et bon puis retour en cage pour en etre a nouveaux privé ces dur
albin - le 19/11/2014 à 08h34

Le plus dur en fait c'est de devoir y retourner quand on ne le veux plus vraiment. Mais bon c'est cela de la soumission.

amitié, dyonisos

dyonisos
Vive la Reine qui mène fort bien le bal ! J'aime cette façon d'imager tes récits, c'est remarquable. Moi qui n'était pas là depuis un mois et qui a donc passé en revue tous tes articles, je confirme ce que je disais dans un précédent commentaire : ça vit à 200 à l'heure en Dyonisie. Tout n'est que plaisir et jeux (novateurs ou non) en ce Royaume et ça fait du bien de voir ça.
Bisous, l'ami.
Cere et Domi - le 19/11/2014 à 16h17

Tu sais bien que l'on avance ainsi par rafale. Rien pendant des mois et un festival après. Question d'amusement ludesque, d'envie, d'exctitation et d'ambiance du moment. Après il se  trouve que je sais manifestement pas mal faire ressentir aux lecteurs, le climat et l'étrangeté de ces purs moments. Cela aide aussi. Quelques photos et quelques mots pour dire, elle m'a fait cela ou ceci, ne serait pas la même chose. Là j'ai voulu les photos suggestives pour cachun et chacune se fasse sa propre histoire, et manifestement je n'ai pas trop raté mon coup.

bisous, dyonisos

dyonisos
l art et la maniére de ne pas laisser son soumi de mari s'endormir sur ces lauriers
yanode - le 20/11/2014 à 07h36

Ou l'inspiration perverse du moment. Malheureusement et tu le sais comme moi, des fois cela fait plouf !

amitié, dyonisos

dyonisos
bon aller ca y est tu les a tes cinq minutes pour raconter ...
amitié Yanode
yanode - le 20/11/2014 à 07h39

Et non car je des milliards de commentaires de la domie, toujours aussi bavarde, en retard.

amitié, dyonisos

dyonisos