Dyonisos Soumis
Le repas terminé, j'ai - comment dire - un petit coup de fatigue et le cou endolori à porter les pas si légères chaînes. Et comme j'ai l'esprit un peu mutin en ce jour qui me vaut déjà une addition promises de 20 coups de fouets, je décide, après tout pourquoi pas ? Tout ce qui n'est expressement pas interdit, n'est pas interdit. Je décide donc d'aller me reposer de mon (dur) labeur du matin, affalé sur le canapé et devant une nième rediffusion de James Bond. Cela me repose les cervicales. Je pue de mon labeur et je sens tellement que, toute la journée, ma belle doutera que je me sois vraiment lavé le matin. Et bien si, sachez-le Madame !
Je suis au calme à moitié comateux en ce début d'après-midi, en train de me divertir devant le film, depuis quelques temps déjà quand N. arrive avec une glace qu'elle mange tranquillement appuyée contre l'épaule de son esclave d'amour favori. Aucun reproche sur mon comportement. N. prend son temps pour savourer avant de me quitter un moment. Je la regarde partir de l'oeil nonchalant du Mâle à l'heure de la sieste... tout en visionnant James fôlatrer avec la première blonde du film.
Quand N. revient, je reconnais la sacoche qu'elle ramène avec alcool et coton : celle des sondes d'urêtre au plaisir si particulier. Maîtresse décide un 7 mm ("pas la peine de perdre son temps avec de plus petits calibres"). Et m'embroche immédiatement le zob. Je commence à cerner le plaisir particulier de ce type d'accessoire. La boule au bout de la tige fait exactement le même effet que la boule de sperme qui remonte le conduit. Le cerveau du Mâle s'en souvient et lâche immediatement force de liquide venu des profondeurs. Au point même que N. pense que tout cela soit terminé...
- Mais non, ce n'est que du pré-sperme, je la rassure
Me voilà travaillé de la tige dans la tige. C'est divin ! Je profite la tête relâchée en arrière. Le miracle de la vie se produit. Mes couleurs sont hissées haut maintenant.
- Allez hop, au travail ! Baise-moi !
Ma belle se met en levrette sur le canapé. Avec avidité, je m'installe et pénètre, mes chaînes collées contre son cul. Baises de journée, les meilleures. Cela geint et crie sous moi. Cela m'excite tellement. Je sens ma sauce se préparer. Mais ai-je le droit en soumis ? Je pose avec humilité la question. Jouissance m'est accordée. Et jouissance dans un râle est consommé. Oh que c'est bon !
Je crois que N. n'a pas eu totalement son dû, surpris par ma rapide conclusion. C'est là aussi ce qui nous diffère d'un couple purement D/S. Elle est contente pour mon plaisir. Tout en voulant, femme qu'elle reste, encore pour elle. La nature ayant réduit les plus belles stèles érigées à des tailles plus modestes, il y a comme qui dirait latence, et donc impossibilité. Ah si j'avais 20 ans, je prendrais ce cul que j'ai farfouillé un temps d'un doigt inquisiteur !
Ma merveilleuse belle n'est pas à court d'idée. Voilà que faute de vaillance de son Mâle, elle veut essayer à son tour les sondes. Vu la béance, je choisis la plus grosse, 13 mm, et je regarde les capacités de la chose. Massage d'entrée de vulve. Titillage de point G. Débusquage de col. C'est froid, c'et bon, me dit-elle et je le constate de visu. Ma Dame apprécit beaucoup... Une découverte de la complicité de l'instrument en reverse.
A ce plaisir, elle finit par rendre grace et m'abandonner pour une sieste lancée par les hormones. Je continue mon James Bond, allongé nu, en chaînes sur la méridienne, tout en manquant de-ci et de-là quelques minutes dans les bras de Morphée...
dyonisos
C'est vrai que c'est étonnant les choses que JE peux faire avec sur MA chatte préférée. Personnellement j'ai surtout adoré le titillage de col. LA sonde permet ce que la longueur des doigts refuse.
amitié, dyonisos
Bisous à vous deux !
Il y a rarement absence d'happy end dans mes articles. Il manquerait plus que nos jeux soient rébarbatifs. lol ! L4art du BDSM est un art de détournement aussi...
bisous, dyonisos
amitié Yanode