Dyonisos Soumis

Maîtresse N. s'est assise dans le fauteuil noir, en guise de trône improvisé. Je suis au pied du dit fauteuil.

- Fais le beau !

Je me relève sur mes genoux. Pas assez haut à son gout. Elle m'ordonne de me relever complètement. J'obéis et pose mes mains sur la nuque en position disciplinaire pour en faire quelque chose. La queue de toutou dans le cul balance doucement et est irrésistiblement attirée par la gravité. Je ne vois que son visage souriant à travers la muselière. Là elle prend le contrôle de SON pénis dans SA cage par SA volonté.

N. me masse langoureusement les petites choses qui dépassent de la cage. A ce rythme, l'asticot se réveille dans sa coquille et se gonfle dans les limites de son petit appartement. En fait surtout en largeur, parce qu'en longueur il reste de la place. Je ne le vois pas mais je le sens. Encore un écornement de ma fierté. Quand la chose parait bien mûre et coule déjà par le bout de la cage, Maîtresse décide qu'il est temps d'avancer.

- Elle est où la clé de ta cage ? Je ne sais plus.

Là je crois qu'elle se moque de moi. Puisque la clé est depuis le début attaché à SON trousseau de clé. Mais comme elle a déjà mise une fois la clé à la poubelle et perdu une seconde clé, je commence à m'inquiéter. Ouf, le trousseau est sur l'étagère à proximité et je vois nettement la petite clé de la cage. Je geins pour lui signaler. N. ne comprends pas. J'essaye de repousser le bâillon à la force de la langue pour être plus intelligible comme d'habitude. Mais impossible : la cagoule empêche son retrait même partiel. Me voilà pour la première fois complètement réduit au silence. Ne reste plus que mes yeux que je fais rouler pour désigner l'étagère.

- Je ne te comprends pas. Qu'est-ce que tu dis ?

Yeux désespérés. Je veux sortir de ma cage ! Roulements répétitifs encore et encore, jusqu'à me faire comprendre. La clé tourne.  La coque est enlevée libérant THE érection de l'année. Encore un peu de temps pour démonter les anneaux à la base et me voilà totalement libre. Enfin libre, la bite avide à en finir.

- Humm, belle érection. Dommage qu'elle pue car je me la serais bien prise, direct.

Grognement de déception. Mais à quoi s'attendre de différent après trois jours de marinade dans le plastique ?

A la place, Maîtresse a commencé un massage incroyablement bon des deux boules dans leur sac. C'est sublime. Je gémis du plaisir qui m'a tant manqué depuis 69 jours. Je m'abandonne à la caresse. Maintenant N. joue avec la hampe du phallus d'abord doucement. Je suis de plus en plus aux anges. Ses doigts entourent complètement ma petite fierté dressée et montent et descendent lentement.  La boule du mâle en rut se forme dans le creux de mon ventre. Je suis si bien. Cette première séquence se termine par quelques mouvements d'asticotage rapides avant que Maîtresse lâche subitement le tout.

Mais une seconde TROP TARD ! La boule remonte l'urètre et se propulse à l'extérieur, finissant, je l'apprendrai plus tard entre les seins de N. J'y éprouve mortifié encore moins de plaisir que si j'étais allé pisser. L'opposé de l'extase. Techniquement je viens de subir  un orgasme ruiné, mais je le comprends involontaire à la réaction surprise de ma Maîtresse du jour.

- Même c'est quoi cela ? 

Avant que N. éclate en fou-rire m'entraînant aussi dans mon bâillon. Un peu calmée, elle se moque de ma fierté blchien8.jpg  qui dégonfle rapidement. "Même pas un vrai homme" "Que veux-tu que je fasse avec cela ? " Elle essaye traitreusement de faire renaître de ses paluches le phénix de ses cendres. Aucune chance à mon âge. Et elle constate ironiquement : " C'est bien ce que je disais... Tout rikiki le zizi". Bizarrement si ces humiliations me font un drôle d'effet, je suis content au fond de moi-même que la pression dans le bas ventre ait baissée.

Il est alors temps à ma Maîtresse de nouveau calme et sans doute un peu contrariée par cet imprévu de reprendre sa domination.

- Ce n'était vraiment pas beaucoup. Je suis sûre que tu as encore plein de jus qui n'attend que d'être sorti après 69 jours. Allez en position ! Donne-moi ton cul !

Je mets quelques instant à intégrer ce que ma Maîtresse vient de dire, avant de comprendre dans la peur : elle a l’intention maintenant de me traire par le cul !

Aïe !

dyonisos

Lun 16 déc 2013 2 commentaires
69 , 69 j ai pas une geule de 69...mais voila qui donne un autre symbol a cette liberation
pas surprenant quand la pression est trop grande pas possible pas le temps de jouir ..par contre cela risque de rendre la suite bien plus dur pour toi j en ai bien peur mais c est le jeu ma povre lucette
amitié yanode
yanode - le 16/12/2013 à 07h51

Attends il sera question de 69 mais plus tard. D'ailleurs je n'ai pas tout compris sur ce moment là...

J'analyse la situation commeftu l'analyses. Quand cela doit sortir, me voilà transformé en éjaculateur précoce. MDR maintenant ! En plus ce que je n'ai pas écrit et que j'ai constaté pendant 2 ou 3 jours après, c'est que l'éjaculat n'est plus du sperme chez moi au bout de 69 jours. Manifestement. Mais quelque chose que je qualifierais plus de liquide prostatique, très fluide et sans aucune consistance. Alors adieu l'idée des petits spermatozoïdes qui s'accumulent dans les bourses en mangeant leur flagelle. 

Pour la suite, oui, je te confirme, cela ouvre une nouvelle perspective désagréable pour la suite du programme.

amitié, dyonisos

dyonisos
Moins de violence ici, hi hi... Récit absolument superbe avec notamment ce suspense quant à la clé. Et la suite promet d'être chaude.
Bisou...
Cerenella Domi - le 17/12/2013 à 14h17

Pourtant pour moi c'est le moment le plus violent, même si c'est involontaire. Rester 69 jours chaste, pour partir sans plaisir du tout ! Je ne m'en suis pas remis tout de suite. Et la suite arrive.

bisous à ta belle, dyonisos

dyonisos