Dyonisos Soumis
Dans mon grenier du blog, j'ai aussi retrouvé cette séquence que j'aime beaucoup, millésime 5 semaines de garde en avril 2010.
Bonne lecture.
dyonisos
VENDREDI
Je m'aperçois que je suis arrivé à la fin de la 5ème semaine de chasteté. Et que ma virginité risque ne pas dépasser le week-end. Les anglais étant en train de repartir, Maîtrsse N. est maintenant en pleine forme et je sens qu'elle va éxiger beaucoup d'hommages conjuguaux dans les jours à venir. En un mot mon sort est scellé : je passe à la casserole ce week-end.
Vous me diriez que je devrais m'en réjouir. Peut être et il est vrai que j'ai vraiment envie qu'elle me fasse cracher le poireau maintenant. Mais après une si longue interruption, j'en viens à craindre la première traite car à chaque fois la montée de la sauce dans la tige est presque douloureuse et semble se dérouler au ralenti. Je ne sais pas comment je vais être trait, mais cela risque d'être sans doute après une longue séance de dressage conjugual que Maîtresse n'a pas pu réaliser la dernière fois vu mon état. Je crois que je ne perd rien pour attendre. De toute façon, la trayeuse n'est pas prête, trop de taff en ce moment.
En tout cas, je suis toujours au régime des culottes roses de fillette qui amuse tant ma Maîtresse tant elle me trouve ridicule.
dyonisos
PS : ce matin, j'ai trouvé ce somptueux dessin qui je sais plairait beaucoup à Ange.
SAMEDI
Préambule
Superbe samedi à la maison. En fin d'après-midi, je commence à ranger la chambre d'amis pour la préparer pour le soir. N. m'aide et au passage je lui frole les fesses ou l'entrejambe de la main. Elle aime beaucoup, puis elle me dit d'arrêter car elle s'excite trop. Je continue un peu pour la maintenir dans un état très réceptif pour la soirée.
Nous mangeons, regardons un peu la TV avec les enfants. Je vais les coucher et les border. Super ils sont volontaires pour aller au lit. N. a commencé en bas à regarder une série en attendant que
la marmaille s'endorme. Moi je récupère en haut dans la caisse à malices quelques accessoires SM et je dispose le tout sur une petite table dans la chambre d'amis. Tout est prêt !
Acte 1
Mon adorable Maîtresse semble m'avoir oublié, elle a mis un love film américain et comme je le connais déjà je sais qu'il est très long. Je tourne en rond pendant ce temps, allant
fumer, matant un peu internet, lisant quelques pages d'un livre. Bon Dieu que l'attente est longue ! Minuit sonne à l'église du village. Je jette un coup d'oeil à la télévision (il reste 3/4
heures de film) et à N. (elle est couchée sur le canapé et s'endort par moment). Bigre vu la situation, ma libération risque de ne pas être pour tout de suite. Le film semble être plus attrayant
que le mâle. Et même si libération il y a, je crains que cela ne soit pas à l'enjeu des 5 semaines de chasteté passées et expédié entre la fin du film et le dodo.
Je décide donc de battre retraite en annonçant que je vais me coucher, après avoir rangé tous les joujoux.
- déjà ? mais je ne me suis pas occupé de toi !
- vu l'heure je pense qu'il ne se passera pas grand chose ce soir..
- tu as peut être raison
- et puis tu as besoin d'avoir un peu de pression pour endosser ton costume de Maîtresse !
Je pars me coucher. Mais la cage a choisi de me lâcher à ce moment : l'oeillet en plastique vient de céder ! Je suis obligé de tout enlever ; je verrai cela le lendemain... Et je finis pas
m'emdormir bite en liberté.
Acte 2
Je suis réveillé par une main qui me branle sous la couette. Il doit être 2 ou 3 heures du matin. Je suis dans les brûmes mais je sais que cela ne peut pas être la mienne. Puis je
sens dans le lit la présence de N.
Diable que la caresse est bonne, je m'y abandonne. Mon phallus est au maximum de son extension. N. est douée pour caresser un homme. Sa main descend et remonte, fait rouler le gland dans la
paume, suit avec le doigt la base de la couronne. Je sens la sourde décharge d'hormones et la pression qui augmente peu à peu dans la hampe. C'est trop bon !
Mais soudain je comprends que je vais à ce rythme partir honteusement à la dérobée. Maîtresse N. aura gagné son pari, et elle m'aura volé mes 5 semaines de chasteté. Je veux un dénouement
grandiose pas une giclée à la sauvette.
Je me révolte :
Non Maîtresse je ne veux pas, Non ce n'est pas convenable, Non pas comme ça.
Et N. me répond sans cesse: si, si, si
Je suis proche de l'explosion, loin dans la zone rouge. Je perçois que la moindre secousse va me faire éclater en moins d'une seconde. Et pourtant la main continue son oeuvre destructrice pour l'ego du soumis. La pression dans la hampe est douloureuse et j'appréhende l'anéantissement à venir. Je met toute ma volonté à résister et à ne pas partir. Je m'entend supplier maintenant : Pitié Maîtresse, pitié ! Un lapineau face au couteau du boucher. Je ne me résouds pas à donner cette victoire par traîtrise à ma Maîtresse.
Au dernier instant, Maîtresse N. a lâché un instant mon sexe pour remonter la couverture. J'en ai lâchement profité pour me retourner sur le ventre et protéger de tout mon poids ma virginité
! Impossible de me décoller.
DIMANCHE
Acte 3
Ce matin, je suis réveillé avant N avec une folle envie de me venger de la nuit. Je met la main dans sa culotte et je commence à titiller le bouton. Je travaille si bien que N. émerge peu à peu
alors que ses soupirs montent de concert. Je descend dans l'antre pour parfaire son excitation. Elle inonde abondamment ma main. Je continue un peu à la travailler et je me relève d'un
coup.
- enlèves ta culotte !
Elle est un peu étonnée de ce revirement mais ravie de l'aubaine. Je prend dans la table de nuit un préservatif et je reviens l'embrocher en missionnaire. Elle soupire d'aise ayant enfin en elle
la queue de son homme après 5 semaines. Je prend beaucoup de risques mais je veux me venger ! Comme je m'y attendais, l'antre devient vite béante et elle change de position en levrette pour
mieux me sentir. Je continue de longs va et vient, m'arrêtant de temps en temps pour ne pas dépasser le point de non retour. Elle me demande de jouer avec mon pouce à l'entrée de son anus. Puis
je reprend le doux martelage. Elle m'encourage d'aller plus vite, plus fort... mais elle ne sait pas ce que j'ai en tête.
A un moment, je fais une longue pause et puis me retire doucement de la place, tout en lui disant :
- le rabbit est dans le tiroir de gauche !
et je quitte la chambre sous les protestations.
Je pense que la soirée à venir va être chaude...
dyonisos
Dimanche donc après mon éclat du petit matin, N. ne semblait pas m'en tenir rigueur, mais avec une Maîtresse il faut quand même se méfier. La journée de Pâques ensoleillée se passait à merveille
en famille. Tout allait pour le mieux. La D/S était loin. Cependant en fin d'après-midi, je commençais à m'interroger puis à un peu m'inquiéter à quelle sauce j'allais être mangé.
Je profitais de ce moment de calme pour aller badiner sur le web, tendance SM. Surtout sur les sites de fessées, car je pensais que ma repentance allait passer par là. Je me suis arrêté sur cette
photo de lapereau ficelé allant passer à la casserole. Cette photo me fascinait et je m'imaginais les 4 membres ficelés soumis au paddle de Maîtresse N. Je ne doutais pas que c'était comme cela
que je serais fouetté ! Et cette perspective me faisait remplir ma cage que N. m'avait fait remettre le matin, plus serrée que d'habitude puisque j'avais cassé la veille
l'anneau de taille supérieur. La cage agissait comme une laisse me ramenant à ma future punition.
Pour compléter le tout, je pensais que Maîtresse voudrait me rappeler son pouvoir et mes fautes, en me violant le cul impitoyablement, sans s'occuper de ma souffrance. A sec peut être même. Et
qu'elle prendrait ensuite la photo de ma déchéance pour la diffuser sur le blog.
Bien sûr, ces photos, ce n'est pas nous et je m'aperçois après coup que tout cela n'était finalement qu'une vanité de soumis...
23h les enfants sont couchés et dorment. N. ne dit rien et regarde la télé. Je suis dans l'attente, mais il ne se passe rien. Je deviens soudain inquiet que ma Maîtresse soit vraiment vexée de ce
matin. Je reste sage et continue à attendre. Le feuilleton se finit, N. se tourne (enfin !) vers moi et m'annonce d'un coup : Bon on monte en chambre faire un petit calin si tu as envie et
dodo ! Je suis surpris. J'ai envie de crier : et ma punition ? J'ai une figure dépité comme un petit garçon qui n'a pas eu le jouet tant convoité. N. me regarde d'un air
amusé longuement. Je ne sais pas quoi en penser. Le fait-elle exprès ? Puis elle finit pas s'assoir et dit : allez dyonisos viens me voir !
dyonisos
--------
Allez dyonisos viens me voir.
O Joie ! J'arrive au pied du canapé, elle m'attrape pas la ceinture pour me positionner debout entre ses jambes. Rapidement ses mains me déculotte, font tomber mon pantalon puis ma culotte rose à mes chevilles
et sans un mot, Maîtresse me prend d'autorité une couille dépassant sous la cage dans sa bouche. Je sens maintenant ses dents qui se referme sur ma chose. Et je ne vis jamais ces moments sans
appréhension, essayant de ne surtout pas bouger. Un accident est si vite arrivé. Je pense que c'est sans doute un des rares moments où j'ai peur de la Maîtresse. La couille est relâchée mais
l'autre est avalée aussitôt. Puis elle commence à les claquer par dessous. Pas longtemps juste un échauffement. Avant d'essayer de m'enfiler dans l'urêtre par le trou de la cage tout ce qu'il lui
tombe sous la main. Sa récompense dans ces cas, est d'obtenir un zizi qui ne cesse de lâcher du pré-sperme, que N. adore faire sortir.
Bon ça suffit. Direction la chambre d'amis !
J'y vais tant bien que mal à petit pas n'osant pas me reculotter. Arrivé sur place, elle prend une cordelette et m'attache les mains derrière le dos. Et là je prend coup de paddle sur coup de
paddle, jusqu'à bien me faire rougir le cul. C'est mérité et je subis ma punition le plus silencieusement possible. Mais sous la force des coups, je n'arrive bientôt plus à tenir la position.
Maîtresse s'agace. Je me remet en place tant bien que mal avant que Maîtresse recommence à frapper. J'endure !
Mais cela n'a pas suffit à ma Maîtresse qui s'est alors occupée de mes couilles comme vous avez pu voir sur la vidéo, non pas une fois mais trois de suite car elle n'était pas satisfaite de l'éclairage du film. Pour
ceux qui ne savent ce que l'on peut ressentir et subir dans ces cas là, je vous renvoie vers la vidéo en montant le son, c'est plus qu'explicite !
Une fois mon calvaire fini, N. repris encore une fois la parole : direction la chambre immédiatement, tu te déshabilles et tu m'attends au pied du lit.
dyonisos
-------
Arrivé en haut, je me dépêche d'obéir en enlevant tous mes vêtements. Je suis nu avec ma seule cage de bite. J'attend au pied du lit et au loin j'entend Maîtresse qui me rejoint. Elle arrive
telle une reine dans la chambre et referme derrière elle la porte à double-battants.
A ce moment, je ne sais pas ce qui m'a pris mais j'avais envie d'aller pisser et je me dirige vers la porte que je vais réouvrir. Maîtresse me lance un regard dur :
- où comptes-tu aller comme cela ?
- aux WC
- je pense que tu ne M'as pas compris...
Et là sidéré et bientôt terrifié, je la vois avec détermination retirer la ceinture de cuir de mon pantalon et bientôt s'en servir pour me frapper les fesses. Et là par
rapport au paddle, je vous jure que cela fait vraiment très mal car avec la longueur le cuir claque intensément la peau. Je n'avais plus du tout envie de me révolter, juste obéïr au plus vite
pour qu'elle arrête de frapper. Et dire qu'avant cela je croyais naîvement que N. n'oserait jamais me frapper en chambre.
Elle arrête je me dépêche
de prendre ma place sur le lit. N. enlève la cage, vérifie l'état de sa propriété et décide de le prendre en bouche malgré mes avertissements que cela pourrait partir à tout moment (tu as
intérêt à ce que cela n'arrive pas ! Et occupe toi de ma rondelle).
Sa bouche est tellement merveilleuse que je crains de ne pouvoir tenir. Je me concentre pour ne pas me laisser allé à l'insu de mon plein gré. Ou je crois que la ceinture me tannera fortement le
cuir.
Au bout d'un moment qui me parut tellement dangeureusement interminable, Maîtresse se dégage et dit :
-Viens me prendre par le cul, j'ai envie de ta queue et te sentir jouir en moi.
- je met un préservatif ?
- bien sur que tu mets un préservatif pauvre idiot. On ne garde pas depuis 6 mois toutes tes traites pour que tu te laisses aller bêtement dans mon cul.
Je la pénètre par derrière en prenant bien
soin de ne pas lui faire mal, surtout pas. Puis en mettant tout mon énergie dans le pilonnage car Madame aime par dessous tout sentir mes couilles taper contre son clitoris. Et dans cette
situation, il serait malvenu de ne pas tenir le rythme ou de me laisser aller trop tot. Au bout de 10 minutes, je sens néanmoins mon membre ramollir peu à peu, et il me semble que N. commence à
s'en douter au début, puis d'en avoir la certitude ensuite. Bon, sors les godes et finis moi ! Je me presse d'obéïr.
Plus tard, après sa grosse jouissance, Maîtresse a sa tête sur mon épaule et joue avec mon sexe redevenu tout raide. Là j'ai vraiment envie d'éjaculer, de me libérer. Pourtant N. pense à voix
haute :
- tu n'as pas réussi à jouir dans les temps. Je ne sais pas si je ne vais pas te remettre en cage sans avoir éjaculé µ
- siii... si vous... voulez Maîtresse, craignant pas dessus tout qu'elle le fasse vraiment.
Je sens que mon sort ne tient qu'à un souffle alors je garde le silence. N. se semble pas se décider à mettre sa menace à exécution. Elle continue nonchalamant à me branler doucement, puis elle
se décide... à renoncer à son idée première. Ouf.
N. me fixe des pinces à linges sur les tétons et tout en les tordant dans tous les sens, m'intime l'ordre de me traire moi même dans le préservatif. A ce rythme, et après autant d'émotion, j'ai
rapidement répandu le sperme de 5 semaines dans le préservatif qui n'a pas tardé à rejoindre la boîte de récolte au congélateur.
J'étais passé à la casserole !
dyonisos
Si tu veux dire que le sexe faible sait nous manipuler sans avoir l'air d'y toucher, oui tout à fait. Et la règle de ces jeux a annulé toutes les précautions d'usage. Nous leurs avons donné ce pouvoir et elles en usent (et abusent presque). Mais globalement je trouve la vie plus marrante ainsi.
dyonisos
Ensuite, tu relates fort bien ce week-end, comme toujours, avec de belles descriptions des évènements. Le suspense aura été total avec une lutte de ta part au petit matin pour ne pas jouir sous le jeu de main pas vilain de ta belle. Nous sommes toutefois un peu surprises par le final. Ok, le typhon prévu a bien eu lieu mais en douces utopistes que nous sommes, on pensait que la libération se ferait en chatte ou en cul... Mais ça, bien sûr, c'est vous qui décidez.
Les flashback sont plaisants au possible, les photos sont belles et la petite culotte rose te va vraiment bien. Sans déconner.
Bisous à vous deux !
ps : je pense oublier effectivement des choses... mais je reviendrai demain lire ta réponse et compléter, du coup, mon commentaire.
C'est pas grave si tu ne te souviens pas de tout. Mais c'est le genre de récit qui est habituellement "livré" en 3 ou 4 fois. Alors là oui tout mettre d'un coup, cela fait lourd. Je te comprends. Pour les dessins j'aime bien les deux et si les godes sont immenses c'est pour créer un effet d'exagération.
Oui ce week-end là qui commence à dater était une petite merveillje qui pour une fois s'est passé en chambres avec les enfants pas loin. Ce dirait que c'était une sorte de mano à mano entre nous deux, et à la fin N. gagne la queue. Si la conclusion vous, c'était si je me souviens que notre bête à deux dos à nous avait un problème mécanique de trouffion explosé et de mal au dos lançinant. Là où le plaisir s'arrête... la fête est gachée. Il vaut mieux savoir faire une retraite avant la catatrophe et repartir sur de nouvelles bases.
Grrr pour la petite culotte. Heureusement elles ne sont pas ressorties... Suis très gênée que l'on me voit en petite tenue ainsi.
bisous, dyonisos
Vous utilisez ce genre d'accessoire comme yaya non plutôt Flo ?
amitié Yanode