Dyonisos Soumis
Ma seconde nuit est agitée. Je me réveille en sursaut la queue coincée dans la cage au milieu d'un rêve humide d'un bateau en train de couler. Je crains le pire. Mais non la couche est sèche, pas pour longtemps car la vessie est pleine. Allez me voilà redevenu un pisseux en couche. Ce liquide chaud qui coule au travers de la cage et vient peu à peu alourdir la couche et réchauffer l'entrejambe. Etrange sensation de se laisser aller mais finalement pas désagréable.
Je me lève finalement à une heure de quasi grasse-matinée en ce dimanche de changement d'heure. N. dort encore. Nouveau laissez aller dans la couche qui est maintenant bien lourde. Heureseument ce matin aucun besoin plus humiliant. J'attends en regardant bizarrement les chaînes enfantines. Allez comprendre l'insconscient ! Puis N dormant toujours je me décide à me changer encore une fois tout seul pour aller acheter du pain et faire des couches courses de compléments. Même impression d'être tenu au dehors par ma Maîtresse de femme. Je ne traîne pas à la supérette.
A mon retour, Maîtresse N. se réveille...
- Bonjour mon Amour. J'espère que tu ne m'as attendu pour changer ta couche ?
Toujours cette capacité de mettre une dose d'humiliation dans chaque phrase de Maîtresse. Mais je suis content qu'elle se rappelle dans quel état de contrainte je suis.
Je me couche à ses côtés, elle vient se mettre sur son épaule favorite. Elle me caresse au dessus de la grenouillère. Mes tétons bandent nettement et il n'y a pas qu'eux. J'adore ce moment de complicité.
- Tu es si rigolo dans ta grenouillère ! Je t'aime.
Me voilà fixé. Elle rajoute au bout d'un moment.
- Allez soit un bon soumis et va me préparer le petit déjeuner de ta Maîtresse.
Je quitte le lit à contrecoeur et m'exécute. Elle apprécie son petit déjeuner avec les tartines amoureusement grillées. Je vois bien qu'elle est crevée, loin de sa meilleure forme. N. se demande à haute voix, ce que nous allons abandonner de notre programme de jeux de notre week-end. A son habitude, elle me laisse me pendre moi-même. A mon retour de la terrasse, me voilà déjà proposer que, vu son état, le plus simple est de continuer le jeu actuel de la grenouillère. Bien sûr l'idée lui va alors que je m'aperçois que j'aurais mieux fait de fermer ma gueule de dyonisos. Mais quel con, je suis ! Je tente de me défendre.
- Oui, mais je n'ai encore fait popo aujourd'hui. Cela va puer et tu n'aimes pas.
- Mais non, je suis sûre qur tu adores te salir ainsi...
Je prefère changer de sujet.
- Et le cinéma ? Je ne crois pas que cela soit le moment d'y aller...
Je sais que j'abuse un peu mais être coincé pendant 3 heures à bander sans espoir dans sa cage...
- Mais non. Nous y allons jamais, alors nous serions bêtes de rater cette occasion. De toute façon, je ne verrai rien de ton état alors que tu sois en cage seule ou en cage plus la couche et la grenouillère ne change pas grand chose finalement... Allez va regarder les horaires des séances en fin d'après-midi.
Je vaque un moment à écrire le récit de mon aventure du week-end pour le blog. Vers midi, je la vois ressortir des toilettes, qui, pour elle, ne sont pas interdites. Elle fait un stop par la porte-fenêtre de la terrasse et après obtenu son bisou, elle dit simplement.
- Allez mon émission se termine dans une demie heure et après je donne son bain à mon petit dyonisos.
N. me plante sur ces mots, malicieusement. Quel bain ? Je le saurai vite.
Effectivement une demie heure plus tard, je suis requis dans la salle de bain, où la baignoire remplie à moitié m'attend... Elle m'enlève grenouillère, couche et même cage et hop elle m'invite à me glisser dans "mon bain" avec le bateau préféré de notre gamin en guise d'amusement de Maîtresse et même une tututte trempée au whisky que je me dois de sucer ("ton apéro").
L'histoire de notre couple retiendra que c'est dans ce bain que la validation des règlages de la nouvelle cage métal aura été faite. Le choix du modèle lui est déjà fait depuis vendredi soir. Maîtresse N. se fait expliquer sur la cage plastique démontée tous les réglages importants et décide définitivement en son âme et conscience, comment sera la nouvelle maison de son mari soumis.
- Allez fini de te prélasser, debout, mains derrière la nuque. On va rendre ton zizi beaucoup plus enfantin...
Effectivement elle entreprend de raser tous les poils présents sur le pubis, le sexe, les couilles, dans l'entrejambe et même dans la raie du cul, avec détermination et persévérance. Une fois contente de son résultat, elle me laisse terminer de me laver tout seul et va se reposer dans la chambre.
Je finis de me savonner, me sèche et repasse directement le grenouillère. Je vais me présenter dans la chambre.
- Mais alors la cage et la couche ? Pas bien cela...
Maîtresse N. m'a saisi les couilles au travers du fin tissus et s'amuse à les presser un peu, pour affirmer son autorité sur son soumis. Je frémis.
- ... mais si tu le veux, après tout pourquoi pas ? Mais va me chercher le cadenas que je ferme bien la grenouillère et après tu iras préparer notre repas.
J'avoue que je suis bien content de me retrouver libre dans la grenouillère où ma bite dure se dresse au milieu en un mat de chapiteau. Bien sûr pas question de se masturber, les traces sur le jersey me trahirait immédiatement mais quelques caresses furtives mais pas trop poussées ne peuvent faire que du bien après, oui déjà, la 4ème semaine de chasteté.
Ce n'est que plus tard alors que je finis de mettre la table que je comprends oh combien je me suis fait, encore une fois, avoir, au moment où l'envie de vider ma vessie remonte. Pas de couche et enfermé dans la grenouillère, cela veut dire que j'ai aucune possibilité de me soulager et que je dois attendre le bon vouloir de ma Maîtresse ! Je me retrouve même à regretter l'absence de couche...
La couche je finirai par la retrouver mais pas avant la fin du repas. Aussitôt je soulage ma vessie et me souille volontairement. C'est l'heure de la sieste...
dyonisos
amitié yanode
Bah de toutes façons à ce jeu là, on perd tout le temps quoi qu'on dise ou qu'on fasse. C'est perdu d'avance et d'ailleurs pas avant l'engrenage de la domination.
amitié, dyonisos
dsl si l'hortographe du groupe est écorné....
Et pourquoi donc, mon ami, cette association d'idée ?
amitié yanode
Si mais je n'ai pas compris son commentaire...
Bisous.
Oui c'est beau mais une vacherie quand les poils repoussent sous les anneaux de la cage. Et ça je soupçnne ma Maîtresse de l'avoir parfaitement su quand elle m'a tout rasé, me faisant passer de la cage presque pépère à la cage exigeante le temps que les poils repoussent suffisamment...
bisous, dyonisos
Bah trop compliqué de rentrer in the mind of the Gregounet. J'abandonne.
Bisous.
Ne m'en parles pas. Avec la cage cela été une semaine fort désagréable.
bisous, dyonisos
Mon mari Karim (lailatvx sur le net) et moi, nous formons un vrai couple depuis 10 ans. Notre vie sexuelle est épanouie, et je prends plaisir à le sucer autant qu'à me faire sucer et enculer. Mais dernièrement, tout a basculé suite à une vantardise de sa part : Je te parie qu'on peut baiser pendant une heure d'affilée sans que je débande ! Prétendait-il.
Moi, je doutais un peu. Il m'a limée, avec sa petite queue bien droite et fine, mais pas durant une heure car il a vite joui en quelques secondes. Au fait, c’est un éjaculateur précoce !
Total en gage, j'ai eu le droit de lui demander ce qui me plaisait.
- Karim, je vais t'habiller en femelle et tu m'obéiras en tout ! Tu seras ma petite pute à queue !
Mon mari faisait la grimace. Je l'ai fait mettre nu, je l'ai lavé partout, et j'ai déballé mes sous-vêtements. J'ai étiré un slip en dentelles sous son nez. Une fois en érection maximale, j'ai accroché le slip au bout de sa bite pour l'humilier. "Ta queue sera comme un portemanteau", lui ai-je dit. Alors Karim a rougi comme un gamin. Amusée, j'ai pris le slip par ses extrémités et j'en ai fait une sorte d'élastique passé autour de la queue de mon homme.
J'ai cisaillé son membre en tirant le slip par les deux bouts. Karim gémissait et me demandait d'arrêter. "Non, tu dois m'obéir en tout! ". II a compris et s'est calmé, alors je l'ai fait mettre à quatre pattes. J'ai doigté son anus en le félicitant d’avoir une si belle croupe, et puis même jeu avec le slip tendu comme un élastique.
Chaque fois que je passais et repassais ce bout de tissu entre ses fesses, il couinait très fort. Finalement, je le lui ai fait enfiler. J'ai complété avec des bas, un porte-jarretelles, un soutien-gorge. Je l'ai emmené devant la glace, et là, je l'ai peloté. II bandait si dur que mon pauvre petit slip était prêt à se déchirer. Je n’en revenais pas, mon mec était une vraie salope !
Pour le calmer, je suis allée prendre le plumeau, à manche de bambou et je lui ai donné vingt coups sur le cul. Il se trémoussait, de larges zébrures rouges le marquaient sur les fesses. Je me suis calmée, le temps de me mettre nue. "Karim, vilain petit chien, lèche ta maîtresse !" II a dû faire le beau entre mes cuisses et me donner de grands coups de langue dans la chatte. J’étais léchée, lâchée et toute excitée…
J'écartais mes lèvres et mes nymphes pour lui rendre l'accès facile. Puis, je me suis retournée, penchée en avant, et j'ai posé ma lune bien en chair sur sa bouche d'esclave. "Suce et lèche, petit sale pédé, enfonce ta langue dans le trou de ta maîtresse ! ".
Mon époux a obéi, pour la première fois sa langue glissait dans mon anus dilaté de plaisir. J'ai écarté mes fesses à deux mains pour mieux jouir de cette caresse baveuse. En même temps, je me branlais par-devant et ma tige d'amour se gondolait, toute rose. J'ai pressé ce petit sexe en érection jusqu'à ce qu'il devienne douloureux, alors je l'ai simplement titillé du bout des doigts et j'ai joui.
Mon jus coulait entre mes cuisses, dans mes poils. Je me suis retournée à temps pour pose ma fente sur la bouche de Karim et lui ordonner de me boire. II a bien nettoyé ma fente juteuse, alors je lui ai accordé une caresse sur la joue.
Je me prenais à fond au jeu puisque, lui aussi, apparemment adorait cela… j’en rajoutais alors…
Karim reçut l'ordre de faire la vaisselle, le ménage, de nettoyer la salle de bain, le tout en petite tenue. II était mignon, son cul moulé par mon slip de dentelle, sa queue en érection, et ses cuisses gainées de nylon. J'ai passé l'inspection, déniché une tasse mal lavée, ce qui lui a valu vingt coups de manche en bambou. II se tortillait de douleur, moi je frappais très dur, je jouissais debout, rien qu'à voir mon homme réduit à l'état de soubrette.
J’avais une terrible envie de le battre qui me faisait me mordre les lèvres, J'ai dégrafé son soutif et sucé ses tétons qui ont durci. Alors, je les ai cinglés avec l'extrémité du manche, et cette fois, Karim s'est écroulé à mes pieds. II m'a supplié d'arrêter.
Je lui ai fait grâce et je lui ai dit de s'allonger sur le lit. Je lui ai retiré son slip et j'ai sucé son gland. Je titillais le méat du bout de ma langue et puis je m'enfonçais ce manche dans le gosier jusqu'à ce que ses couilles me caressent le menton. J'ai bien joué avec ma "poupée mâle", et puis je me suis emmanchée sur sa petite bite luisante de salive. J'ai chevauché mon esclave de face, en l'autorisant à me travailler délicatement le bout des seins. II s'est appliqué et m'a fait jouir très fort.
Depuis ce jour, mon mari me supplie de le travestir en femme et de le commander. II supporte de mieux en mieux les punitions, la cravache (que je viens d'acheter), et accepte même sans rechigner de se mettre au service de mes amies intimes.
Dernièrement, avec mon amie Jamila, nous avions passé l'après midi à nous distraire avec Karim. Il avait d'abord fait le ménage en tenue de soubrette pendant que nous faisions l'amour toutes les deux dans la chambre. (Jamila est une superbe blonde de 30 ans très portée sur les femmes) ensuite nous avons "inspecté" le travail effectué par notre "bonniche" et, bien sur, nous avons trouvé plein de choses à redire ! Nous lui avons donc infligé une punition de 50 coups de cravache. Karim voulut discuter comme quoi c'était trop, mais Jamila lui dit "Un mot de plus et ce sera 100 coups" il se tût immédiatement et sur mon ordre, il se mit en position sur « le punissoir ». Il s'agit d'un banc assez haut au-dessus duquel il peut se plier. On attache ensuite ses chevilles écartées aux montants d'un des cotés et ses poignets de l'autre coté. Son cul est alors offert et nous pouvons donner libre cours à nos envies de le maltraiter. Le petit salaud ne se plaint d'ailleurs pas souvent de cet "accessoire" puisque c'est lui qui l'a construit. Une fois encore, nous avons eu la preuve que mon esclave était excité par ce qui allait lui arriver car il bandait comme un Turc. (Si ce n'est la dimension de son engin qui n'est pas vraiment comparable à un Turc.)
Avec Jamila, nous nous sommes partagé les 50 coups en riant et en nous efforçant de bien marquer ce joli cul offert à notre sévérité. Alors que nous arrivions au bout des 50 coups et que le cul de mon chéri était bien rouge et marqué, ce petit salaud se mit à éjaculer en grognant comme un porc et sans même s’être masturbé. Nous étions à la fois ravies de l'avoir fait jouir comme ça et très en colère qu'il n'ait pas demandé l'autorisation de jouir. Nous avons ensuite pris le thé, excitées comme tout, et après nous avoir servi, nous avons mis Karim au coin, les mains sur la tête, la jupette relevée pour exhiber son cul bien zébré.
Au cours de la discussion, Jamila me dit soudainement : "Ma chérie, tu sais que je ne raffole pas des hommes, mais je sais que toi, tu les aimes. Maintenant que tu as une bonniche à la place d'un mari, il serait temps que tu prennes un amant pour satisfaire tes envies. D'autant plus que si ta lopette jouit à chaque fois que tu lui caresses les fesses avec la cravache, il ne pourra jamais te satisfaire."
Je n'avais jamais pensé à ça jusque là, mais cette idée me fit aussitôt mouiller. Je répondis aussitôt : "C'est une bonne idée que tu as là, c’est que maintenant ce n’est plus vraiment un homme."
En tournant la tête vers le coin où mon époux était en pénitence, je lui dis de venir à mes pieds. Je n'étais pas certaine encore de vouloir risquer mon mariage (j'aime toujours beaucoup mon mari Karim) mais alors que mon esclave arrivait vers moi à 4 pattes, la tête baissée, je vis qu'il avait recommencé à bander. Le petit salaud, il bandait alors qu'on était en train d'évoquer l'idée de le faire cocu. Jamila ne manqua pas de remarquer cet état de fait et déclara : « Et en plus, ça fait bander ta lopette de savoir qu'il va être cocu ! ».
J’étais subjuguée de voir mon mari si bas, je pensais à toutes ces années auprès de lui où je ne soupçonnais pas ses attirances, à mes yeux il tombait bien bas, je n’avais plus de respect pour ce sous homme, une nouvelle ère s’ouvrait pour moi de liberté et de plaisir épanoui… Je m'adossais au canapé en ouvrant mes cuisses au maximum et j'ordonnais à Karim de nettoyer ma chatte trempée à l'idée des grosses bites qui allaient bientôt la pénétrer. Sans un mot, il se mit à l'ouvrage alors que Jamila évoquait des amis à elle très bien montés qu'elle pourrait me présenter. Je commençais à mouiller comme une fontaine sous les coups de langue de mon soumis. Jamila se positionna derrière mon époux qui, à 4 pattes, exhibait son cul rougi et elle lui massa la rosette avec du gel avant de lui entrer un petit gode dans le cul. Durant toute l'opération, Karim continuait son travail de léchage et j'approchais doucement de l'orgasme. Ma copine continuait durant tout ce temps à faire des commentaires salaces qui ne faisaient que m'exciter davantage : « Et puis s'il est sage ce cocu, il aura le droit de préparer ta chatte pour tes amants ».
Elle se mit alors à pistonner l'anus de Karim vigoureusement tout en lui effleurant les couilles de ses ongles en continuant à m'exciter : « Tu vois chérie, quand tu auras trouvé quelques amants vigoureux, ta vie sera parfaite : satisfaction sexuelle garantie et un petit toutou soumis pour t'entretenir et te faire la vie belle pendant ce temps ».
Au même moment, j'explosais en arrosant le visage de mon esclave de mon jus et lui se répandit misérablement sur le tapis, sans se masturber. Nous l'avons insulté de s'être laissé aller comme ça et l