Dyonisos Soumis
Putain ils sont là. Ces salops d'anglais nous ont pistés et nous débusquent dans un château au frais en Espagne. Merde occupez-vous plutôt du Royal Baby George et foutez-nous la paix !
Juste le temps d'un dernier corps contre corps tendre et délicieusement excité sous l'eau de la douche pendant que les têtes blondes dorment. Nous avons finis pas les avoirs celles-là. Je te savonne par ci. Je te caresse par là. Je t'excite partout. J'explore les possibilités caverneuses. Je joue de ton attente à vouloir plus, à sentir plus et être envahi plus. Jusqu'à la jouissance méritée offerte par l'un à l'autre et vice versa. Jusqu'à la détente complète des corps mouillés. Ah le doigt de ma dame, m'embrochant par derrière et jouant de la dureté de l'ongle sur la fragilité des muqueuses. Terrifiant et terriblement érotique à la fois ! Jusqu'à m'en faire baver dans tous les sens possibles... Deux êtres amoureux, deux jouissances, deux contentements et une union totale le temps d'une douche extrêment coquine. Vive la vie et à bas les Anglais !
N'empêche que tout cela n'a pas empêché les Anglais de prendre camp devant notre château en Espagne.
Mais nous Messieurs nous sommes français ! Je ne vais quand même pas refaire l'erreur de la bataille de Fontenoy "Messieurs les Anglais, Tirez les premiers !". Non le tirage c'est chasse gardée ! Nulle envie de voir un batard english venir me casser les couilles. Alors c'est décidé on rentre en résistance ! Super résistant c'est nous !
Allez une bouche soyeuse le soir venu autour de ma fierté avide. ça vous ne l'aurez pas. Madame s'est cependant mise à la mode espagnole avec les dents. Tu bandes, je pique ! La fin des vacances serait-elle moins dans la clarté vanille ?
Et puis le corps n'a-t-il pas des ressources insoupçonnées pour résister à l'envahisseur ? J'aurais bien aimé un enfilage de trouffignon à la hussarde (à nos chevaux, à nos femmes et à ceux qui les montent !). Elle m'en doit un. Mais si le chateau est climatisé, Sieurs nos enfants dorment dans la même pièce.
Je tente alors une idée folle. Je joue des tétons de ma Dame forcément dressés d'impuissance. Je titillote, je tournicote, je tirote, je repoussote. Je les fais rouler entre mes doigts, je les pince avec plus ou moins de douceur. Je m'en amuse en les prenant d'un même amour qu'un petit bouton innacessible. Ma Dame me dirige par le bout du gland luisant. Bon signe. Et le miracle se produit ! Je savais bien que mon passage éclair au Catholand de Lourdes allait me rapporter quelque chose... d'ailleurs ils viennent de reconnaître un nouveau miracle après 25 ans et officiellement.
Moi mon miracle est plus rapide. A mon étonnement, je crois entendre une de ses respirations troublées. Non cela ne peut pas être cela ? Mais oui c'est cela. Madame jouit des seuls tétons. Son plaisir monte, jusqu'à un orgasme des tétons et eux seuls qui finit par tout emporter et tout laisser chancelant. Etonnant corps humain... ou miracle. Je vous laisse le choix...
Bon ça aussi les Anglais ne l'auront pas. Ma Dame dans sa sagesse a décidé de ne pas me laisser béquille dressée et que je méritais moi aussi de prendre du plaisir de mes tétons. De cette façon définitivement à la frontière floue des deux mondes clair et obscur, la voilà qui m'enlève mon T-Shirt pour attraper entre ses dents mon téton droit pendant qu'elle plante durement ses ongles dans son frère. Aie ! Je pensais que la branlette espagnole avait plus avoir avec la cravate du notaire. Mais la version de ma Dame, c'est avec les dents ! Allez courage petit dyonisos, la douleur est érotique et ne perd pas de temps à folâtrer dans ton chemin. Une éjaculation rapide en honneur de ta Maîtresse. Comme si l'intégrité de mes tétons en dépendait, je secoue el toro à une vitesse folle déjà atteint par les banderilles. Maîtresse veut me porter l'estocade au plus vite. Elle sert encore plus. A ce petit jeu, du je te tiens pas les tétons, fatalement je perds et elle gagne. Voilà le fuego qui me dévaste finalement. Elle veut tout jusqu'à la dernière goutte et ne me libère de son étreinte piquante qu'une fois la bête morte.
Merci ma Dame.
dyonisos
Euh moi aussi j'ai crains pour mon téton droit. A la fin, il était comment dire très sensible... Non ma Dame interdiction d'y toucher encore ! Non, s'il vous plait !
J'aime bien ces articles d'humeur, style plume sauvage et j'aime aussi bien le retour que tu m'en fais à chaque fois. C'est fou ce que quelques mots peuvent plus évoquer qu'une photo. J'ai toujours plus préférré l'érotisme qui parle plutôt que l'étal de boucherie, chez le marchand de journaux. Sauf que la plupart du temps, c'était complètement bidonné et destiné à ce que chacun trouve son délire.
amitié, dyonisos
allez profitez en bien nous c est la merde entre la mouche qui nage dans mon café et un an de taf parti sous la gréle GRRRR demain sera un autre jour avec pour la journée une maitresse nue a mes pieds peut etre ............si les anglais le veulent bien
amitié Yanode
Putain la grêle cela fait chier et c'est tout de suite beaucoup moins drôle. Alors désolé l'ami.
Je sais que l'article est assez cosmopolite, un peu trop sans doute pour ton esprit bourru paysan. Mais celui qui a gagné, c'est l'Amour avec un grand A !
amitié, et bon courage,
dyonisos
amitié Yanode
C'est très bien de s'occuper de sa Femme. C'est d'ailleurs ce que tu as promis quand tu as dit oui.
amitié, dyonisos
Merci cher SP d'apprécier ma prose.
amitié, dyonisos
Je ne veux pas trop en dire mais quand même : quel magnifique récit ! Bon sang, faut le dire quand c'est bien.
Bisous et amitiés !