Dyonisos Soumis

L'homme se réveille pris dans la chaleur de la chambre. Il enlève d'abord short et polo. Le voilà nu, essayant de récupérer quelque fraicheur. Il a, en droite ligne, la porte ouverte du chalet. Personne, tout est calme. Les enfants et leur mère sont partis le laissant à sa sieste. Seul au monde.

La chaleur lui monte à la tête, au plutôt au sexe. Et si ? Il a gagné hier par un haut service le droit de prendre la citadelle étroite. Au petit matin, réveillé par l'aube, la bite avide, il était prêt à réclamer son lot. Frottement langoureux contre le corps de la femme nue collé contre lui, jusqu'à ce qu'elle se réveille et lui annonce ce que sa nuit a éclipsé :  il y a un intrus dans le lit, un enfant cauchemardé au coeur de la nuit, qui anéantit net son envie. A la place, il caresse avec un intense amour paternel cette tête blonde innocente endormie.

Bref l'homme est resté sur sa béquille ce matin. Alors suivant l'adage qu'un bon tiens vaut mieux que deux tu auras, il se décide à se donner ce plaisir solitaire et égoiste qui le comble depuis l'adolescence.

La chose entre ses cuisses durcit durement à cette pensée. Les branlettes sont des coups aléatoires, il y en a de mémorables, d'autres simplement hyégéniques. Qu'en sera-t-il de celle-là ? L'homme invoque tous les fantasmes qui peuplent ses plaisirs solitaires, cachés au monde extérieur. La bite devient encore plus dure. Il est temps de récolter les fruits. De sa main gauche, toujours la gauche, il commence le mouvement immorial qui donne les plaisirs à l'Homme. Il est immergé dans ses fantasmes du moment les plus exictants. Cela marche plus que de raison. Bientôt la boule de tension se forme au creux de ses reins. Le phallus a déjà commencé à baver en avance. Il continue le mouvement régulier, l'accèlère même quelque peu, la boule progresse millimètre par millimètre dans l'urêtre comme un fer brulant. Il se sent prêt à éclater. Il accèlère encore le va et vient. Et finalement éclate en un ahhh sonore ! Que c'est bon !

Le temps de gérer la quantité absolue de sperme ayant jailli. Et après un rapide nettoyage à la douche, le voilà sur le pont de la terrasse, accueillant le retour de la famille au complet.

Plus tard l'homme est parti seul se purifier à la piscine. Quand il rentre enfin, les enfant sont allés vaquer à leur activité d'enfants un peu libérés pendant les vavances. Le femme est au lit. En soulevant le drap, elle se dévoile peu à peu. Elle est nue, ses fiers seins dressés et un épais gode à couilles enfichés profondément dans la chatte. L'homme est surpris mais son sexe réagit au quart de tour. Le voilà de nouveau dressé. ll se présente entre les lèvres de la femme exigeant une caresse, alors qu'un doigt s'occupe d'exicter le bouton en cadence, au dessus du gode enfilé, jusqu'à l'orgasme de la dame. Plus tard elle lui a avoue qu'elle a sentit l'odeur du Mâle en entrant dans la chambre et que cela lui a donné ses propres envies..

L'homme et la famme auraient voulu plus, mais les enfants... qui finalement et étonnament leur laissent le champ libre pour au moins un heure, après un dernier passage au chalet. Les parent croient pouvoir en profiter pour une prise de la citadelle de Madame qu'ils chérissent, mais ce n'est plus leur heure et tout finit en un Waterloo du sexe. Un désastre ! Ce n'est que partie remise pour le prochain petit matin.

Vive les vacances

dyonisos

Mar 9 jui 2013 5 commentaires
et oui c est comme cela la vie et les enfants pas simple d avoir un moment a deux et encore plus dur d avoir la meme envie en meme temps , je n ai jamais trouvé que les vacances etait un moment de liberté tout au contraire , avec les enfants plus present , la promuscuité du monde partout , la chaleur , il fait trop chaud pour travailler mais aussi pour baiser ... alors vivement l hivers
amitié yanode
yanode - le 10/07/2013 à 06h44

Bref il faudrait les vacances mais sans les enfants !

amitié, dyonisos

dyonisos
gros merci pour le temps que tu prends sur tes vacances pour les commentaires car en ces temps de vacances ce serait le desert sans toi et domi .
amitié Yanode
yanode - le 10/07/2013 à 07h04

J'ai quand même pas mal réduit ma participation.

dyonisos

dyonisos
Ne parle pas de Waterloo, tu vas attirer les anglais ! Amitiés.
soumis pissotte - le 11/07/2013 à 01h00

MDR !!

amitié, dyonisos

dyonisos
des vacances sans enfants hummm bonne idée tres bonne idée meme
amitié yanode
yanode - le 12/07/2013 à 07h29

Mais ce que j'ai retenu avec toi, même quand ils sont grands, il continue à nous emm***.

dyonisos
Charmant fragment de vacances où, parvenu au bout de ce plaisant récit, je vois bien plus d'Austerlitz que de Waterloo. Ton texte est tout simplement magnifique. Les belles choses simples sont narrées de brillante façon et "la citadelle étroite" m'a énormément plu. Je pense que j'aurai le culot de reprendre ça un jour dans l'un de mes textes... J'en citerai la source, bien sûr.
Bonne suite de vacances, l'ami.
Bisous de nous deux à vous deux ! Ne soyez pas sages... autant que faire se peut...
Cerenella Domi - le 13/07/2013 à 15h51

Et non nous n'avons pas été trop sages du moins tant que les vagues de chaleur et les mômes nous ont permis de faire quand même quelque chose. Mais point d'enfoncement au bélier des portes de citadelles étroites. Beaucoup trop chaud à la base, pour accepter une montée supplémentaire de quelques degrés encore.

bisous, dyonisos

dyonisos