Dyonisos Soumis

J'ai été envoyé au lit un peu avant 10h. Cela me fera du bien tellement la cage a fatigué mes nuits ces derniers temps. Maîtresse arrive quelques instants après, avant que j'ai eu le temps de passer ma tenue de nuit...

- Alors voyons l'état de ma propriété entre tes jambes.... humm.. griffure là... peau tannée ici et là... et les couilles qui te font si mal... humm si grosses, j'aime beaucoup... et bien va falloir vider tout cela et retour en cage ! Sans que tu ais du plaisir évidemment, faut pas rêver.

Je suis décagé depuis un plus de 36h, suite au nettoyage du matin où je n'ai volontairement pas remis ma cage. Trop mal ! L'impression que mes couilles ont été passées dans un étau pendant la nuit... Tout mouvement est douloureux avec ou sans cage.

De retour de ma Maîtresse, j'avoue ne pas avoir remis la cage. Elle me répond que c'est pas grave, que même comme je me suis bien conduit, elle me me fera un gâterie le soir au coucher. Je vis toute la journée dans cette perspective attendant avec impatience le soir. Dans la soirée, je vais lire au lit un nouveau SF pour être sûr de ne pas rater son coucher. Je suis à demi nu, impatient.

Maîtresse finit par se coucher à mes côtés. J'ai la bite tendue en attente... 

- Mais tu rêves, il n'est pas question que tu es quoi que ce soit... mais toi tu vas m'offrir quelque chose.

La demande est claire. Je n'ai pas d'autre choix que de me mettre au travail pour ma Maîtresse, immédiatement. Elle est très doigts actuellement. C'est directif et très long, jusqu'à en avoir une quasi crampe à la main. Ma Maîtresse prend son plaisir seul pendant que moi je tourne en rond dans ma tête frustré, le sexe encore en érection. Une fois mon devoir terminé et ma main broyée, Maîtresse N. décide qu'il est temps pour moi de dormir, pendant qu'elle lit un peu. Je passe couche et grenouillère, et me tourne sur le côté en chien de fusil en position d'endormissement, avec l'amertume cuisante de la frustration dans l'entrejambe.

Cette nuit là est étonnante. Sans cage au zizi mais réveillé aux mêmes heures que si je la portais.

Retour à la nuit suivante. Maîtresse N. s'interroge...

- Comment vais-je faire ?

Elle commence quelques mouvements mécaniques de va-et-vient sur mon machin. Je réagis au quart de tour dans une forte érection. J'en ai si envie... Mais non elle s'arrête bientôt et m'interroge.

- Dis-moi mon soumis, comme une Maîtresse peut faire sortir la liqueur de son soumis sans qu'il prenne du plaisir ?

Je lui réponds "par un milking, Maîtresse". Le Maîtresse m'est venu très spontanément. 

- Ah oui ? Faisons un milking donc.

Maîtresse N. me presse fortement la peau en dessous des couilles. Je m'en étonne.

- Oui, mon soumis ?

- Le milking, Maîtresse, ce n'est pas comme cela. C'est par le cul, en massant la prostate par l'intérieur, Maîtresse.

- Ah oui, j'oubliais. Tu me sors 2 préservatifs : un pour toi pour que je vois comment tu baves et un pour moi que je te prenne le cul et tu me donnes ton gros cul !

J'obéis mais j'ai le temps de voir un sourire exquisé de ma Maîtresse qui me montre à quel point, elle me balade. Elle sait très bien où elle veux en venir. Je m'équipe le sexe et me mets en position - humiliante - tête collée au lit et cul tendu vers le haut. Immédiatement son doigt autoritaire me transperce l'anus et masse fortement le bas de mon rectum.

- J'y suis ?

- Je ne sais pas, je n'ai pas l'expérience Maîtresse.

Je sens cependant une tension dans mon cul pas agréable. Je lui en parle.

- Fais voir...

Elle regarde le préservatif sur mon zizi dégonflé : vide. Maîtresse insiste un temps très désagréable pour moi avant de constater de nouveau que rien ne sort.

- Trop long tout cela ! On change de méthode. Tu te branles de la main, là sous mes yeux !

- Oui, Maîtresse.

Je commence les mouvements de la main gauche qui ont vite fait de redonner toute la durété au pénis. Maîtresse N. m'observe oeuvrer attentivement. Je ferme les yeux pour me concentrer sur le plaisir à venir. La mécanique jouissive s'enclenche délicieusement.

- Stop, on arrête tout !

Elle vient d'enlever d'autorité ma main sur le phallus. Je suis bandé à fond dans le préservatif.

- Tu ne crois pas que je vais laisser perdre une si belle érection. Allez rend hommage à ta Maîtresse !

Nous y voilà, là où elle voulait arriver. Sacré Maîtresse ! N. s'est mise en lévrette pour que je l'embroche. Ce que je fais volontier à gros coups de pistonnage. Elle adore mes si grosses couilles qui viennent taper en cadence. Je suis en érection totale avide de enfin partir. Mais Maîtresse ne prend pas de gros risques, j'ai toujours été un éjaculateur tardif. Premier orgasme que j'entends et que je sens dans le conduit. Maîtresse en veut encore.

- Tu as intérêt à partir au fond où alors je te punis.

Je redouble d'efforts en me concentrant cette fois totalement sur mon plaisir. Je bande si fort et c'est si dur de partir. Trop de fatigue sans doute. A force de m'échigner, je sens enfin cette étincelle de plaisir naitre au coeur de mes reins et se développer de plus en plus.

- Stop ! Tu t'enlèves ! Interdiction de jouir ! Immédiatement !

J'obéis à regret en marmonnant un « Oui Maîtresse ». 

Cette vidange, je l'ai finalement à la manière de ma Maîtresse à la main - « La tienne pauvre idiot ! Tu ne crois pas que je vais me salir » - et aux pinces qu'elle me fixe sur les tétons et qu'elle tord et détord au grè de ses envies tourmenteuses. Vidange très abondante qui me donne un réel plaisir quand elle fuse enfin dans le préservatif.

- Ouah, quelle quantité, mon chéri ! Cela fera un excellent glaçon pour ton whisky. Je sais que tu le préfères sec, mais là tu feras une exception. Tu files me mettre cela au congélateur : nous commençons la récolte 2013 ! Puis tu te laves le sexe et tu remets ta cage. Et après au dodo dans ta jolie grenouillère.

dyonisos

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-> vidéo

Sam 18 mai 2013 4 commentaires
Lol, la vidéo :)
Lady Ariciaa - le 18/05/2013 à 13h29

Vous ne connaissiez pas ?

dyonisos
PTDR avec la vidéo ! Et agacé aussi, je pensais avoir vu ce film et je me rends compte que je l'ai jamais vu sinon comment j'aurais pu oublier cette séquence géniale. Woody Allen a vraiment tout prévu ... sauf qu'il allait passer dans ton congel avant de finir dans ton whisky !!! Amitiés.
soumis pissotte - le 18/05/2013 à 21h02

Avec autant de difficulté que j'ai eu à effectuer le lancement, je pensais que cet extrait de film était très illustratif dans cet article. Mais je l'ai surtout mis pour les plus jeunes qui ne le connaissent pas et donc aussi maintenant pour certains plus vieux comme toi avec alzheimer précoce, lol. Le fim a quand même fêté ses 40 ans l'an dernier. Le genre de sujet génial qui malheureusement comme la rose et la poéte ne se fera qu'une seule et première fois. Et tu n'as pas raté grand chose, c'est la séquence la plus enthousiasmante du film.

amitié, dyonisos

PS : pour une fois que je t'étonne avec une veillerie. 

dyonisos
Ainsi tu as-congelé un pote à Woody ? Ah trop bien cette vidéo. Géniale, même ! Tout comme les idées de ta Maîtresse qui te dirige vaillamment en prenant soin de te surprendre dans ses décisions.
Amitiés de bibi et bisous de Cere.
Cerenella et Domi - le 19/05/2013 à 18h48

oh ce ne sera pas le premier pote de woody qui a fini au congélo. Maîtresse N. m' a déja fait congeler une année de production - on dit un millésisme dans ce cas - découvert sans mot dire par ma mère et servi le jour de mes 40 ans. Et j'apprécie ta lecture : oui tu as parfaitement compris le moteur, source de ravissement sans fin de ma part, de ce moment particulier.

En tout cas , je note qu'encore un de mes potes de blog ne connaissait pas ce film... Nul n'est parfait. J'ai bien fait de mettre le line de la video finalement...

amitié, dyonisos

 

dyonisos
Non, je ne connaissais pas.
Lady Ariciaa - le 19/05/2013 à 22h38

Voilà donc chose faite...

dyonisos

dyonisos