Dyonisos Soumis
Vous allez dire que je suis pas un petit cachottier, car je ne vous parle que de moi. Et pourtant pour cette journée ensoleillée, Maîtresse a une idée très arrêtée de la façon dont elle veut être habillée. Et c'est seins au vent et la corde grattant la chatouille qu'elle s'apprête à s'occuper de son soumis !
Je sais qui va être question d'orties fraiches car Maîtresse m'a envoyé le matin en cueillir un bouquet. Mais je m'attends par à en connaitre si rapidement la morsure. Maîtresse me détache la ceinture du short de cuir. Je la regarde faire un sourire espiègle aux lèvres fasciné par les fiers petons à quelques centimètres et sans prendre garde quand elle enfonce le bouquet d'orties à l'intérieur du short en contact direct avec le service trois pièce. Aie, aie, aie !!! Premier contact cuisant avec les orties de cette année...
Le short chute finalement à mes pieds. Je suis nu et complétement exposé. Et les coups commencent à pleuvoir...
Je n'essayerais pas de faire un récit détaillé des tourments et sévices subis, car c'est impossible. Je suis attaqué de toute part par ma Maîtresse en une forme olympique. Une sorte d'immense tournis de sensations décervelantes. Jamais je n'ai eu aussi conscience d'être une marionnette en ses mains dont Maîtresse tire les ficelles. Maîtresse zappe sans cesse, me surprenant entre la canne sur les fesses, le dos, les cuisses, la torture des seins à la pince, puis des couilles, le broyage de celles-ci d'ailleurs, à la main, au gant de jardinage avec les pastilles d'agrippage, les claques sur les couilles, le passage du corps aux orties plusieurs fois, les morsures, les griffures et de temps en temps des branlettes sans espoir destinée à me rendre tout dur avant de m'abandonner désespéré de ne pas pouvoir jouir. C'est une Maîtresse tempête cet aprés-midi et je ne sais plus où donner du cri.
Elle veut que j'abdicte et au début je résiste par fierté du soumis, ce qui entraîne des sévices de plus en plus sévères de ses mains.
Je me souviendrai en particulier de ce moment de complicité totale, où Maîtresse me tient par les couilles d'une main pendant que de l'autre elle me balafre en rafale le cul avec la canne. Moment de soumission absolu où je perds tout contrôle, toute dignité et ne suis plus qu'un objet que Maîtresse balade au grè de ses envies.
Elle a gagné, je n'en peux plus. Je suis finalement maté.
- Oui, mon soumis ?
- p..i.t..i..é...
Le baîllon m'empêche d'articuler et cela l'amuse beaucoup
- fessée ? Pas de problème !
Et une série de claques tombent sur mes fesses. Vengeance de la femme fessée... Je les ai bien mérités celles-là ! Maîtresse daigne finalement prendre en considération ma demande de grâce et cesse ses agressions.
Jamais Maîtresse a sévi avec un tel entrain sur son soumis.
Jamais elle ne m'a emmené aussi profond.
Merci Maîtresse.
Merci Mon Amour.
dyonisos
Avec l'unique bout de vidéo de l'après-midi :
Merci mais j'avais révisé le matin. lol. C'est manifestement un puissant aphrodisiaque chez ma Maîtresse et deux petites cordes venaient en plus lui chatouiller la chatouille. Deux car elle ne voulait que cela empêche la suite, qui, sacré femme, a été oublié après. Me suis-je fait avoir ? Ou était-ce la couleur du moment ?
Je crois que je peux moi aussi remercier ma Maîtresse de femme. J'en avais eu quelques prémices lors de la séance de fouet en décembre. Mais à ce niveau là jamais. Je crois aussi qu'elle résoud un problème que nous avons eu ces deux dernières années. A quoi bon tout cela, si à la fin je ne suis pas son soumis dans la vie de tous les jours, ce qu'elle ne veut pas (à raison - N. est plus sage que moi). Cela m'avait plus que pris la tête at avait créé pas mal de tension au sein du couple, comme tu le sais. Là elle propose un schéma alternatif qui finalement marche bien où je suis le taureau et elle la toréador(e). Elle me travaille jusqu'à l'estocade, que je sais maintenant ne pas pouvoir éviter à un moment ou au autre. Par quatre fois, j'ai résisté et à la cinquième, après le mano a mano, entre mon cul et sa canne, mes couilles et sa main, j'ai finalement baissé pavilion. Il est clair qu'elle voulait cette reddition et qu'elle l'a obtenue ! Je resté étonné encore une fois de son instinc de chasseresse, elle qui ne lit jamais rien sur le BDSM.
A la fin, crois-moi, j'étais soulagé par ma reddition. La dernière séquence était si inconcevable de sa part. J'ai été pris à froid ce coup là...
amitié, dyonisos
amitié yanode
ps moi j ai gagner une tartine de chocolat lol
Quoi que je ne sois pas sûr qu'au Domaine, les surprises sont toujours bonnes pour les protagoniste. lol !
Et j'espère que tu nous feras une bonne dizaine d'articles pour la tartine de chocolat. Comme quoi quand la feme s'est motiver son mâle, cela avance plus vite.
amitié, dyonisos
amitié yanode
Oui mais tu pourras la lècher bien sage dans ta cage La liberté ne semble pas inclut dans le lot gagné... MDR.
amitié, dyonisos
amitié yanode
Mon petit doigt ?
amitié, dyonisos
Tu ne l'avais pas encore vu ? C'est que vois-tu Maîtresse était pressée.
amitié, dyonisos
Non, nous étions tous les 2 en peignoirs et nous répondions au caméraman pour montrer comment c'était consensuel et truqué !!! (je suis sûr que tu connais, MDR)
amitié, dyonisos
Une après-midi mémorable.
dyonisos
PS : j'ai bien reçu ton mail mais je n'ai pas eu le temps de m'en occuper jusu'à présent. Peit-être aujourd'hui...
Bisous de nous deux à celle qui fit crier "pitié" à Dyonisos, waouh ! Toutes mes amitiés et bravo pour cet épatant récit d'une aprème fabuleuse.
Dionysos est aussi le dieu du théatre et de la tragédie. Et le soleil grec qui chauffait en cette chaude après-midi a affolé les sens. Nous en révions de cette terrasse et cet axe de métal, partie d'une ancienne machine obscure, sans jamais trouver ni le beau temps ni le moment de la dépuceler. Nous l'avions remarqué complices en visitant la maison, comme la poutraison de la chambre. La vie a fait qu'il a fallu quelques années avant que nous dépucèlions cette honnête machinerie ex-travailleuse.
Il avait tout le soleil, la chaleur, le petit vent qui excitait les chairs et deux envies convergentes pour que l'après-midi soit magnifique. Sans doute une de ces joutes que nous nous rémémorerons déjà vieux au coin du feu comme un des moments mythiques du couple avec un bord de lavabo dans une ile ou une piscine de canicule dans les Causses.
Nous sommes devenus autres, transformés en Maîtresse déterminée et en soumis tourmenté, apogeant à ce lâcher prise final, le graal de ces échanges déséquilibrés. Que de chemins parcourus fait d'apprentissages mutuels et de longues discussions, pour en arriver là.
Sans le savoir, nous étions prêt. N. a passé sa tenue d'Amazone guerrière, et c'était parti...
amitié, dyonisos
Pour une fois il m'est difficille de rendre compte du déroulement de la séance tant elle a été dense et tant que je l'ai vécu comme une unique action de Maîtresse N. C'est pour cela que le compte-rendu parle surtout de mes émotions pendant ce moment unique. Maîtresse N. (et non Nicole) était en grande forme et voulais faire plier son soumis. Elle a réussi efficacement et j'ai été envoyé dans un espace de pure sensations et soumission pour la première fois.
Bon dimanche à vous.
dyonisos
Bon je t'avoue que j'ai du relire ton com 5 fois avant de la comprendre, tu as juste oublié la ponctuation. Mais oui globalement je suis d'accord avec toi, quoi que la tienne est trop loin donc aucun risque d'être fouetté pour son bon plaisir.
amitié, dyonisos
quand a tes tourments les photos parlent toute seules aie aie aie aie .
Arrivé a ce point de ton recit c est a Madame N que je tire mon chapeau pour avoir réussi a faire perdre pieds a soumis dyonisos non seulement il ne controle plus rien mais il implore sa tourmenteuse ce du etre divin comme ressenti peut etre meme jouissif .
amitié yanode