Dyonisos Soumis

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Vendredi soir. Je suis crevé. N. est crevée. Par contre les enfant sont en pleine forme et regardent la télévision. J'irais bien me coucher mais je laisse la priorité à N. question d'état d'esprit actuel. Elle demande finalement que j'aille la coucher elle. Nous nous éclipsons. Nous nous retrouvons dans la chambre. Je suis prêt à la laisser sous la oouette quand la demande.arrive...

- je veux tes doigts !

Je m'installe à ses côtés. et m'active de mes doigts. Au début cela marche un peu pendant que je continue à discuter. Mais bientôt ce n'est plus cela. Pourtant je fais la même chose que ce qui l'amène d'habitude sur les hauts plateaux du Tibet. Là rien ! Elle me le reproche avant d'accepter qu'elle est trop fatiguée pour jouir. Elle me demande d'arrêter finalement.

N. se repose sur mon épaule rassurante. Nous sommes complétement amoureux en phase. J'en profite pour lui rappeler mon état d'encagé. C'est évidemment sorti de son esprit comme d'habitude. Mais cela l'inspire... Elle force la ceinture du jean pour se glisser sous l'élastique du slip. Les boules sont détendues au chaud, dépassant sous la cagz, bene pendentes. Elle les saisit et commence à les faire rouler entre ses doigts. Inhabituel.

N. accentue bientôt sa caressse. Je m'érige en cage. C'est comme si elle manipulait des boules anti-stress... Elle  les malaxe, palpe, presse... de plus en plus fort... obtenant bientôt que j'arrête de parler... Elle augmente sa présence... je soupire maintenant à chaque attaque...mes couilles sont ballottées, pressurisées, pincées... elle me tient littéralement par elles. Est-ce une rétorsion pour sa non jouissance ? Je crois... et je sens les conséquences physique sur mon intmité. Je subis en ayant du mal à reprendre mon soufle...

La pression s'accentue encore... je n'ai pas d'autre horizon que mon entrejambe... maudit faiblesse d'homme ! Je ne bande presque plus. J'ai mal maintenant. Je craque et demande pitié. Si tôt ? J'ai honte. Je m'en veux de ma faiblesse mais cela fait cesser à N. ses attaques, un petit sourire aux lèvres.

Il faut vraiment que je m'endurcisse...de ce côté là. Je ne suis pas fier...

dyonisos

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Lun 10 déc 2012 4 commentaires
Elle presse sans doute plus fort, ne pouvant jouir... Elle se venge à sa "façon"...
Et toi, tu doutes par le fait de dire "stop" alors que tu aurais aimé dire "encore"...
Compliqué, mais si réaliste...
Madame.S - le 10/12/2012 à 14h03

Les pratiques BDSM se fondent sur les non-dits de l'inconscient. Il est vain de vouloir tout comprendre, nous nous contentons de vivre les moments en toute complicité amoureuse.

Mes respects, Madame S.

dyonisos

dyonisos
Et s'il y avait eu fatigue de part et d'autre, tout simplement ? Y a pas à chinoiser, ce doit être ça... Mais il y eut plaisir tout de même. De part et d'autre. Puis cette chère Madame S a raison : c'est parfois complexe.
Amitiés.
Domi - le 10/12/2012 à 16h05

Disons qu'il est difficile de faire souffrir celui qu'on adore. Et qu'il aussi difficile de supporter en cinémascope que l'on a désiré. Effectivement toute la complexité humaine, exarcerbée en BDSM.

amitié, dyonisos

dyonisos
je compati avec toi vouloir et desirer une chose et la supporter en est une autre ....la douleur monte tres vite et c est incroyable la force de nos compagnes dans une seule main a moins que ce soit nous qui sommes mou de la couille reste le sentiment de ne plu etre a soi de lui appartenir corps et bien si delicieux que l on voudrait faire durer mais non impossible la douleur ce rapel trop vite que ouille ouille les ouilles ouilles
amitié Yanode
yanode - le 11/12/2012 à 06h40

Tu as très bien résumé comme d'habitude... Mais entre le vivre et ne pas le vivre, je préfère la première option, quand même.

amitié, dyonisos

dyonisos
une situation que je ne connais que trop souvent donc facile a deviner le resenti
amitié Yanode
yanode - le 12/12/2012 à 09h23

Tu quoque mi fili ?

amitié, dyonisos

dyonisos