Dyonisos Soumis

Madame et Monsieur sont en vacances en famille. Heureusement dans un endoit où les enfants adorent que l'on s'occupe d'eux en club une partie de la semaine. Nous sommes reposés. Nous sommes bien. Très amoureux. Très vanille aussi. Pas missionaire quand même mais avec du piment. Le jeudi arrive : joie  ! Les enfants occupés toutes la journée et en plus ils aiment cela, les chers anges ! Il est question de cordes que N. aime tant. Cela tombe bien, elles sont planquées dans une cache sous le siège d'un des enfants.

Madame aime tellement-cela qu'elle en devient exigeante. Un relent de dominance, sans doute. Je dois imaginer le pourquoi et le comment. J'en profite pour réviser mes noeuds en secret. Mais il y a un problème : le pubis de ma chère et tendre tient plus du maquis corse que de la pelouse anglaise. Il est temps de réagir. Et me voilà devenu jardinier d'un jardin intime.

Bien sûr travailler si proche de l'autel de ma moitié, ne la laisse pas indifférente. Mais je feins de l'ignorer. Je désherbe sans relâche pour arriver à civiliser cette prairie sauvage. Et pendant ce temps, elle s'émeut de me sentir si près. A la fin les herbes coupées parsèment la prairie. Il est remps de rincer tout cela. Direction la douche !

Madame est folâtre. Elle dondeline du cul contre ma fierté dressée. J'ose le doigt inquisiteur dans le petit trou obscur. Madame proteste ! Elle continue néanmoins à dondeliner sans cesse contre moi. Ma rigidité répond. C'est alors que tout bascule. Elle étire sa croupe pour s'empaler sur mon phallus. Je suis intrigué. La chose dressée a du mal à rentrer. Tout cela nous ramène à notre voyage de miel sur une île dans l'océan indien. Je connaissais le loup. Elle connaissait le loup. Nous nous perdions dans un lit de 2 mètres de large mais nous ne retrouvions dans la salle de bain, chaque jour, pour une saillie, gland à cul, qui est devenue le souvenir adoré de notre voyage de noce.

Madame change de côté de la douche et m'engloutit totalement. Je crois baiser une chatte déjà très ouverte, mais je me trompe, je suis au plus profond de son cul devenu si accueillant. Un nirvana. Madame veut plus soudainement. Elle s'échappe de la douche tout mouillée. Elle m'attend dans la position de pénitence que tant de femmes ont prise au cours des siècles en quémande de l'onction du goupillon de leur mâle. Un vrai délice de beauté. Je l'ajuste au bord du lit, et je m'enfonce avec volupté dans son fondement...

Dans mes souvenirs ce fut une longue chevauchée vers le dénouement. Je bouttais sans cesse contre ses fesses profitant de la douceur de ses muqueuses. Au milieu, le point de vue changea sur l'action. Elle avait mal aux reins et voulait que je termine. Que nenni, Madame, je suis mâle et vous êtes à ma merci. Jouissons maintenant de votre intimité ! Ses cris changèrent alors de tonalité, passant de l'épouse avide de plaisir, à la femme subissant la loi de son mâle. Rassurez-vous, elle ne fut pas perdante au change... La boule se forma bientôt au creux de mes reins, avant de progresser lentement et finalement d'exploser en un immense feu d'artifice.

Bien sûr le problème avec les hommes est qu'ils ne sont dotés d'un fusil qu'à cartouche unique. Ayant fortement apprècié les plaisirs recto, Madame voulait maintenant les plaisirs verso. Je lui fis part de mon scepticisme à faire renaître la bête de ses cendres. Elle ne me cru pas, toute à son avidité. Et bientôt elle essayait de sa bouche et de son doigt farfouillant dans mon derrière à faire renaître le feu sacré. En vain, dut-elle finalement constater... Heureusement notre bon ami lapin prit le relais pour une demi-jouissance.

La fin de cette histoire n'est pas gaie. Le soir, nous avions couché les enfants. Nous étions redevenus amants dans la chambre. Je descendis entre ses jambes pour découvrir que les Anglais avait déjà pris camp. Elle en pleurait presque, par déception.

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