Dyonisos Soumis
Te voilà chatte assoiffée à mon retour,
Qui touche, caresse, suce
Une petite fille en attente de son sucre d'orge
Le voilà fiérement dressé !
Tu l'accueilles avec bonheur
Recto, verso, la bête à deux dos
Les couilles battent la cadence
Soupirs mumurés de retrouvailles
Quelques claques sur les globes
Qui te tirent des grimaces
Cela fait longtemps que ce fessier n'a pas été rougi
Une envie dominante monte
Mais cela sera pour plus tard
Pour l'instant ton oeillet me sourit
Et il me fait envie.
Un doigt l'ouvre
Oh non dis-tu !
Mais c'est ce que veut ton mâle
Tu te résignes
Le mandrin s'enfonce avec délectation dans ta chair
Humm que c'est bon !
J'adore tes petits cris de fillette attaquée
J'adore les bruits quand je vais
En de longues amplitudes au fond de tes reins
Et c'est parti pour la chevauchée
Quel paradis !
A la fin, tu en veux encore
Je te laisse en tête à tête
Avec ton lapin préféré
Qui part farfouiller
Sous la couette...
Je t'aime
Et très agréable aussi.
rabbit !
Je te rappelle que le boute-en-train, lui n'a rien. Alors que moi...
amitié, dyonisos
tres beau recit j adore plus encore tout ce qu il ne dit pas l amour qui vous uni .
amitié yanode
Ah l'amour ! Même (d)écrit à chaud...
amitié, dyonisos
Il y a des jours comme cela ou l'on se sent l'âme d'un poète. Et point sujet ici de mandarin, mais de mandrin. Cependant un oiseau en liberté chantait indéniablement dans cette histoire...
Merci de ce commentaire.
dyonisos
Mille gros et tendres smacks !
C'est le genre de chose que j'aime bien partagé ici. Et à te lire je vois que le message est très bien passé. Quant au reste... le mâle reste quand même (de temps en temps) un homme. Je t'invite d'ailleurs à lire ce récit à deux voix qui montre que les oiseaux s'accoquinent toujours à deux pour gazouiller ensemble.
bises, dyonisos
C'est un moment unique du blog qui fait partie maintenant de notre mythologie sexuelle de couple. Comme une certaine piscine à côté de Rocamadour... Mais chut ! Je trouve que c'est important de montrer cet amour là aussi pour sortir du côté artificiel de certain blog. Yanode et Flo le montre très bien aussi. Comme votre complicité saute aux yeux ! Une précision quand même : finalement ma douce N. est plus fascinée par le bondage que moi.
Mille poutous, dyonisos